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Electronic Fun with Computer & Games décrit le jeu comme étant « La Belle et la Bête » de Mattel : beau à voir, mais affreux à jouer[1]. Il le juge « ennuyeux » et « compliqué » et compare sa difficulté à celle de son prédécesseur Maze-A-Tron.
Références
↑ abcd et e(en) Howard Polskin, « Solar Sailer », Electronic Fun with Computer & Games, no 9, , p. 58-59
↑Techniquement, le jeu peut tourner sans l'extension Intellivoice, mais certaines indications cruciales étant données uniquement par la synthèse vocale, le joueur peut très rapidement se retrouver à errer au hasard parmi les nombreux « secteurs » du labyrinthe.