Shangoul et Mangoul
| Titre original | Shangoul-o-Mangoul |
|---|---|
| Réalisation |
Morteza Ahadi Farkondeh Torabi |
| Pays de production |
 Iran |
| Genre | Animation |
| Durée | 17 minutes |
| Sortie | 2000 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Shangoul et Mangoul (titre original : Shangoul-o-Mangoul) est un court métrage d'animation iranien réalisé par Morteza Ahadi et Farkondeh Torabi, sorti en 2000. Le film utilise l'animation en volume pour animer des décors et des personnages en tissu brodé. L'histoire se fonde sur un conte persan.
Synopsis[modifier | modifier le code]
En l'absence de la mère chèvre, le grand méchant loup pénètre dans la maison et tente de dévorer les chevreaux. Tous se défendent, mais il en avale deux. Les chevreaux sont finalement secourus par leur famille.
Fiche technique[modifier | modifier le code]
- Titre français : Shangoul et Mangoul
- Titre original : Shangoul-o-Mangoul
- Réalisation : Morteza Ahadi et Farkondeh Torabi
- Pays :
Iran - Langue : persan
- Format : couleur
- Durée : 17 minutes (États-Unis)
- Date de sortie : 2000
Distinctions[modifier | modifier le code]
En 2000, le court métrage remporte le « Prix du jury adulte : certificat de mérite » dans la catégorie « Court métrage ou vidéo : animation » au Chicago International Children's Film Festival de Chicago aux États-Unis. En 2001, il remporte une Silver Poznan Goat dans la catégorie « Meilleur film d'animation » au festival Ale Kino ! à Poznań en Pologne[1].
Édition en vidéo[modifier | modifier le code]
En France, ce court métrage a été édité en 2005 par Arte Video dans le DVD Les Contes de la mère poule, où il est regroupé avec deux autres courts métrages d'animation iraniens (Lili Hosak (Le Poussin) et Le Poisson arc-en-ciel).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Page « Awards » du film sur l'IMDB anglophone. Page consultée le 4 mars 2012.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- (en) Article de Dani Zuvela montrant une image du film dans la revue RealTime n°95, février-
