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Liste des sources[modifier | modifier le code]

Liste des sources sur François Asselineau : voir les tableaux sur cette autre page de brouillon


Résumé introductif[modifier | modifier le code]

François Asselineau, né le 14 septembre 1957 à Paris, est un inspecteur général des finances et homme politique français.

Pendant les années 1990, il travaille dans différents cabinets ministériels[1],[2],[3],[4]. A partir de 1999, il milite dans les rangs du RPF, un parti politique souverainiste dirigé par Charles Pasqua. En 2004, il devient délégué général de l'intelligence économique au ministère de l'Économie et des Finances, et y propose des stratégies pour protéger l'économie française de la mondialisation[5],[6],[7]. En 2007, il fonde son propre parti politique, l'Union populaire républicaine (UPR).
Ce parti politique propose la sortie de l'Union européenne, de la zone euro et de l'OTAN. L'UPR, se présente elle-même comme un rassemblement[8],[9],[10] pour «rétablir la démocratie»[11],[12],[13],[14],[15],[16],[17],[18], en dehors du clivage droite-gauche. Lors des élections européennes de 2014 et des régionales de 2015, sa liste est classée par le ministère de l'Intérieur parmi les « Divers ». François Asselineau a échoué à se présenter à l'élection présidentielle de 2012 et tente d'être candidat à celle de 2017.

Selon François Asselineau, la construction européenne aurait été voulue, initiée, et pilotée en sous-main par les Etats-Unis d'Amérique ; l'Union Européenne permettrait aux américains d'asseoir leur domination sur le vieux continent[19],[20],[21],[22],[23],[24],[25],[26],[27],[28],[29]. François Asselineau est décrit comme souverainiste, antiaméricain[30],[31],[32],[33],[34],[35], et conspirationniste[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43],[44],[45], ce dernier qualificatif étant nettement nuancé par Rudy Reichsdadt, spécialiste du complotisme[46],[47].

Les grands médias invitent peu François Asselineau[48],[49],[50], qui les accusent de le censurer. L'UPR assure notamment sa promotion par un cybermilitantisme très actif sur internet[51],[52],[53],[54],[55] . Les militants ont également mené auprès des grands médias une insistante démarche de lobbying, décrite par certains journalistes narquois comme un « harcèlement »[56],[57],[58]. Par ailleurs, François Asselineau réalise de longues conférences publiques, très structurées, « de véritables cours magistraux », où il propose une «pédagogie sur l'Europe»[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65],[66],[67],[68].

pointage des rajouts par rapport au RI actuel[modifier | modifier le code]

François Asselineau, né le 14 septembre 1957 à Paris, est un inspecteur général des finances et homme politique français.



Pendant les années 1990, il travaille dans différents cabinets ministériels(1). A partir de 1999, il milite dans les rangs du RPF, un parti politique souverainiste dirigé par Charles Pasqua. En 2004, il devient délégué général de l'intelligence économique au ministère de l'Économie et des Finances, et y propose des stratégies pour protéger l'économie française de la mondialisation(2). En 2007, il fonde son propre parti politique, l'Union populaire républicaine (UPR).

Ce parti politique propose la sortie de l'Union européenne, de la zone euro et de l'OTAN. L'UPR, se présente elle-même comme un rassemblement(3) pour «rétablir la démocratie»(3bis), en dehors du clivage droite-gauche. Lors des élections européennes de 2014 et des régionales de 2015, sa liste est classée par le ministère de l'Intérieur parmi les « Divers ». François Asselineau a échoué à se présenter à l'élection présidentielle de 2012 et tente d'être candidat à celle de 2017.

Selon François Asselineau, la construction européenne aurait été voulue, initiée, et pilotée en sous-main par les Etats-Unis d'Amérique ; l'Union Européenne permettrait aux américains d'asseoir leur domination sur le vieux continent(4). François Asselineau est décrit comme souverainiste, antiaméricain, et conspirationniste, ce dernier qualificatif étant nettement nuancé par Rudy Reichsdadt, spécialiste du complotisme(5).

