Wikipédia:Oracle/semaine 29 2013

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une de plus[modifier le code]

À la douche!
Un nu décent est artistique, ou l'inverse...
… autre nu artistique et décent.(Kkbs, vraiment, tu es trop modeste Émoticône)

Bonjour, je vous pose une question un peu stupide je le sais, mais je la pose quand même

Les publicités et les films nous montrent régulièrement des personnes fortement dénudés ou totalement dénudées. Et encore, je suis modéré.

Donc je me demande pourquoi un ou une quidam qui se balade en petite tenue chez lui peut être poursuivi pour atteinte aux bonnes mœurs à l’époque actuelle. --Kkbs (d) 15 juillet 2013 à 11:32 (CEST)[répondre]

Tu peux très bien te balader "tout[e] nu[e]" chez toi... Si personne ne peut te voir. Tu ne prends jamais de douche ? --Serged/ 15 juillet 2013 à 16:56 (CEST)[répondre]
La question n'est pas si c'est chez soi ou pas, mais si c'est visible de l'espace public. En France ça constitue un Outrage public à la pudeur : « L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public » (qu'on soit chez soi ou pas). Et l'infraction est constituée même quand on se promène nu dans son propre jardin, Cf Cour de Cassation, Chambre criminelle, du 26 mai 1999, 98-84.733 Cordialement, Biem (d) 15 juillet 2013 à 17:14 (CEST)[répondre]
La notion d’atteinte aux bonnes mœurs que tu évoques concerne en réalité ce qui est écrit ou imprimé, du moins jusqu’à son abrogation en 1994 (en France).

Déambuler nu, que ce soit à pied ou à vélo, relève plutôt de l’outrage public à la pudeur. L’article 222-32 du Code pénal français réprime l’exhibitionnisme, qui est caractérisé par « la volonté délibérée de provoquer la pudeur publique », c’est-à-dire que la motivation de choquer constitue un délit mais pas la simple nudité. Le Code pénal belge prévoit dans son Art. 385 que « Quiconque aura publiquement outragé les mœurs par des actions qui blessent la pudeur, sera puni […] ».

Tout dépend donc de ton public quand tu te balades en petite tenue dans ton jardin : si c’est Mme Kkbs, tout va bien ; si c’est ta voisine, une exposition répétée prouverait l’intentionnalité (reste à savoir comment elle réagira Émoticône) ; si ce sont les enfants de ta voisine, ton nom sera dans les journaux à la rubrique Justice Sourire diabolique . -- Mister BV (d) 15 juillet 2013 à 17:59 (CEST)[répondre]
Merci Serged, une photo comme celle-ci chaque lundi et c'est le succès assuré de l'Oracle.Émoticône--Doalex (d) 15 juillet 2013 à 20:19 (CEST)[répondre]
Tu peux passer la face B aussi ? Oblomov2 (d) 16 juillet 2013 à 08:30 (CEST) [répondre]

Merci pour vos réponses, mais pourquoi "je vais dire" deux poids deux mesures, la TV, les films parfois torrides sont très bien acceptés par la censure, film que ma voisine peut regarder sans problème et moi déambulant nu dans mon jardin je provoquerais un attentat à la pudeur.

N'est ce pas un peu dépassé cela.--Kkbs (d) 15 juillet 2013 à 21:15 (CEST)[répondre]

Non. Il y a une importante différence entre les deux cas, dans l'un on a le choix de voir ou de ne pas voir – par exemple, si une personne se choque de l'image proposée ici elle a toujours l'opportunité de ne plus visiter cette page, tes voisins n'ont pas celle de ne pas être tes voisins. Surtout, il y a la question de l'intentionnalité, mais ça vaut pour les deux parties : si tu te promènes nu dans une zone de ta propriété non visible de la voie publique et malaisément visible de tes voisins, tu as toute liberté de le faire et peux, le cas échéant, arguer de ta bonne foi et de tes intentions honnêtes et à l'inverse faire valoir que, de la voie publique ou de la vicinalité, parvenir à te voir relève d'une intention inverse à celle qu'on te prêterait de faire de l'exhibitionnisme, qui serait de se livrer au voyeurisme. -O.--M.--H.- 15 juillet 2013 à 22:08 (CEST)[répondre]
Et puis toujours garder des petites raisons économiques sous le coude: priver la publicité d'afficher de la nudité porterait un certain coup dur au milieu àmha. --Floflo (d) 15 juillet 2013 à 22:37 (CEST)[répondre]

Bonjour, mon intention n'est pas de défendre ou pousser à la nudité, mais le voisin cité en exemple peut aussi avoir le choix de regarder ou pas. Il peut très bien constater que le voisin est nu (sans vraiment rien voir vu la distance) et observer celui qui est nu. Le plus vicieux des deux n'étant pas celui qu'on pense. Je parle bien du simple fait d'être nu, pas d'avoir des gestes ou attitudes déplacées. Le fait de savoir que le voisin est nu attirerait donc plus l'attention de ce voisin, c'est cela qui n'est pas normal il me semble.

