Discussion:Yves Hélory de Kermartin

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Il n'est pas vrai que saint Yves, dans ses jugements, privilégiait le pauvre sur le riche. Il recherchait simplement la vérité, sans se laisser influencer par l'origine sociale des plaideurs, ce qui était déjà incroyable pour l'époque. J'ai donc reformulé l'idée. Gwalarn 21 nov 2004 à 18:36 (CET)

Je serai pour retirer le cantique qui n'esr pas NPOV. Treanna °¿° 30 jan 2005 à 12:14 (CET)

Il s'agit de chants qui accompagnaient et accompagnent les processions à saint Yves. En quoi sont-ils NPOV ? Gwalarn 30 jan 2005 à 22:53 (CET)
Il s'agit d'une illustration raisonnable (surtout en taille) de l'article. Je ne pense pas utile de les retirer (pas plus qu'un hymne national n'est NPOV dans un article sur un pays). Ploum's 30 jan 2005 à 22:57 (CET)

"Vefves et orphelins"[modifier le code]

Treanna, on ne va pas se battre sur un 's', mais dans mes références (Bretagne des Saints, Florian Le Roy, édit°1959, p. 260), j'ai bien "orphelins" au pluriel. Gwalarn 11 fev 2005 à 00:07 (CET)

sant Erwan en breton du Trégor[modifier le code]

Je connais des Bretons qui s'appellent Erwan et qui ne sont pas trégorrois (je connais même des "non-Bretons" qui portent ce nom). Le breton trégorrois a-t-il le monopole de cette appellation ? Je propose de reformuler en disant que "Erwan" est une dénomination d' origine trégorroise. Sous couvert de Soig qui m'a appris quelque chose. Gwalarn 29 jun 2005 à 20:44 (CEST)

cantiques[modifier le code]

à déplacer sur Wikisource :

Cantiques à saint Yves[modifier le code]

Kantik Sant Erwan Cantique de Saint Yves
Refrain :
Nann, n'eus ket e Breizh, nann, n'eus ket unan

Nann, n'eus ket ur sant, evel sant Erwan
Nann, n'eus ket ur sant, evel sant Erwan

Non, il n'y a pas en Bretagne, non, il n'y a pas un

Non, il n'y a pas un saint, comme saint Yves
Non, il n'y a pas un saint, comme saint Yves

N'eus ket en Argoad, n'eus ket en Arvor,

Koulz ha sant Erwan 'vit an dud a vor (bis)

Il n’y a pas en Argoat ni en Arvor,

Aussi bon que saint Yves pour les gens de la mer.

Nann, n'eus ket er vro, 'vel ma lavarer,

Hag a ve ken mat 'vit al labourer

Non, il n’y a pas dans le pays, partout on le dit,

Qui serait si bon pour le paysan.

N'eus ket kaeroc'h skouer d'an dud a lezenn

Evit sant Erwan, skouer ar veleien

Il n'y a pas plus bel exemple pour les gens de loi

Avec saint Yves, prêtre exemplaire

Evel hon Tadoù, int, tud a gredenn,

Lavaromp d'ar Sant, 'n ur gaer a bedenn:

Comme nos ancêtres l'étaient, croyants,

Parlons au saint, celui-là est un bon prieur

Aotrou Sant Erwan, Patron Breizh-Izel,

Bezañ treitour deoc'h, nann, kentoc'h mervel

Saint Yves, patron de la Basse-Bretagne,

Être traître envers vous, non, plutôt mourir

Kantik da Sant Erwan Cantique à Saint Yves
Refrain :
Aotrou Sant Erwan benniget,

Enor ha skoazell hon bro,
An neb ho ped en deus bepred
Un difennour en neñvoù.

Monsieur Saint Yves béni,

Honneur et secours de notre pays,
Celui qui vous prie a toujours
Un gardien dans les cieux.

1. En hon touez, eus a Sant Erwan

Bras eo ar madoberoù ;
O soñjal enno pep unan
A wir galon 'lavaro.

1. Parmi nous, de saint Yves

Grands sont les bienfaits ;
En y pensant, chacun
Du fond du cœur dira :

2. En neñvoù 'vel war an douar

Sant Erwan 'zo galloudus,
Hag e galon, d'an neb e gar,
' Zo mat ha trugarezus.