Les grands médias invitent peu François Asselineau(6), qui les accusent de le censurer. L'UPR assure notamment sa promotion par un cybermilitantisme très actif(7) sur internet. Les militants ont également mené auprès des grands médias une insistante démarche de lobbying, décrite par certains journalistes narquois comme un « harcèlement »(8). Par ailleurs, François Asselineau réalise de longues conférences publiques, très structurées, « de véritables cours magistraux », où il propose une «pédagogie sur l'Europe»(9).


Références[modifier | modifier le code]

  1. « Qui est vraiment l'UPR ? », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Mais l’homme est avant tout un fonctionnaire. Efficace. Il enchaîne les ministères : Bérégovoy, Balladur, Sarkozy… »

  2. Béatrice Houchard, « Trois recalés de la présidentielle en repêchage à Villeneuve-sur-Lot », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ) :

    « il a été membre des cabinets ministériels de Gérard Longuet, André Rossi, Hervé de Charette et Françoise de Panafieu »

  3. « François Asselineau, le candidat extrêmement «divers» », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « le président de l’UPR est tout droit sorti du « système » : diplômé d’HEC et de l’ENA, inspecteur des Finances, avec une belle carrière à Bercy avant de rejoindre les cabinets ministériels en 1993 comme conseiller pour les Affaires internationales au cabinet de Gérard Longuet à l’Industrie, puis directeur du cabinet de Françoise de Panafieu au tourisme (au temps des « juppettes »), puis chargé de mission au cabinet d’Hervé de Charette aux Affaires étrangères. »

  4. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Une fois l'ENA terminée, François Asselineau mène une carrière des plus classiques, à l'inspection des finances d'abord, puis dans des cabinets ministériels de droite : aux côtés de Gérard Longuet à l'Industrie, Hervé de Charette aux Affaires étrangères ou de Françoise de Panafieu, dont il a été le directeur de cabinet au ministère du Tourisme. »

  5. L'Usine Nouvelle, « L'avenir de l'intelligence économique après le départ d'Alain Juillet - Blog », usinenouvelle.com/,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Lorsque Nicolas Sarkozy devint ministre de l'économie et des finances en 2004, il signa une lettre de mission pour le moins originale en nommant auprès de lui François Asselineau, membre du corps de l'Inspection générale des finances comme responsable de l'intelligence économique. (…) Pour la première fois apparaissait l'embryon d'une vision stratégique sur l'approche géoéconomique du monde et la prise en compte des stratégies d'accroissement de puissance des pays concurrents. »

  6. BFM BUSINESS, « Bercy accueille un monsieur intelligence économique », BFM BUSINESS,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « François Asselineau dirigera la Délégation générale de l'intelligence économique, censée accentuer la politique de l'Etat dans ce domaine. (…) Son rôle ?' Fournir au gouvernement et aux entreprises des analyses en matière économique, financière, commerciale et industrielle. Et cela pour mieux faire face aux effets de la mondialisation sur l'économie française et sur nos emplois ', explique cet inspecteur général des finances (...) 'Cette nomination illustre la prise de conscience des autorités que notre patrimoine économique et technologique devait être défendu ', martèle le député Bernard Carayon. »

  7. « Intelligence économique: les raisons du retard français », LExpansion.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Nicolas Sarkozy a confié à François Asselineau, qui dirigera à terme une équipe de quinze personnes, la délicate mission d'aider l?'Etat à " affiner sa stratégie industrielle, économique et commerciale ". »

  8. « Elections régionales : la liste meusienne de l’UPR veut rassembler », Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « ELECTIONS RÉGIONALES : LA LISTE MEUSIENNE DE L’UPR VEUT RASSEMBLER
    Et si tous sont aujourd’hui séduits par le triptyque souverainiste fondamental de l’UPR – sortir la France de l’Union européenne, quitter la zone euro, se retirer de l’OTAN -, force est de constater qu’ils avaient tous emprunté des chemins dissemblables. (…) Autant de parcours différents rassemblés au sein de l’UPR qui séduit tous les déçus des partis politiques traditionnels et médiatiques en dehors d’un clivage droite/gauche. »