La nudité devrait être quelque chose de banal. De plus le nombre d'Apollon est plutôt réduit et quand je me regarde dans la glace il y a plus de raison de rire que d'admirer.

En me prenant pour exemple, je n'ai pas difficile a imaginer comment serait les gens que je croise dans les rues s'ils étaient nus. --Kkbs (d) 16 juillet 2013 à 09:02 (CEST)[répondre]

CQui (d) Il est egalement question de lieu, par exemple, la tenue vestimentaire aux aborts d'un lieu de culte ou d'un lieu frequenté par de jeunes enfants n'est pas la meme que sur une plage ou au bord d'une piscine… Dans un lotissement famillial il peut etre recommandé d'etre plus prude que dans un lieu isolé et peu exposé. Ce n'est pas tres juste socialemet, celui qui a un terrain de 500m² n'a pas les meme droits que celui qui en a 10 ou 50 fois plus. --23 juillet 2013 à 11:33 (CEST)[répondre]

Évolution historique[modifier le code]

bonjour, Je recherche un dossier sur "l'évolution historique de la France et de l'Europe depuis le début du XXème siècle." Ainsi, que "les institutions et les principes de la Vème république". Merci par avance de votre aide.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 212.195.135.223 (discuter), le 19:19‎ 15 juillet 2013

Très simple : tout manuel scolaire d'Histoire traitant de la période permet de constituer le premier dossier ; quant au second, il suffit d'aller visiter les site du Conseil constitutionnel, de l'Assemblée nationale ou du Sénat pour en trouver de très bons. Celui du Conseil constitutionnel est fait par d'éminents spécialistes de sciences politiques et constitutionnalistes. -O.--M.--H.- 15 juillet 2013 à 21:10 (CEST)[répondre]

Hautbois d'mon cœur...[modifier le code]

Salut les pythies,

Et un salut spécial pour Hautbois, qui va s'empresser de me rappeler comment s'appelle ce site qui permet de retrouver un titre à partir d'un modèle du genre

++=++-+--=+-++-==+==

Merci d'avance. -O.--M.--H.- 15 juillet 2013 à 23:51 (CEST)[répondre]

Code Parsons / stop / « chaque note s'écrit "U" ("up") si elle est plus aiguë que la précédente, "D" ("down") si elle est plus grave, ou "R" ("repeat") si elle est de même hauteur » / stop / Voir sur site Musipedia: Contour mélodique (Code Parsons) / Bises et bonnes vacances, — Hautbois [canqueter] 16 juillet 2013 à 05:08 (CEST)[répondre]
Cette fois je copie l'info, ça resservira Émoticône sourire Bonnes vacances à toi et Émoticône -O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 05:26 (CEST)[répondre]
Modèle:Quizz… qui me trouvera d'où vient ce thème qui, malgré son "air" très simple
et ses notes répétées, est l'un des plus grandiose de la musique classique ?
*RRRRRRRRR RRUURRRRR RRUURDRUUR DRRRRRUUU
(interdiction bien-sûr d'aller sur http://fr.musipedia.org/melodic_contour.html ) Modèle:Fin quizz
Hautbois [canqueter] 17 juillet 2013 à 10:32 (CEST)[répondre]
Une poule sur un mur ? -O.--M.--H.- 19 juillet 2013 à 10:36 (CEST)[répondre]

Montage de la partition au démarrage pour les systèmes d'exploitations basés sur nt 6[modifier le code]

Bonjour, J'aurai besoin de savoir comment nt accède à sa partition après avoir été assemblé et initialisé.

Au démarrage le chargeur d'amorçage (ou un sous programme) charge les composants de bases du noyaux (ntoskrnl.exe hal.dll...) ensuite %systemroot%\system32\config\SYSTEM ensuite les services ayant la clé start sur 0.

nt démare: Le système s'initialise et l'animation de progression s'affiche. Pour continuer de démarrer, il faut accéder à la partition du système.

Je n'ai pas de port série pour connecter le système à un débogueur. J'ai besoin de savoir la liste des fonctions qui sont appelées (et ce quelles font) depuis l'étape écrite au dessus jusqu'au début du démarrage du premier service ayant l'entrée start à 1. Le plus important est de savoir les entrées de registres qui sont consultés.