2. Aux cieux comme sur terre

Saint Yves est puissant,
Et son cœur, pour celui qui l'aime,
Est bon et compatissant.

3. Ar vamm pa lavar ur bedenn

Da Sant Erwan beure-noz,
Kalon he mab 'vel ur rozenn
'Dro war-du ar Baradoz.

3. Quand la mère dit une prière

À saint Yves matin et soir,
Le cœur de son fils, comme une rose,
Se tourne vers le Paradis.

4. An devezhour, an den a boan,

Bemdez kent mont d'e zevezh,
Mar deu da bediñ Sant Erwan,
A gano gant levenez :

4. Le journalier, l'homme de peine,

Chaque jour avant d'aller à son travail
S'il vient prier Saint Yves,
Avec joie chantera :

Une vie de privations[modifier le code]

Je pense qu'il serait opportun de préciser que s'il "ne mangeait que deux oeufs par an", c'est toutefois selon une source bien précise (sa procédure de canonisation j'imagine ? ou éventuellement sa propre légende). Zctlyh2 4 septembre 2007 à 19:09 (CEST)[répondre]

L'histoire de l'aubergiste et du mendiant[modifier le code]

Cette histoire est attribuée ici à Saint Yves, mais en fait elle est plus universelle. On la trouve en Afghanistan, Corée, Turquie, pays de Galles, etc.. Et surtout elle fait partie des histoires de Nasreddin Hodja, ce qui me semble plus plausible. Lyapounov 30 janvier 2010 à 08:51 (CET)[répondre]

Problème de date[modifier le code]

Dans l'introduction, Yves est né vers 1250 et dans l'infobox le 17 octobre 1253 !!! Qui peut lever cette contradiction ?--Salsero35 (d) 19 mai 2010 à 21:21 (CEST)[répondre]

Prêche ?[modifier le code]

C'est moi, ou cet article es t rédigé comme une séance de catéchisme ?!

"Le jugement a dû en étonner plus d'un !" " de petit épisode plutôt amusant" " ila dû bien scandaliser sur le moment ces deux femmes qui bavardaient près de l'Hôtel-Dieu", etc etc. Wikipedia est censé être une encyclopédie neutre, pas le coin des conteurs ! Les formulationss sont à revoir.

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Heileen (discuter), le 23 mars 2012 à 15:48

À propos des remarques précédentes et des dernières modifications[modifier le code]

Des années après j’ai tenté de commencer à faire un peu de ménage et de réorganiser l’article en prenant en compte les différentes remarques. Il reste encore à faire, car je n’ai pas encore toujours bien atténué le style « conteur de catéchisme ».

Une des vieilles remarques mentionne l'anecdote des œufs. Elle provient en effet bien de plusieurs témoignages dans l'enquête de canonisation, je vais améliorer ça bientôt.

Pour ce qui est de l’anecdote du son de la pièce qui paye l’odeur de la cuisine, qui a été mentionnée sur cette page de discussion : autant dire que c’est dur de savoir de quand date l’attribution à Yves Hélory de cette histoire ! Dans les textes numérisés que j’ai pu trouver, je remarque que des sortes de missels, vies de saints du XIXe font mention de cette histoire en l’attribuant à saint Yves (cf. Biographie bretonne (1857), La Belgique judiciaire (1842)). Mais avant ça je ne trouve rien. J’ai trouvé un livre où l’auteur dit que Rabelais s’est inspiré de l’histoire prêtée à saint Yves (que j'ai utilisé comme source dans la version actuelle de l'article [1]), mais les spécialistes de Rabelais n’en parlent jamais (cf. « Rabelais, Philelphe et le « fumet du rôti » » de Lionello Sozzi dans Études rabelaisiennes, v. 10, t. 5, 1964). J’en conclus donc que la personne a dû faire un rapprochement erroné. À voir comment traiter cette légende, car elle est fréquemment associée à saint Yves et mériterait tout de même d'être mentionnée – mais avec de bonnes indications.

Kokluts (discuter) 19 mars 2020 à 16:16 (CET)[répondre]