  9. « Jonathan Vallart (UPR), candidat dans le Territoire de Belfort, prône la sortie de l’euro, de l’Union européenne et de l’Otan », Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Pour Jonathan Vallart, son électorat « vient aussi bien de gauche que de droite », et est constitué des déçus des partis traditionnels («Il y a donc potentiellement beaucoup de monde »), qui ne se reconnaissent pas dans les thèses et les « débats stériles » du Front national. »

  10. « Régionales 2015 : l’Union populaire républicaine dévoile ses têtes de liste en Normandie », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Selon son fondateur, François Asselineau, l’UPR « rassemble les Français au-dessus des clivages gauche-centre-droite, de manière provisoire. Ce rassemblement provisoire est rendu possible par le refus de prendre position sur les sujets sociétaux et secondaires». »

  11. Béatrice Houchard, « Trois recalés de la présidentielle en repêchage à Villeneuve-sur-Lot », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ) :

    « François Asselineau prône «l'union du peuple pour rétablir la démocratie». »

  12. « L'union populaire républicaine en marche », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « « Rétablir la démocratie en récupérant les leviers de pouvoir. » C'est l'objectif principal de l'Union populaire républicaine (UPR)

    « Avant d'être un parti, rappelle Luccio Sitz, l'UPR était, au départ, un mouvement provisoire de libération nationale, qui veut rétablir la démocratie en France. » Créé, en 2007, par un inspecteur des finances, François Asselineau, il prône une sortie de l'union européenne (UE), « dont le fonctionnement n'est pas démocratique, pour retrouver un système de coopération avec l'ensemble du monde ». »

  13. « Régionales 2015 : l’Union populaire républicaine dévoile ses têtes de liste en Normandie », www.paris-normandie.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Au plan national, l’objectif de l’UPR, fondée le 25 mars 2007, jour du 50e anniversaire de la signature du Traité de Rome, est de « rendre à la France son indépendance et aux Français leur démocratie en faisant sortir la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN » »

  14. « L’UPR en route pour les régionales: non à l’Europe, oui au local… - La Voix du Nord », (consulté le ) : « « Notre objectif, celui de l’UPR : l’union du peuple pour rétablir la démocratie. » »
  15. « Le tour de chauffe de l'Union populaire républicaine », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « François Asselineau et ses amis ont l'ambition de s'ancrer dans le paysage politique, pour défendre « le principe d'une véritable démocratie qui ne soit pas sous la coupe de Bruxelles. » »

  16. « L'UPR, ovni souverainiste - 29/10/2015 - La Nouvelle République Indre », sur www.lanouvellerepublique.fr (consulté le ) : « Le parti milite pour une sortie de l'Union européenne « pour rétablir la démocratie ». »
  17. « Jacques Charpentier veut " revaloriser les gens " », La nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « «En fait, nous voulons juste rétablir la démocratie et revaloriser les gens» (…) La devise de l'UPR : Rétablir l'indépendance de la France et sa démocratie au niveau local et national. »

  18. « François Asselineau, le candidat qui dit non à l’UE », Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne) :

    « Nous sommes pour remettre la démocratie au cœur de la présidence. »

  19. « François Asselineau, le candidat qui dit non à l’UE », Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne) :

    « La construction européenne n’est pas, comme on veut nous le faire croire depuis 60 ans, une invention française. C’est une stratégie qui a été inventée par les Américains. (…) Il continue avec une image, celle d’un immeuble en copropriété. « L’UE est une copropriété à 27 membres, donc ingérable. Son syndic étant les États ­Unis ­d’Amérique. Car, qui a imposé l’Europe des 27, avec des pays qui avaient tous déjà adhéré à l’Otan, sinon les États ­Unis de Bush ? Et qui dé­cide de démettre Papandréou, élu par le peuple grec, sinon l’oligarchie financière et les banques américaines ? Cette Europe triomphe des USA, De Gaulle la redoutait déjà en 1962. » »

  20. « Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? », @rrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Et l'Union Européenne elle-même, serait une création des États-Unis »