Je suis conscient de la difficulté. Les réponses mêmes partiels sont donc la bienvenue. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 16 juillet 2013 à 03:50 (CEST)[répondre]

Salut. Je ne suis pas certain que ce soit une question très encyclopédique mais surtout, je doute qu'il y ait une réponse à ta question. Comme tu ne l'ignores probablement pas, Microsoft ne donne guère de moyens pour aller au cœur du système. Cela posé, il manque quelque chose à ta question, sa raison. J'ai cru comprendre que c'est un problème réel d'amorçage de Windows et non une demande d'ordre général sur la manière dont ça se fait. Si ma supposition est juste, merci de nous signaler le message exact que tu obtiens, ça n'est qu'avec ça qu'on aura, peut-être, une réponse. -O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 08:34 (CEST)[répondre]
Je préfère vous renvoyer vers un site spécialisé, il y en plusieurs de qualité. par exemple le forum de commentcamarche. Voir aussi les références de notre article Partition de disque dur. Bertrouf 16 juillet 2013 à 09:29 (CEST)[répondre]
Je n'ai pas trouvé de résultat sur google. J'ai effectivement un BOSD « inaccessible boot device ». J'ai regardé tout les paramètres (BooMgr (J'utilise une alternative) ;HKLM/system/MountedDevices...). Il sont corrects. Le souci est venu lorsque j'ai restauré les ruches du registre (%systemroot%\system32\config). Il y a forcément une paramètre qui n'est pas bon puisque c'est avec le registre. Il y a plusieurs truc que je ne connais pas: Le paramètre indiquant la lettre de lecteur (qui n'est pas forcément C:) en est un example.
Il y a des logiciels qui valent chers d'installé et dont j'ai perdu le numéro de série. Réinstaller n'est pas une option.Je ne demande que le problème soit résolu, mais de savoir ce qui ce passe. Ça servira pour des problèmes futurs. L'une des solution est de télécharger les symboles de débogage pour avoir le nom des fonctions; windows debuging tools; Donner les paramètres de connexion dans la ligne de commande du noyau. Le problème est que je n'ai pas de port série ni 1394 ni usb (utilisable dans ce cas). 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 16 juillet 2013 à 12:25 (CEST)[répondre]
Tu peux essayer un truc, parfois ça marche, démarrer du CD ou DVD d'installation puis choisir le démarrage sur le disque dur, ou alors (si ça existe encore pour Vista et plus) démarrer du CD ou DVD et te mettre en mode console, qui n'est pas exactement le même qu'en démarrant du DD. Troisième possibilité, si tu n'as pas tenté et si ça existe encore, démarrer en mode sans échec, des fois ça permet d'arriver à l'interface graphique quand le problème est dans les éléments secondaires non chargés dans ce mode, ou mieux en mode pas à pas (si ça existe encore) qui te permet de choisir les éléments montés ou exécutés. Après, si tu parviens à démarrer l'interface graphique et que tu as moyen de corriger ton problème ou de récupérer les codes de tes logiciels (soit dit en passant, pour un produit légalement acheté il y a toujours moyen d'en récupérer...), ça résoudra la question. -O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 16:04 (CEST)[répondre]
J'ai oublié quelques détails: J'ai un MinWin qui me permet de modifier une ruche de registre en offline.Les modes sans échec sont d'autres liste que celle dans HKLM/system/currentcontrolset/services. Il n'y a pas d'informations pour l'accès aux partitions. Le chargement aux pas pas est pour DOS et OS/2.
J'ai +1000 entrées dans Programs Files beaucoup sont issu de ma conception. Le reste représente une note salée. J'utilise plusieurs chiffrements (dont NTFS) je perdrai +100G de documents et beaucoup plus en programme. La plupart de ces données sont sur des disques externes. L'accès au donnés chiffrés se fait grâce au informations internes qui identifie ma session. J'ai des sauvegardes, mais elles sont tout aussi sécurisé.
Concrètement celui qui essaye d'accéder à un de mes disques sans cette install voit une demande invitant à le formater. Si il accepte, ça ne marche pas. Peut importe Le SE ou l'endroit qu'on cherche à accéder: lire ou écrire renverra une erreur d'E/S. Et encore c'est dans le cas ou il n'utilise pas windows. Un windows (même 8.2) arrête de fonctionner temps qu'il est branché.
Ça parait complètement impossible, mais de telle niveaux de sécurités existe. Il y a l'exemple des DVD pour les consoles nintendo: impossible de lire un seul bit dessus, même avec un programme pour récupérer les secteurs endommagé. J'ai même vu un BOSD sur un Windows 7 après en avoir inséré un.
Je préfère parler de nt plutôt que de windows. Le noyau est de Microsoft, le reste est complètement différent. Le sous-système windows est connu pour causer un ralentissement progressif du système au fil des années. win32k.sys n'est pas du tout le même que la version officiel. J'ai d'ailleurs une option pour utiliser les applications win32 mode console sans aucune fenêtre, ni souris.(Je suis allergique au interfaces graphiques). Je n'aime pas le fichier de configuration binaire de bootMgr. J'utilise donc une alternative basée sur GRUB.
La phase BOOT_START est identique à n'importe quel windows post-vista. Dans cette phase, seul la ruche %systemroot%\system32\config\SYSTEM est chargé, les autres sont chargés dans la phase SYSTEM_START. SYSTEM n'a pas été modifié dans le sens ou elle est identique au ruches classiques (mis à part les variables d'environnement système). J'obtiens l'écran de démarrage windows durant SYSTEM_START. Il n'y a rien d'urgent pour le moment (1 mois).


