Arthur Wœhrlin

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Arthur Woehrlin
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Vue de la sépulture.

André Arthur Wœhrlin, né le à Strasbourg et mort le (à 53 ans) dans cette ville, est un médecin strasbourgeois.

Aperçu biographique[modifier | modifier le code]

Il est le fils du pharmacien Philippe Wœhrlin et de Virginie Fourniol. Il s'occupe beaucoup de la médecine scolaire du canton Nord et fait progresser l'hygiène des enfants dans les écoles[1]. Il a donné son nom à une rue à Strasbourg dans le quartier de la Robertsau[2].

Il est inhumé au cimetière Saint-Louis de Strasbourg (Robertsau[3]).

Œuvres et publications[modifier | modifier le code]

  • Notes sur les blessures par armes à feu, observées à l'ambulance du Lycée de Strasbourg, pendant le siège de cette ville, [thèse de médecine][4], Paris, 1871.
  • « État sanitaire et maladies régnantes à Strasbourg », in: Annales d'hygiène publique et de médecine légale, XXI, 256.
  • (de) Über Verletzungen und traumatische Aneurysmen der Arteria maxillaris interna, Tübingen, 1898.
En collaboration
  • (de) avec Oscar Gerval: Das Reconvalescentenhaus, Hospiz Lovisa. Bericht ueber die sechs ersten Verwaltungsahre dem Verwaltungsrath der Civil-Hospizien der Stadt Straßburg, Fischbach G. (Straßburg), 1886.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Joseph Krieger: Zur Erinnerung an Sanitaetsrath. Dr Arthur Wœhrlin Todesnachruf, Fischbach G.(Straßburg), 1900.
  • « Alsace-Lorraine. Strasbourg », in: L'Est Républicain, , N° 1195, p. 3, Texte intégral.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Dictionnaire historique des rues de Strasbourg. Le Verger Editeur, 2002, p. 411.
  2. [Moszberger 2012] Maurice Moszberger (dir.) et al., Dictionnaire historique des rues de Strasbourg (nouvelle éd. révisée), Barr, éd. Le Verger, (1re éd. 2002), 574 p. (ISBN 9782845741393), p. 428
  3. Cimetière Saint-Louis, Guides des cimetières no 3 de la Ville de Strasbourg, Strasbourg, 2008, p. 17
  4. Citée dans le Guide médical pratique de l'officier par Amédée Chassagne et Emery-Desbrousses, Ch. Delagrave (Paris), 1876, lire en ligne sur Gallica