  21. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « Sur un dossier de l'UPR consacré à Robert Schuman, on peut voir une photo de ce dernier tenu au bout de ficelles, tel un pantin dont le maître serait la CIA via des officines. Dans cette lecture, la construction européenne depuis ses origines serait le cheval de Troie de l'hégémonie américaine. »
  22. « UPR : le parti conspirationniste présente 1971 candidats aux régionales », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Une seule constante dans le programme de l’UPR : échapper à la domination (cachée) des États-Unis. (…) En substance, nos politiques ne seraient que des pantins manipulés, avec en guise de marionnettiste, les Etats-Unis. »

  23. « Sciences-po Aix ouvre son grand amphi au conspirationniste François Asselineau », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « La dada du souverainiste François Asselineau : la sortie de la France de l’Union Européenne, dont il dénonce « la vassalisation par les Etats-Unis ». A StreetPress, il synthétise ce qui fait le cœur de sa pensée : « Tous les grands choix stratégiques sont décidés à l’Otan, dont le siège est à Washington ou par l’Union Européenne. Les Français ont perdu leur souveraineté nationale. » »

  24. « Régionales: «Censuré par les médias», l’UPR fait parler ses candidats au compte-gouttes », Slate.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Le haut-fonctionnaire a quand même sa petite idée sur le récent redécoupage des régions: «Elles ont été calquées sur les États américains. Bourgogne-Franche-Comté, c’est la Virginie occidentale! À travers ces grandes régions, nos gouvernants cherchent en réalité à disloquer la France.» (…) le PDG de l’UPR aime surtout deviser sur l’histoire de France ou l’influence des États-Unis dans le monde. «Notre pays est aujourd’hui gouverné depuis Bruxelles, selon des intérêts américains, clame le haut-fonctionnaire »

  25. « Régionales: l’UPR en campagne, «le seul parti qui explique ce qui se passe» », La Voix du Nord,‎  :

    « L’Union européenne est un «  projet tyrannique visant à placer l’ensemble du continent européen sous la suzeraineté de Washington. C’est un glacis géopolitique dirigé par les États-Unis et dont le nouvel étage de la fusée est le Tafta.  » »

  26. « Régionales à Millau : l’UPR continue de creuser son sillon », sur MidiLibre.fr (consulté le ) : « l'objectif politique majeur (…) sortir la France de l'Union européenne, de l'euro et de l'Otan, qui représentent, selon l'Union populaire républicaine, le triptyque responsable d'à peu près tous les maux. Voire les instruments de la domination des États-Unis sur les nations européennes... »
  27. Centre France, « Le fondateur de l'UPR à Nevers aux côtés de Charles-Henri Gallois (UPR 58) : "On doit sortir de l'Europe !" », www.lejdc.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Nous sommes devenus les larbins des USA »

  28. « ONPC. En invitant François Asselineau, Laurent Ruquier cède à la pression des complotistes », leplus.nouvelobs.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « selon ses propos, Schuman a créé l’Europe sur ordre de la CIA. »

  29. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Les Etats-Unis à la manœuvre, partout François Asselineau voit l'oncle Sam tirer les ficelles en coulisses un peu partout. (…) Derrière la construction européenne ? François Asselineau voit aussi la marque des Etats-Unis. (...) il veut sortir unilatéralement de l'Union européenne, de l'euro et de l'Otan. Autant d'institutions qui sont le signe, selon lui, que la France est aujourd'hui "victime d'une entreprise de domestication américaine". »

  30. Quentin Vasseur, « Qui sont les candidats à la présidentielle ? », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  31. « ONPC. En invitant François Asselineau, Laurent Ruquier cède à la pression des complotistes », leplus.nouvelobs.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Asselineau hait toute influence anglo-saxonne ou américaine en France. »

  32. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Difficile d'imaginer aujourd'hui cet américanophobe farouche en train de s'afficher, bras dessus, bras dessous, avec Mickey et sa bande... »