Il faut que je connaisse ce que le système fait et les entrées de configuration qu'il utilise. Si vous voulez j'utilise nt 6.2 pour les symboles de débogages. La question n'as pas l'air d'être encyclopédique mais elle pourrait servir à la rédaction d'un article sur le démarrage de windows. Je connais toute la phase BOOT_START. Cette discussion pourrait aider dans des recherches. La langue anglaise possède déjà quelques ébauches. Désolé pour le contenu de l'edit. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 16 juillet 2013 à 19:09 (CEST)[répondre]
Finalement je renouvelle le conseil de Bertrouf, va plutôt voir un site spécialisé, là ça devient trop compliqué pour moi, en plus la parano ça me décourage, on a bien assez de problèmes avec les OS de Microsoft pour ne pas en plus y ajouter les siens propres Émoticône -O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 20:33 (CEST)[répondre]
Une information de base. Cela vous servira pour plus tard. Il s'agit de la philosophie de la conception de NT. Car je crois vous faites trop l'association avec windows. Tout par d'un constat: Lorsqu'il faut créer un SE, une part importante est dédié à la gestion du matériel. La programmation n'est pas très aisée; On est très loin de la facilité disponible en mode utilisateur. À cette époque il y a un renouveau dans la manières de penser les aspects. Les SE ayant des interfaces graphiques intégrés se multiplient. L'ergonomie commence à faire partie de la conception. Il y a du renouveau dans les API...
Une solution prend forme: Il s'agit d'un Système qui fournit les pilotes. L'écriture de ces derniers au sein du système bénéficie même d'une HAL. On peut considérer cela comme un SE qui ne fournit que les pilotes. Il n'y a pratiquement pas de Fonctions pour gérer l'interface. Il n'y a pas moyen d'obtenir l'entrée d'un utilisateur (ni souris ni clavier). C'est fait pour créer des API de haut niveaux et définir un type d'executable (qui doit toutefois avoir un header PE).
Tout cela ce passe non pas chez Microsoft... mais dans les laboratoires d'IBM, ou Microsoft n'était que partenaire. Le premier format d'exécutable pour PE n'est pas win32, mais OS/2 en 32 bits. Ces informations ne sont pas disponibles sur wikipédia. Elles sont dans des livres techniques (pas les windows internals ou inside windows nt) publié par Microsoft peut connu et dont le prix frise les 5000$ (je ne me suis pas trompé dans le nombre de 0). L'alternative est de parler à une équipe qui a migré des systèmes de OS/2 32 bits vers windows NT au début des années 90.
Il ne s'agit pas de trouver une solution, mais de comprendre une étape commune à tout les windows Post-Vista. Je veux savoir (en détails) comment un windows normal va sur sa partition système. Je cherche les informations dans ce bouquin: windows internals. Elles doivent être dedans ou dans le volume 1. Malheureusement, il n'y a pas de section dédié. Il faut tout feuilleter. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 17 juillet 2013 à 01:34 (CEST)[répondre]
Note : NT 6.2 est le noyau de Windows 8. Donc très probablement une version 64 bits... --Serged/ 17 juillet 2013 à 08:46 (CEST)[répondre]
Le processeur utilisé est un intel atom N270. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 17 juillet 2013 à 18:33 (CEST)[répondre]

Il y a trois moyens pour les points de montage sous Windows : DOS Devices; MountedDevices; et Mount manager (abrégé MountMgr)

Je ne retrouve plus les clés de registre liés à MountMgr. Il n'y a pas d'article de wikipédia anglais détaillant son fonctionnement (Contrairement à MountedDevices).

