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Cresson alénois

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Le cresson alénois ou cressonnette[1] (Lepidium sativum), est une espèce de plante herbacée de la famille des brassicacées utilisée comme légume ou comme salade, ou encore comme herbe médicinale.

Il est parfois appelé cresson Groleau ou passerage cultivée[2] au Québec.

Étymologie, dénominations et noms vernaculaires

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Le nom de genre de Lepidium désignait en latin un végétal de cette famille et en grec lepidion (λεπιδιον) une petite plante médicinale au suc laiteux indiquée par Dioscoride[3] (II, 74) correspondant à Lepidium latifolium. Ce dernier terme grec lepidion vient du grec λεπίς (lepis, « coquille, écaille ») en raison de la forme de ses fruits (siliques)[4].

L’épithète spécifique sativum vient du latin sativus, sativa, sativum signifiant « cultivé ».

Parmi les noms vernaculaires attribués au cresson alénois, on retrouve ceux de cressonnette, passerage cultivée, cresson des jardins[5],[6] (nom aussi donné à Barbarea verna), nasitor[5],[7], nasitort[8], cresson Groleau, cardame, cardames des Anciens[9].

Le nom de alénois provient de « orlénois », « orléanais »[10].

Le nom de passerage composé de passe, forme verbale de passer* et de rage* parce que la croyance populaire attribuait à cette plante la vertu de guérir la rage de dents[11].

L’adjectif alénois dérive du toponyme Orléans, orlenois « d’Orléan » attesté depuis 1150[12].

Le nom de nasitort du atin nasturtium, de nasus (nez) et du verbe français tordre provient de son goût âcre[13] qui fait « tordre le nez ».

Le diminutif cressonnette est probablement dû à la consommation courante de la plante à son stade de jeune pousse.

Les noms de cardame et de cardame des Anciens donnés, au cresson alénois proviennent de cardamine, lui-même du nom grec du cresson alénois kárdamon (κάρδαμον)[10].

Il ne doit pas être confondu avec les autres cressons, notamment avec le cresson de fontaine ou avec Barbarea verna, le cresson de terre.

Onomastique

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Les noms du cresson alénois dans diverses langues et leurs transcriptions sont :

  • En anglais sont pepperwort, garden cress, pepper grass, garden pepper cress, mustard cress, upland Cress ;
  • En allemand Gartenkresse ;
  • En espagnol berro de jardín, mastuerzo, llepidio, berro hortelano[14] berro de huerta ;
  • En grec ancien : κάρδαμον kárdamon[15];
  • En breton beler gall ou beler Orleañs[16],[17];
  • En portugais agrião et mastruco ;
  • En égyptien ancien : smt, smtj ; σϵμέθ, semet ou semeth[18],[19] ;
  • En copte : pi ghleimi (ⲡⲓ ⲋⲗⲉⲓⲙⲓ)[9],[20];
  • En araméen moderne et syriaque : taḥlē ou tahlā, daḥle ou dahlā[21],[22]; ḥērafrūfo, ḥǝfrōfo[23] ; mǝqallītā ; en araméen ancien : ṣpr[24] ou šḥlyn (šaḥlīn)[21] ; en araméen palestinien juif : tḥlyn (taḥlīn)[21] ;
  • En ougaritique : šḫlt[21] ;
  • En akkadien : šeḫlātu[21] ; sahlē[21] ;
  • En sabéen : h͙lfm[25],[26] ;
  • En hébreu ancien : ŠḤLYM ou ŠḤL[27] ; shaḥlahyim tabrutiyim[28] ; šǝḥālīm[29]; שִׁחְלַיִים[30] ;
  • En arabe : ḥurf, ḥab al-rashad, rashad al-bustani[28] ;
  • En persan : taratīzak[31],[32], tarre-tīzak, tartīzak[33] ;
  • En hindi : chansur[34], halim[34], malavan[34], ashal[35], aserio[35] ;
  • En sanskrit : chandrashura[36], candrasura[37], candrahâsâ (« le rire de la lune »[38]), ashalika[36], bhadra[36], candrika[36], chandrika[36], nandini[36], suvasura[36] ;
  • En kurde : rašale, rašal[21] ; en kurmandji : dêjink, dêjnik[39] ; en sorani : taratiza[40] ;
  • En pashto : malkhuzey[41] ;
  • Dans les dialectes berbères d'Afrique du Nord-Ouest : belacheqine[42], belachaqine[43], blachqin ou blachkin (bläškin[44], ABL : blackin) ; gerninuc (gerninouch)[44], garruc (garrouch)[44]; mararuf[45] ;
  • Dans les dialectes arabes du Maghreb : ḥabb er-rchad, rshad, rchad, reshad ou rechad[46],[42] horf, tseffa, qerfa, harf[42] ; gərnûneš[45] (aussi utilisé en berbère pour le cresson et le cresson de fontaine) ;
    • En arabe marocain : ḥabb er-rchad[47] ; ḥorf, ḥurf (hourf)[48], l-ḥarf, l-ḥurf[49]; l-hurfn habb er-rshad[50] ; ḥabb el ḥalim ;
    • En arabe algérien : ḥorf, ḥarf, ḥurf[51],[52]ou ḥabb er-rchad ; rechad bestani[53];
    • En arabe tunisien : ḥabb er-rchad[47];
    • En hassaniya (Mauritanie) : grft [54](prononciation : gerft, greft) ; reshad (Sahara occidental)[55]; al-garif, algarif ; lafsur[45] ;
  • En arabe andalou : maqliyāṯā (مقليث, racine MQLYṮ)[56] ;
  • En arabe tchadien : khashat, khachat[57] ;
  • En amharique : feṭo[58], feto, fetto ; en guèze : ፌጦ ;
  • En haoussa : tchwit (tchouit)[59]; algarif[60] ;
  • En bambara : karabona[60];
  • En songhaï : egara[60] ;

