Aller au contenu

Discussion:Famille Mincé du Fontbaré de Fumal

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Article à revoir[modifier le code]

Article à revoir, Iyy (discuter) 9 juin 2023 à 23:19 (CEST)[répondre]

Bonjour, merci, vu. Arx76 14 juin 2023 à 15:23 (CEST)[répondre]

Rattachement avec la famille de Mincé non prouvé[modifier le code]

Informations de rattachement non prouvées, Iyy (discuter) 10 juin 2023 à 07:09 (CEST)[répondre]

Les origines les plus anciennes de la famille remontent au XIe siècle à Echemiré en Maine-et-Loire (France). Le château du Haut-Mincé appartenait au seigneur de Mincé en 1040. Son fils, Foulque de Mincé (Fulco de Minciaco, en latin) y réside en 1060.

Une histoire du fief de Grenod, publiée dans les annales de l'académie de Macon, reprend la généalogie ancienne de la famille Mincé[1].

En 1350, on trouve trace d'Humbert de Mincé (Inventaire de la Bruyère, Minutes Clopasse à Pont de Vaux)[2]. C'est vraisemblablement par erreur que les Annales de l'académie de Macon situent les origines les plus anciennes de la famille à Sermoyer. Contrairement à Echemiré, aucun toponyme de Sermoyer ne comporte l'appellation "Mincé". La famille Mincé à cependant habité le maconnais durant une longue période: on l'y retrouve à la Bruyère ou Quentin de Mincey avait épousé Anne de Marmont[3]. En 1456, François de Mincé était bailli du Roi et seigneur de la Bruyère (Commune d'Igé) marié à Antoinette de Champ-rond.

Au rôle des nobles de 1478, on trouve son fils Quentin de Mincié, Seigneur de la Bruyère et Jehan de Mincié, seigneur de Péronne. Dans le rôle des possédant fief de 1560 on trouve noble Philibert de Myncé[4]. Vaux sous Targe, Besanceuil, Angoin et Grenod sont toutes des seigneuries qui ont été possédées par les Mincé[5]. La branche française des Mincé semble s'être éteinte dans les mâles. Le dernier membre masculin de la famille dont on trouve trace, est Philibert, pitancier de l'abbaye de Tournus en 1634.

  1. Annales de l'académie de Macon, troisième série Tome XXIV, Macon, Protat frères, 1924-1925, 422 p. (lire en ligne), p. 113 et suivantes
  2. Annales de l'académie de Macon, troisième série Tome XX, Macon, Protat frères, 1916-1917, 759 p. (lire en ligne), p. 187 et suivantes
  3. Edmond Reveren du Mesnil, Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Pays de Gex, Valromey et Franc Lyonnais d'après les travaux de Guichenon, d'Hozier, Aubret d'Hassier etc., Lyon, Aimé Vingtrinier, , 714 p. (lire en ligne), p. 408 + erratum
  4. L.Lex, Les fiefs du maconnais, Macon, Protat Frères, , 287 p., p. 30, 45
  5. Société de jurisconsultes et de publicistes, Revue catholique des institutions et du droit. 38ème année, Deuxième semestre, Paris, Emmanuel Vitte, , 96 p., « Les trois maris d'Eléonore de Marcilly et leur descendance »