J'aurai besoin d'un rappel, Merci D'avance. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 20 juillet 2013 à 15:12 (CEST)[répondre]

classement fifa[modifier le code]

bjr , je me permet de vous ecrire car dans fedration française de de football , il ya tout sur les palmares du foot français masculin et feminin mais ce serai bien aussi de pas oubliè que l equipe de france generation zidane a ètè premier au classement fifa , au plaisir de vous lire

C'est déjà écrit deux fois dans l'article sur l'équipe de France de football. Ainsi que sur l'article du classement mondial de la FIFA. Tout le monde peut modifier les articles, vous également, si vous pensez qu'une information a sa place alors qu'elle est en absente, vous pouvez la rajouter. GabrieL (d) 16 juillet 2013 à 13:16 (CEST) En faisant attention à l’orthographe. --Morburre (d) 16 juillet 2013 à 13:24 (CEST)[répondre]

classement fifa (2)[modifier le code]

bonsoir jai ecrit un article manquant sur le palmares du footbal francais sur la page federation française de footbal ou jai ecrit premier au classement mondial de la fifa mais je m appercois en regardant les autres articles , au debut il y a un petit point bleu a chaque debut d article , quand a mon article , il y en a pas , merci au plaisir de vous lire — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.114.128.10 (discuter), le 16 juillet 2013

Salut. Pour toute question technique, et bien justement voir les questions techniques. -O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 17:50 (CEST)[répondre]

etre riche[modifier le code]

Pacte avec le diable

bonjour, j'aimerai savoir comment je vais faire pour être riche grâce aux sorciers,démons ou le diable? Oubien qu'estceque je dois faire pour avoir un pacte avec le diable?

MERCI — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.83.64.30 (discuter), le 16 juillet 2013 à 15:52‎

Très simple : prendre un rendez-vous avec lui et signer un contrat. Paraît que ça fait un peu mal au début, et très très mal à la fin, mais je ne sais ça que par des on-dit, personne de ma connaissance ne peut (ou ne veut ?) les confirmer... Cela dit
-O.--M.--H.- 16 juillet 2013 à 16:10 (CEST)[répondre]
Des détails supplémentaires dans Faust. Attention, il paraît que ce genre de contrat présente des inconvénients sur le long terme. -- Mister BV (d) 16 juillet 2013 à 16:20 (CEST)[répondre]
Lire les passages écrits en petit caractère comme chez son assureur. Éviter de signer en utilisant une encre atypique. --Pline (discuter) 16 juillet 2013 à 18:34 (CEST)[répondre]
Voir la bibliographie de l'article Pacte avec le Diable, ainsi que le paragraphe littérature. Bertrouf 17 juillet 2013 à 09:25 (CEST)[répondre]
Prenez garde, le diable est filou. Dans pas mal de contes traditionnels, les richesses obtenues grâce à lui se transforment inopinément en amas de feuilles mortes ou autres objets sans valeur. Et pour aller porter plainte après, ouallou ! Oblomov2 (d) 18 juillet 2013 à 08:22 (CEST)[répondre]

Bonjour Dans les infos que vous donnez sur Mr Claude Erignac ancien prefet assassine en Corse, je ne voit nulle part le nom du village ou il a ete enterre dans le Cantal je suppose Pouvez vous me le communiquer Avec mes plus vifs remerciements

Jean pierre. GABELLE Conseiller General du Loiret xxxx@xxxx

Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
Par ailleurs ni Wikipédia ni l'Oracle ne sont des centres de renseignements.
Salut. D'après l'association Claude-Érignac, il « était très attaché à [la Lozère], dont il était originaire et où il avait sa maison, l'endroit où chaque été il venait se ressourcer, au cœur des Gorges du Tarn. C'est dans cette propriété que ses cendres reposent désormais ». Comme il était originaire de Mende on peut sans grands risques présumer que c'est le lieu de sa sépulture, si du moins il en a une, la mention « que ses cendres reposent » est ambigüe : ses cendres au sens convenu, ou au sens strict de « restes d'une incinération » ? -O.--M.--H.- 17 juillet 2013 à 15:52 (CEST)[répondre]
Bonjour, Effectivement, grâce aux informations disponibles sur le site de l'association Claude Erignac, on peut apprendre que les cendres du préfet reposent dans sa propriété en Lozère. J'ai donc joint la préfecture de ce département à Mende qui m'a précisé que cette propriété était située sur le territoire de la commune de Montbrun (48210. A la mairie, un employé m'a confirmé l'information. La mairie de Montbrun est joignable à ce numéro 04 66 48 55 21. Cordialement,

--BiblioSésame - des bibliothécaires répondent à vos questions (d) 24 juillet 2013 à 12:04 (CEST)[répondre]

Merci pour ces renseignements sourcés, maintenant reste à savoir si le questionneur reviendra, mais si quelqu'un est disposé à lui délivrer les informations son adresse courriel doit figurer dans l'historique de cette page ici.--Doalex (d) 24 juillet 2013 à 13:28 (CEST)[répondre]

Traduction latine et mortelle, le retour[modifier le code]

(repris de la semaine passée - -O.--M.--H.-)

Merci de vos réponses, ça commence en effet par Hic jacet, mais ça ca va j'avais compris... C'est quand même assez gros, j'hésite à vous le mettre ici, je me le suis mis en brouillon ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Chome36/Brouillon C'est la pierre tombale d'Antoine Le Maistre.

