Discussion:Ngolo Diarra

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Avis déposé par un utilisateur IP[modifier le code]

L'utilisateur IP Utilisateur:85.68.226.223 avait ajouté ce commentaire. Je l'ai transposé ici en page de discussion.Olivierkeita | L'arbre à palabres 3 septembre 2007 à 22:07 (CEST)[répondre]

Je suis bambara et voici la vraie traduction de ma langue maternelle.
Ngolo DIARRA n'est pas un esclave affranchi. Pourquoi? C'est le sens de "Ton jion" qui a été mal traduit depuis la rencontre avec le colonisateur. En effet "Ton" veut dire organisation, association etc..."Jion", comme vous le dites si bien veut dire serviteur, mais aussi esclave... mais dans le sens où on est obligé, en tant qu'individu, de subir et de respecter la loi de la majorité. Aujourd'hui on dirait simplement membre ou militant d'un parti politique: alors on applique les directives

L'Utilisateur:Bandjougou avait ajouté ce commentaire dans l'article. Il a davantage sa place ici.Olivierkeita | L'arbre à palabres 19 janvier 2009 à 20:23 (CET)[répondre]

Ngolo DIARRA n'est pas uns esclave au sens où l'on entend en Occident. Certes il faisait partie des Tondjons. En bambara Ton veut dire association, et Djon, esclave effectivement! Mais ici c'est membre de l'association, comme on dirait aujourd'hui en Occident, membre et surtout militant d'un parti politique. Et puisqu'il devait subir, quoiqu'il lui en coùte, les Lois de cette instance, la traduction occidentale en fait un esclave. Je veux dire qu'en Occident aujourd'hui c'est considéré tout simplement comme la loi de la démocratie! Et tout militant obéit à la loi de la majorité. Merci