Djebel Lahmar

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Djebel Lahmar, signifiant « montagne rouge » en arabe, est un quartier localisé en banlieue de Tunis en Tunisie.

Bidonville le plus ancien et le plus peuplé de la capitale^[1], Djebel Lahmar compte 12 000 habitants en 1947^[2] puis environ 50 000 habitants en 1980^[3] mais voit sa superficie réduite pour atteindre 44 hectares en 1980 contre 60 en 1962^[4].

Notes et références

↑ Fredj Stambouli, « Populations néo-citadines et besoins humains fondamentaux : le cas de Djebel Lahmar en Tunisie », dans Die Dritte Welt, vol. VII, Meisenheim am Glan, Anton Hain Verlag, 1979, p. 302.
↑ Zeïneb Mejri, « « Les indésirables » bédouins dans la région de Tunis entre 1930 et 1956 », Cahiers de la Méditerranée, n^o 69,‎ 2004, p. 77-101 (ISSN 1773-0201, lire en ligne, consulté le 21 juillet 2020).
↑ (en) Helen Anne B. Rivlin et Katherine Helmer, The Changing Middle Eastern City, Binghamton, Université d'État de New York à Binghamton, 1980, 262 p., p. 25.
↑ Michel Camau et Jellal Abdelkafi, Tunisie au présent : une modernité au-dessus de tout soupçon ?, Paris, Éditions du Centre national de la recherche scientifique, 1987, 420 p. (ISBN 978-2-271-08127-8), p. 279.

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[1] Fredj Stambouli, « Populations néo-citadines et besoins humains fondamentaux : le cas de Djebel Lahmar en Tunisie », dans Die Dritte Welt, vol. VII, Meisenheim am Glan, Anton Hain Verlag, 1979, p. 302.

[2] Zeïneb Mejri, « « Les indésirables » bédouins dans la région de Tunis entre 1930 et 1956 », Cahiers de la Méditerranée, n^o 69,‎ 2004, p. 77-101 (ISSN 1773-0201, lire en ligne, consulté le 21 juillet 2020).

[3] (en) Helen Anne B. Rivlin et Katherine Helmer, The Changing Middle Eastern City, Binghamton, Université d'État de New York à Binghamton, 1980, 262 p., p. 25.

[4] Michel Camau et Jellal Abdelkafi, Tunisie au présent : une modernité au-dessus de tout soupçon ?, Paris, Éditions du Centre national de la recherche scientifique, 1987, 420 p. (ISBN 978-2-271-08127-8), p. 279.

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