Excusez du retard à l'allumage... --Chome (d) 17 juillet 2013 à 15:29 (CEST)[répondre]

Je n'ai pas les mêmes pudeurs, donc voici le texte en question :
HIC IACET ANTONIUS LEMAISTRE, ROBERT ARNAULD D’ANDILLY EX SORORE NEPOS ; CUM QUO OMNIEUS NATURAE ET GRATIAE VINCULIS OLIM. CONJONCTUS IPSA NUNC SEPULTURAE SOCIETATE CONJUNGITUR. CUM OMNES SINGULAREM ILLIUS ELOQUENTIAM PRAEDICARENT MUNDUM EXOSUS ETIAM ADMIRANTEM CONTEMPTA LUCE. FORENSI, ET OMNI SPE SAECULI AD MAXIMOS QUOSQUE HONORES INVITANTIS IN HANC SE SOLITUDINEM ABDIDIT HOMINIBUS MUTUS UT CUM DEO LOQUERETUR. HOC UNUM ILLI IN VOTIS, LAPERE ET PAE ? NITERE DIVITIAS, TAM DITIOR POST QUAM ARTECERAT VILIORES LUTO HABUITI QUOD DIFFICILIUS ERAT TAM MAGNUS DICENDI ARTIFEX NON MINUS CONTEMPSIT ELOQUENTIAM ALIAM AVERBO DEI EDOCTUS QUA SILENTII HUMILITATE VOCALIOR AC SUBLIMIOR AUDITUR IN CAELO, ET DEUM ELECTIT. HINC NIHIL ILLI OPTATIUS, QUAM NEQUE AUDIREUT OTIOSIS SENSIBUS MENS COELO INFIXA VERITATIS ROBUR HAVRIRET : DIVINAE HUIC SOLITUDINEM AMATOR PAUPERUM IUNXII AMOREM PAUPERTIS, PATIENTIAM IN LABORIBUS, CAUDIUM IN OPROBIIS ? PARTITATEM IN VICTU, ODIUM SUI ET CHARITATEM IN ALIOS, QUAE SUNT ADIUMENTA DISCIPLINAE COELESTIS MAGNIFICE IN PRIMIS TRACTAVIT POENITENTIAM , QUAM NON EX INFIRMITATE NATURAE , AUT CONSUETUDINE HIMINUM QUI MALE IUDICANT DE DIVINIS SED EX GRATIAE POTENTIAE ESTIMAVIT, ARDENS AMATOR NON MINUS GRATIAE QUAM PAENITENTIAE ET SIPER EIUS HUMILITATEM DICERE LICERET, UTRIUSQUE DEFENSOR OBIIT ANNOS NATUS 30 DIE 4 NOVEMBRIS MDCLVIII
Allez, courage les traducteurs ! -O.--M.--H.- 17 juillet 2013 à 18:37 (CEST)[répondre]
C'est bien une tombe d'avocat, ça... Même morts, il faut qu'ils continuent à bavasser. En résumé, ça dit qu'il est mort le 4 novembre 1658, à l'âge de (30 ? l'article dit 50) ans et que c'était un type formidable, mais pour les détails, il y a du boulot en effet. Oblomov2 (d) 18 juillet 2013 à 08:32 (CEST)[répondre]
Hé bé, on avance. C’est un truc à réveiller la cabale janséniste (qui fouette d’autres chats). Je veux bien m’y coller, mais pas trop vite, et le texte me semble quelque peu farci d’erreurs de transcription et de ponctuation, mais on pourra faire avec. Morburre (d)
Des erreurs de ponctuation surement, c'est moi qui ai fait la transcription, si il y a des choses étranges de ce coté là je peut aller vérifier sur la pierre elle même. Ce n'est pas vraiment pressé, je vais essayer de nous faire une petite photo mais je doute qu'on y voit quelque chose.--Chome (d) 18 juillet 2013 à 09:41 (CEST)[répondre]
On en fait peu de cas sur ce site Société des Amis de Port-Royal, les descriptions du cloitre sont un peu courtes.--Doalex (d) 18 juillet 2013 à 10:05 (CEST)[répondre]
HIC IACET ANTONIUS LEMAISTRE,
Ci-gît Antoine Le Maistre
ROBERT ARNAULD D’ANDILLY EX SORORE NEPOS ;
Petit-fils de la soeur d'Arnauld d'Andilly ;18 juillet 2013 à 14:42‎ Biem.
J'aurais plus dit neveu de robert arnaud d'andilly par sa soeur (du dit robert arnaud), non? --Chome (d) 18 juillet 2013 à 15:24 (CEST)[répondre]
« Nepotes » est un faux-ami, il a bien donné « neveu » en passant par le bas-latin mais, comme le rappelle l'article du Wiktionnaire, en latin classique (celui des inscriptions funéraires) c'est bien « petit-fils ». -O.--M.--H.- 18 juillet 2013 à 16:14 (CEST)[répondre]
