Utilisateur:Poetudiant
Avenir... quelques poèmes
(le temps que j'impose l'imparfait à ma présente rigueur)
Vrac[modifier | modifier le code]
"mes lèvres effleurent dans le doute ta joue"[modifier | modifier le code]
mes lèvres effleurent dans le doute ta joue
-comme un soldat blessé qui traîne dans la boue
sa plaie vermeille à son dernier lit de fortune
et déposent à bout de souffle ce baiser
d'adieu que couve la nature rosée
lorsqu’il s'allonge pour voir s'éteindre la Lune
à travers ses larmes d'un Oeil clos de remords
et de mille douleurs affligées mes deux mains
me hissent jusqu'à toi Ô Nuit sans lendemain
nous pleurons ensemble comme dorment les morts.
"Ma pensée alunit"[modifier | modifier le code]
Ma pensée alunit
En rêve – tendrement
Sous la feuille brunie
Se cachait un nuage
« Vois-tu l’infini ment
Petit » me dit le sage
"nuage lointain marée d’illusions"[modifier | modifier le code]
nuage lointain marée d’illusions
pour te retenir parmi le sable
nu je grave ton nom qu’inlassables
les vagues égrainent vers l’horizon
Crépuscule[modifier | modifier le code]
crépuscule au coin du faubourg
s’ouvrait en rose frêle
entre les immeubles le ciel
comme une plaie d’amour