  33. « L'état a la traque aux intrus économiques », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « La délégation est confiée à un inspecteur général des finances, François Asselineau. Ex-directeur de cabinet de Charles Pasqua au Conseil général des Hauts-de-Seine et ancien porte-parole du RPF, Asselineau, comme beaucoup d'acteurs de l'intelligence économique, défend haut et fort un «patriotisme économique» qui va de pair avec l'antiaméricanisme et la critique en règle d'institutions européennes «libérales». Convictions pas toujours très bien argumentées au regard des enjeux de la mondialisation. »

  34. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « Asselineau prône un souverainisme intégral mâtiné de théorie du complot antiaméricaine », analyse Rudy Reichsdadt. »
  35. « Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? », @rrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « A la différence d'autres figures intellectuellement proches de l'extrême-droite, cet anti-américanisme est exclusif de toute trace d'islamophobie, de racisme, ou d'antisémitisme. »

  36. « ONPC. En invitant François Asselineau, Laurent Ruquier cède à la pression des complotistes », leplus.nouvelobs.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « "Asselineau est un ovni (...) qui n’est pas sans rappeler un autre conspirationiste : Jacques Cheminade. (...) Le complot va même plus loin, je cite : (...) Asselineau hait toute influence anglo-saxonne ou américaine en France. Ce qui le dispense de toute explication ou anticipation sur, par exemple, la dévaluation de la monnaie française induite par un retour au franc, qu’il nie (...)." »

  37. « Quand les politiques se convertissent aux théories du complot », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « la très souverainiste Union populaire républicaine (UPR) de François Asselineau, un ancien proche de Charles Pasqua, présente le FN comme un "agent de perpétuation du système", la construction européenne, la secte Boko Haram, l'Etat islamique ou les attentats de Boston comme autant de complots de la CIA. »

  38. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? (…) François Asselineau est, avec Jacques Cheminade, l'entrepreneur politique qui a le mieux compris ce qu'il pouvait tirer du complotisme. »

  39. « L'UPR, le parti conspirationniste qui présente près de 2 000 candidats aux régionales », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « (Article court, sorti sur un fil d'information "Direct".) Le site StreetPress s'est penché sur ce micro-parti conspirationniste qui prône la «triple sortie» de l'Union européenne, de l'euro et de l'Otan, mais qui est tout de même présent dans toutes les régions métropolitaines et à La Réunion ce dimanche. »

  40. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « «Asselineau prône un souverainisme intégral mâtiné de théorie du complot antiaméricaine », analyse Rudy Reichsdadt. (…) Il est difficile de passer à côté lorsqu’on s'’intéresse à la mouvance complotiste. »
  41. « Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? », @rrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Asselineau l'obsédé du complot américain (…) c'est donc le complot américain, multiforme mais permanent au moins depuis la Libération, qui est la clé principale, voire unique, d'explication du monde. »

  42. « Sciences-po Aix ouvre son grand amphi au conspirationniste François Asselineau », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « SCIENCES-PO AIX OUVRE SON GRAND AMPHI AU CONSPIRATIONNISTE FRANÇOIS ASSELINEAU (…) François Asselineau souffre d’une maladie : la comploïte aigüe. »

  43. « AGORAVOX : VIE ET MORT D'UN SITE DE JOURNALISME-CITOYEN À LA FRANÇAISE », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Les bloggeurs les plus conspirationnistes s’incrustent sur le site. »

  44. « UPR : le parti conspirationniste présente 1971 candidats aux régionales », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « avec 13 listes, et 1971 candidats, l’UPR est présente dans toutes les régions métropolitaines et à La Réunion : un tour de force pour le micro-parti conspirationniste de François Asselineau. »

  45. Rudy Reichstadt, « Alain Soral sur Boulevard Voltaire ? Rien que de très logique », Conspiracy Watch / Observatoire du conspirationnisme,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « à la journée porte-ouverte de l'université de l’Union populaire républicaine (UPR), une petite formation ultra-souverainiste au discours paranoïde fondée par l'ex-pasquaïen François Asselineau »