Sur ce point-là, on reste classique-habituel, nepos, neveu : Antoine est le fils de Catherine Arnauld, sœur aînée de Robert Arnauld d’Andilly et fille d’Antoine Arnauld. Petit-fils par sa sœur, c’est pas très janséniste… 18 juillet 2013 à 17:47 (CEST)
CUM QUO OMNIEUS NATURAE ET GRATIAE VINCULIS OLIM.
CONJONCTUS IPSA NUNC SEPULTURAE SOCIETATE CONJUNGITUR.
CUM OMNES SINGULAREM ILLIUS ELOQUENTIAM PRAEDICARENT MUNDUM EXOSUS ETIAM ADMIRANTEM CONTEMPTA LUCE.
FORENSI, ET OMNI SPE SAECULI AD MAXIMOS QUOSQUE HONORES INVITANTIS IN HANC SE SOLITUDINEM ABDIDIT HOMINIBUS MUTUS UT CUM DEO LOQUERETUR.
HOC UNUM ILLI IN VOTIS, LAPERE ET PAE ? NITERE DIVITIAS,
TAM DITIOR POST QUAM ARTECERAT VILIORES LUTO HABUITI QUOD DIFFICILIUS ERAT TAM MAGNUS DICENDI ARTIFEX NON MINUS CONTEMPSIT ELOQUENTIAM ALIAM AVERBO DEI EDOCTUS QUA SILENTII HUMILITATE VOCALIOR AC SUBLIMIOR AUDITUR IN CAELO,
ET DEUM ELECTIT.
HINC NIHIL ILLI OPTATIUS,
QUAM NEQUE AUDIREUT OTIOSIS SENSIBUS MENS COELO INFIXA VERITATIS ROBUR HAVRIRET :
DIVINAE HUIC SOLITUDINEM AMATOR PAUPERUM IUNXII AMOREM PAUPERTIS,
PATIENTIAM IN LABORIBUS, CAUDIUM IN OPROBIIS ? PARTITATEM IN VICTU,
ODIUM SUI ET CHARITATEM IN ALIOS,
QUAE SUNT ADIUMENTA DISCIPLINAE COELESTIS MAGNIFICE IN PRIMIS TRACTAVIT POENITENTIAM ,
QUAM NON EX INFIRMITATE NATURAE ,
AUT CONSUETUDINE HIMINUM QUI MALE IUDICANT DE DIVINIS SED EX GRATIAE POTENTIAE ESTIMAVIT,
ARDENS AMATOR NON MINUS GRATIAE QUAM PAENITENTIAE ET SIPER EIUS HUMILITATEM DICERE LICERET,
UTRIUSQUE DEFENSOR
OBIIT ANNOS NATUS 30 DIE 4 NOVEMBRIS MDCLVIII
Il mourut dans sa trentième année le 4 novembre 1658.
Donc, pour commencer : ci-gît Antoine Le Maistre, neveu de Robert Arnauld d’Andilly par sa sœur, avec lequel, lié jadis par tous les liens de la nature et de la grâce, il est réuini maintenant par la société même de la sépulture. (à suivre) --Morburre (d) 18 juillet 2013 à 17:59 (CEST) (… ah, le latinou de l'oracle ! c'est beau. — Hautbois [canqueter] ) Asinus asinum fricat. --Morburre (d) 18 juillet 2013 à 19:02 (CEST)[répondre]
À mon avis vous faites erreur, cet Antoine Le Maistre, mort en 1658 à 30 ans, n'est pas celui de notre article, mort en 1619 à 50 ans, mais très probablement le fils d'un de ses frères et donc, petit-fils de Catherine Arnault, sœur de Robert. -O.--M.--H.- 18 juillet 2013 à 18:59 (CEST) Attends, reprends tout et vérifie. Il n’y a pas le feu. --Morburre (d) 18 juillet 2013 à 19:07 (CEST)[répondre]
Finalement c'est pas clair, probable que le 30 indiqué ici soit une lecture fautive pour un 50. En plus j'ai pris l'année de naissance du gars de l'article pour son année de mort, qui est bien 1658... -O.--M.--H.- 18 juillet 2013 à 20:39 (CEST)[répondre]
Et c'est normal ces chiffres arabes (30 DIE 4 NOVEMBRIS) dans un texte latin ? LATINUS CUISINÆ ? --Serged/ 19 juillet 2013 à 09:21 (CEST)[répondre]
Latin du XVIIe, pas chipoter non plus sur ce qui est évident. Donner plutôt la bonne écriture de LAPERE, ARTECERAT, AVERBO, et quelques autres (finalement, il n’y en a pas tant que ça). --Morburre (d) 19 juillet 2013 à 10:24 (CEST)[répondre]
Après vérification c'est bien 50 et pas 30, erreur de ma part, je me charge du reste rapidement.--Chome (d) 19 juillet 2013 à 10:54 (CEST)[répondre]

