Maria Carratalà i Van den Wouver
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Felipe Pedrell, Andreu Avel·lí Abreu i Boy (d), Vicent Costa i Nogueras (d), Modest Serra i Gonzàlez (d), Francesc de Paula Sànchez i Cavagnach |
María Carratalà i Van den Wouver, née à Barcelone le et morte dans cette même ville le , est une pianiste et compositrice féministe espagnole, membre du Lyceum Club de Barcelone dissout lors la dictature franquiste, après la guerre d'Espagne.
Biographie
Fille du couple barcelonais Josep Carratalà et Rosa Van den Wouver[1], Maria naît le 19 juin 1899 à Barcelone[2].
Elle étudie à l'École Française de Barcelone et au Conservatoire du Liceu[3], où elle a notamment comme professeur Francesc de Paula Sànchez i Cavagnach. Elle étudie ensuite à Paris, avec Felipe Pedrell.
Elle se spécialise dans le répertoire hispanique[4], notamment le répertoire de Manuel de Falla.
Elle fait des concerts à Barcelone, où elle joue Francisco Guerau, Diego Pisador et Juan del Encina. En 1926, elle présente au piano la Suite Intertonal de Jaume Pahissa, puis en 1930 la Seranate a un infant, de Manuel Blancafort, sur un texte de Josep Maria López-Picó.
Elle est également l'une des membres fondatrices du Lyceum Club de Barcelone[5], organisation féministe qui milite pour les droits des femmes sous la Seconde République[6], avec Aurora Bertrana, Amanda Llebot, Ana María Martínez Sagi et Enriqueta Sèculi[7].
Références
- (ca) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en catalan intitulé « Maria Carratalà i Van den Wouver » (voir la liste des auteurs).
- Teresa Julio, « Recuperant la memòria històrica: Maria Carratalà, una traductora teatral de preguerra », Caplletra. Revista Internacional de Filologia, vol. 61, , p. 39 (DOI 10.7203/Caplletra.61.8448)
- Registre de Naixements de l'Ajuntament de Barcelona, any 1899, número de registre 5674.
- « Conciertos: Sala Aeolian », La Vanguardia, 30 de maig de 1916, p. 9 (lire en ligne)
- Calendari 1999, Barcelona, Institut Català de la Dona,
- Teresa Julio, « El periodismo republicano en manos de mujer: Maria Carratalà y Elvira Augusta Lewi », Asparkía, 27, , p. 131-145 (lire en ligne)
- (ca) « «Florentina», una peça inèdita de Maria Carratalà », sur Revista (Pausa.) Quadern de teatre contemporani, (consulté le )
- (ca) juditagudo, « Teresa Julio publica 'Maria Carratalà: Música, escriptura i traducció' », sur U-Divulga, (consulté le )
Articles connexes
Liens externes