  46. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Un homme "adulé par toute la complosphère""Je ne pense pas qu'il soit dingue, mais qu'il utilise le complotisme parce qu'il a compris que c'est ce qui marche sur internet" (…) François Asselineau est, avec Jacques Cheminade, l'entrepreneur politique qui a le mieux compris ce qu'il pouvait tirer du complotisme. »

  47. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « « Un homme intelligent et de cohérence », ajoute Jean-Yves Camus. Rudy Reichstadt. À mon avis, son objectif est de faire une sorte d'OPA sur le public séduit par les discours complotistes de sites comme le Réseau Voltaire ou Égalité et Réconciliation, d'Alain Soral, qui récusent la pertinence du clivage droite-gauche. Je crois qu'il y voit un potentiel électoral à exploiter. » Jean-Yves Camus se risque à une autre hypothèse : « On peut imaginer qu'il distraie les électeurs du Front national. Candidat bien sous tous rapports, il peut détourner ceux qui sont séduits par le souverainisme et la droite dure. » »
  48. « François Asselineau, le candidat extrêmement «divers» », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Ses affiches ont fleuri un peu partout, mais il est absent des grands médias audiovisuels, excepté un passage dans On n’est pas couché en 2014. »

  49. « Sciences-po Aix ouvre son grand amphi au conspirationniste François Asselineau », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « François Asselineau a été invité à l’initiative du « Cercle Politique Aixois », une association étudiante de Sciences-po Aix qui organise plusieurs débats par an avec des hommes politiques de tous bords – même des royalistes ! « Nous avons reçu l’autorisation express de l’administration », insiste Hugo Pinatel son président de 20 ans, qui se justifie : « C’est dans la tradition universitaire française que d’accueillir toutes les convictions et de prendre le relais des médias quand ils ne donnent pas la parole à certains politiques à la marge. » »

  50. « UPR : le parti conspirationniste présente 1971 candidats aux régionales », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « PAS VU À LA TÉLÉ Si l’UPR se fait rare à la télé (…) »

  51. « Qui est vraiment l'UPR ? », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « C’est pourtant loin des bistros, sur Internet, que vous avez probablement déjà croisé ces militants. Impossible de leur échapper, ils y sont omniprésents. Espaces de commentaires des grands sites d’information, forums ou réseaux sociaux, leurs objections sont partout (y compris sur Marianne.net). (…) La stratégie numérique du parti est (...) bien rôdée. Une cellule « cybermilitante » a même été créée et confiée à Marvin Leroy, 28 ans. « Nous sommes une centaine de personnes, précise ce diplômé en informatique et en communication. On s’appuie sur les habitudes des gens. Ça ne marche pas quand on leur demande de se créer un compte sur un réseau social. Alors, on ne les encourage à militer sur Facebook ou Twitter que s’ils ont l’habitude d’y aller. » »

  52. « Régionales: «Censuré par les médias», l’UPR fait parler ses candidats au compte-gouttes », Slate.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Ses militants, omniprésents sur les réseaux sociaux, n’hésitent pas à s’incruster dans les joutes politiques en ligne ou à interpeller les médias qui n’invitent pas assez leur mentor sur leurs plateaux. »

  53. « Quand les politiques se convertissent aux théories du complot », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « l'UPR, née en 2007, fait preuve d'un cyberactivisme dynamique »

  54. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « Cette dynamique tiendrait, entre autre, à sa présence sur la toile. « C'est un véritable phénomène sur Internet. Il est difficile de passer à côté lorsqu'on s'intéresse à la mouvance complotiste. »
  55. « UPR : le parti conspirationniste présente 1971 candidats aux régionales », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « En attendant de passer au 20 heures de Pujadas, le petit parti mène sa campagne à l’ancienne : tractage sur les marchés, porte-à-porte, multiplication de réunions locales… et surtout en investissant massivement le net. L’UPR s’est dotée d’une cellule « cybermilitante ». Elle est ultra présente sur les réseaux sociaux, et exhorte ses sympathisants à faire la pub de son président, y compris en « trollant » les forums, les espaces de commentaires des sites d’infos ou les sondages en ligne. »

