Discussion:39e régiment d'infanterie

Témoignage déplacé du corps de l'article

J'ai déplacé ici ce texte qui n'a rien à faire, me semble-t'il, dans le corps de l'article :

"présent au 39 R.I. de 1936 à 1969, je n'ai jamais vu et entendu que nous ayons été placé en alerte dans un régiment de chars. Car nous avons été consignés durant tous les événements dans la caserne Pélissier. Ce jusqu'à la pentecote 68. Où le régiment fut déconsigné et tous les militaires du 39 R.I. mis en permission. Excepté le service de garde du quartier et moi-même ayant été désigné avec un sergent et un groupe de combat, pour monter la garde à la poste centrale de ROUEN. Tenue au préalable par une compagnie de CRS. Nous avons défilés le 14 juillet avec stationnement préliminaire de quelques jours à SATORY, dans des hangards pour chars durant la préparation du défilé. Et nous avons été au cinquantenaire de 1918 avec la présence de tous les pays alliés. Cérémonie passée en revue par le chef de l'état, le général de Gaulle. Demandez au rédacteur d'où il tient cette activité forcément écrite dans le journal de marche du 39 R.I. Précisons qu'à cette époque, il nous était impossible de sortir du quartier. Les barrages routiers des grévistes. le peu de carburant. La position des appelés qui après un mois consignés dans la caserne et se devant tous les matins, se rassembler sur la place d'arme avec équipements, armes, sac à dos et paquetage de transit. Refusait de rompre les faisceaux et faisaient du sitting sur la place d'arme. Activé en parti par la présence des piquets de grèves devant la grille de la caserne et aussi par le neveu du maire de ROUEN effectuant son service militaire au PC, qui lui avait des possibiltés de sortir en ville avec les mariés. Le colonel lui-même demeura au quartier durant cette période. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Fcn7888 (discuter), le 4 janvier 2012 à 06:32"

Bonne journée à tous, --Alcide Talon ^blabla ? 4 janvier 2012 à 12:33 (CET)