Discussion:Dentelle d'Argentan

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Les actes notariés concernant les ouvrières d'Alençon parlent au XVIIIe aussi bien de "point de France", que de "Point d'Alençon". ex : 4E71/227 : le 7-09-1759 : testament de Jeanne Doudieux, fille majeure, travaillant au point de France, demeurant en cette ville d'Alençon, Grande Rue, Paroisse Notre-Dame... où elle fait son bureau et petit commerce de point d'Alençon... ex : 2 C 61 : 17-06-1751 : marché entre Antoine Collet et Jeanne Richard, demt tous deux à Alençon, par lequel lad. Richard s'oblige de travailler au point de France pendant 6 années pour le Sr Collet qui s'engage de lui payer 200£/an (enregistré le 6 juillet). Très nombreux exemples dans le notariat. Le "Point de France" n'est donc pas exclusif à Argentan et se pratique tout autant à Alençon, où l'on n'y marque pas de différence. --78.205.5.246 (discuter) 23 février 2015 à 15:36 (CET)Christian Lecomte, Falaise, le 23-02-2015[répondre]