  56. « Réponse ouverte à François Asselineau », sur www.ipolitique.fr (consulté le ) : « Prononcez le nom de "François Asselineau" devant un journaliste, et vous le verrez rigoler. Non pas en raison de ses idées, mais en raison du harcèlement que tout journaliste a subi un jour ou l'autre de la part de certains de ses militants »
  57. « UPR : le parti conspirationniste présente 1971 candidats aux régionales », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « L’UPR s’est dotée d’une cellule « cybermilitante ». Elle est ultra présente sur les réseaux sociaux (...) Une stratégie numérique qui vise aussi à mettre la pression aux médias. »

  58. « Régionales: «Censuré par les médias», l’UPR fait parler ses candidats au compte-gouttes », Slate.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Ses militants, omniprésents sur les réseaux sociaux, n’hésitent pas à s’incruster dans les joutes politiques en ligne ou à interpeller les médias qui n’invitent pas assez leur mentor sur leurs plateaux'. »

  59. « Législative partielle : la galaxie des micro-partis », sur SudOuest.fr (consulté le ) : « Ses réunions publiques sont les mieux bâties, les plus structurées. De véritables cours magistraux. »
  60. « François Asselineau, le candidat extrêmement «divers» », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Pour se faire connaître, il utilise au maximum Internet, avec notamment des retransmissions de ses conférences. »

  61. « Qui est vraiment l'UPR ? », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « François Asselineau, c’est plutôt le style conférencier. »

  62. « Qui est François Asselineau ? | Valeurs actuelles », sur www.valeursactuelles.com (consulté le ) : « Ses conférences ont été visionnées près de deux millions de fois sur Internet et le mouvement revendique s’être développé exclusivement en ligne. »
  63. « POLITIQUE L’UPR, un petit parti face à «l’escroquerie européenne» », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « L’Union populaire républicaine (UPR) (…) se distingue par sa pédagogie sur l’Europe. Le propos est souverainiste, mais il faut aller sur le site UPR.fr pour découvrir cette pédagogie. Le fondateur du parti, François Asselineau, un ancien inspecteur des finances, y présente des conférences (…) »

  64. Centre France, « Le fondateur de l'UPR à Nevers aux côtés de Charles-Henri Gallois (UPR 58) : "On doit sortir de l'Europe !" », www.lejdc.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Sous forme de conférence de plusieurs heures, « tout le monde me dit que c’est trop long » et non de meeting, ce brillant inspecteur des Finances s’est voulu pédagogue pour détailler « dix raisons qui nous imposent de sortir de l’Union européenne ». »

  65. « Antiaméricanisme, théorie du complot et Space Mountain : qui est François Asselineau, le "pestiféré" des régionales ? », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Sur son compte YouTube, il diffuse des enregistrements de ses conférences-fleuves, durant lesquelles, Powerpoint à l'appui,(...) »

  66. « Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? », @rrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « il s'exprime abondamment sur internet, par son site. Sur le plateau de Ruquier, il assure que le site s'est "hissé au tout premier rang des sites politiques français pendant les Européennes". On peut y prendre connaissance de ses positions dans de nombreuses vidéos, vues en moyenne entre 10 000 et 150 000 fois (un score pas extraordinaire au regard du succès que peuvent remporter certaines vidéos virales). Son programme est décliné en vidéo (5 heures au total). On trouve surtout toute une série de conférences en vidéo, toutes autour de la critique de l'Europe »

  67. « Sciences-po Aix ouvre son grand amphi au conspirationniste François Asselineau », http://www.streetpress.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « En attendant d’avoir sa tête sur les pancartes électorales, Asselineau consolide son réseau en sillonnant la France. Au mois de novembre, Il a donné 13 conférences dans 10 départements différents. »

  68. Béatrice Houchard, « Trois recalés de la présidentielle en repêchage à Villeneuve-sur-Lot », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ) :

    « Son analyse de la situation n'est pas joyeuse, et il la livre plusieurs fois par semaine dans le Lot-et-Garonne lors de conférence intitulées «Qu'arrive-t-il à la France?» et qui durent deux heures et demie. »