Description

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Feuilles inférieures pennatiséquées.
Fleur.
Fleurs et silicules.

Le cresson alénois est une plante annuelle, à odeur fétide et saveur piquante, dont la tige haute de 20 à 80 cm est dressée et rameuse[61].

Les feuilles inférieures sont 1-2 fois pennatiséquées, alors que les feuilles supérieures sont linéaires et entières.

Les fleurs sont petites et blanches. La floraison se déroule de mai à juillet.

Le fruit est une petite silique (silicule) suborbiculaire, largement ailées, étroitement échancrées, glabres.

Habitat et historique

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Le cresson alénois est depuis longtemps cultivé en légume dans les jardins d'Europe[60].

L'origine du cresson alénois est incertaine, mais plusieurs hypothèses existent.

Le cresson alénois était cultivé en Égypte antique durant l'Antiquité[60]. Il aurait été cultivé assez tôt dans la vallée du Nil. Des graines ont été retrouvées au musée égyptien de Florence, et une vingtaine de graines seraient aussi conservées au musée du Louvre[9]. L'égyptologue Victor Loret relie le nom copte « pi-ghleimi » de la plante à une racine égyptienne[9],[62],[20].

On le retrouve aujourd'hui naturellement en Afrique et en Asie du Kordofan et de l'Abyssinie à l'Himalaya[63].

On retrouve diverses hypothèses sur l'origine de lepidium sativum : de Perse (Iran)[64],[65], de l'Himalaya[60], d'Asie du Sud-Ouest[66], du Levant (Liban, Syrie, Jordanie, Palestine), de Turquie (Anatolie), de Mésopotamie (Irak), d'Égypte, d'Afrique du Nord, d'Afrique de l'Est, d'Éthiopie, d'Asie du Sud (Afghanistan, Pakistan, Inde du Nord), d'Europe du Sud, d'Eurasie[14] ou simplement d'Eurafrasie.

Selon Jean-François Leroy et Hubert Gillet le cresson alénois serait origiaire du Moyen-Orient avant d'être introduit ailleurs dans le monde en Europe, en Afrique et en Asie centrale et méridionale[57].

D'après le chercheur botaniste Charles Joret, le cresson alénois serait une plante indigène de Perse puis aurait été naturalisé depuis longtemps en Asie antérieure (Asie occidentale), en Europe méridionale (Europe du Sud) et dans le nord de l'Afrique (Afrique septentrionale)[9].

En France on retrouve le cresson alénois à l'état naturel dans de nombreuses régions et départements[67].

Il est subspontané au Québec dans le Bas du fleuve.

D'une manière générale, cette plante cultivée se rencontre au voisinage des habitations.

Utilisation

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En gastronomie, les feuilles et les fleurs du cresson alénois sont ajoutées crues aux salades. Elles ont une saveur piquante et aromatique qui n'est pas sans rappeler celle de la grande capucine.[réf. nécessaire]

Tests de l'état de maturation du compost

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Les graines de cresson alénois servent aux tests de germination sur le compost obtenu après compostage. Il s'agit incontestablement de la méthode la plus simple et la plus fiable pour connaître l'état de maturation du compost obtenu.

Les plantes tests les plus couramment utilisées sont le cresson alénois et la laitue (Lactuca sativa). Des graines de la plante test sont semées sur le compost humidifié en bocal hermétiquement fermé. Après trois jours, la maturité est évaluée d'après le pourcentage de germination et, éventuellement, la quantité de matière verte obtenue.

Dans la mythologie ougaritaine, le cresson alénois est une plante liée à la terre désolée ou terre des morts, la demeure du dieu Môt[68].

Notes et références

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  2. « Cresson Groleau (Lepidium sativum) », sur Semences Terre Promise Inc. (consulté le )
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  6. Dictionnaire étymologique de mille et une expressions propres à l'idiome français, Adrien Timmermans, 1903
  7. François Victor Mérat, La phanérogamie, Méquignon-Marvis Père et Fils, (lire en ligne)
  8. François Rozier, Cours complet d'agriculture théorique, practique, économique et de médecine rurale et vétérinaire: suivi d'une méthode pour étudier l'Agriculture par principes ou Dictionnaire universel d'agriculture, chez les Librairies Associés, (lire en ligne)
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François Victor Mérat, La phanérogamie, Méquignon-Marvis Père et Fils, (lire en ligne)

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Articles connexes

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Liens externes

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