Codes de numéro INSEE rare et particulier.[modifier le code]

Bonjour,

Je voudrais savoir :

- Si le code sexe de l'INSEE est particulier pour les personnes transsexuelles.

- Le code du pays de naissance pour quelqu'un qui serait né à Saïgon en 1939.

Cordialement.

Salut. Pas de numéro spécial pour les transsexuels, qui ont un sexe identifié, 1 ou 2, ni pour les transgenre dont la situation n'est pour l'instant pas reconnue par la loi et qui sont donc des genres 1 ou 2. Il existe un « genre » 3 qui est en fait un non genre, « indéterminé », pour les personnes étrangères qui demandent une immatriculation mais dont on n'a donc pas pu déterminer le genre, transformé par après en 1 ou 2 quand la personne est identifiée.
Pour l'autre question, et bien, en 1939 Saïgon était en France, et le numéro INSEE n'existait pas sous sa forme d'après 1946. En 1950 il et probable que ces personnes furent immatriculées selon le modèle valable pour l'outremer, après, et bien c'est selon : soit la personne est restée continument française et a gardé ce numéro, soit il y a eu rupture et selon la suite (réintégration ou naturalisation) aura eu le même numéro ou un numéro d'« ex-étranger ». Bref, pas de réponse certaine. -O.--M.--H.- 18 juillet 2013 à 19:19 (CEST)[répondre]
99245 : Département "né à l'étranger = 99", comme mes enfants (securite-sociale.fr) et le pays est 245 (et non pas 243 pour le Vietnam) car comme indiqué dans Code officiel géographique, « pour éviter les confusions, les codes de pays et territoires étrangers dits disparus ne sont pas recyclés ». Voir Vietnam du sud sur le site de l'INSEE. Bertrouf 19 juillet 2013 à 08:32 (CEST)[répondre]
Notez que le code national d'identité change au Danemark et en Suède suite au changement de sexe. En France, pour ce que j'ai trouvé, seule la carte d'identité et le registre d'état civil changent suite à un changement de sexe. Le code sécu demeure tel qu'à la naissance. Bertrouf 19 juillet 2013 à 11:02 (CEST)[répondre]

federation française de foot palmares[modifier le code]

bonjour je me permet de vous ecrire et vous prevenir que dans la page federation francaise de football dans le palmares , je me suis permi de faire pas mal de rectification , il y avai des palmares manquant , des palmares attribuè au moins de 18 ANS alors que cela appartenai au moin de 19ans jai tout bien classè , cest propre net , au plaisir de vous lire
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.113.11.249 (discuter), le 19 juillet 2013 à 12:57

Bonjour
Merci beaucoup pour vos corrections, n'hésitez surtout pas à recommencer, c'est comme cela que l'encyclopédie s'améliore! Mitch-Mitch 19 juillet 2013 à 13:48 (CEST)[répondre]
Je copie votre information sur la page de discussion concernée, comme vous ne le savez pas encore l'Oracle ne vous donnera aucune approbation concernant vos changements, personnellement et ayant survolé un peu la page, il me semble que le sujet principal concerne la Fédération française de football, son histoire et son rôle, et que les palmarès sont traités par ailleurs, par exemple ici Équipe de France de football ou ici Équipe de France de football féminin et si vous avez des corrections à signaler faites-le sur les pages de discussions des articles existants cf. Équipe de France de football des moins de 18 ans.--Doalex (d) 20 juillet 2013 à 11:22 (CEST)[répondre]

recherche l'historique[modifier le code]

Cherche historique de la Jeunesse Sportive Tébourbiènne (JST),ex:Union Athlétique Tébourbiènne,club de foot-ball Tunisien,affilié à la Ligue Française depuis 1925 !. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP Noureddine el Ayèch Ouertani‎ 19 juillet 2013 à 20:24 (discuter)

logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Une recherche avec ces noms ne donne rien, par contre
ainsi que
ramènent des résultats, dont la page Jendouba Sports qui en fait mention. -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 17:25 (CEST)[répondre]

Bonsoir, J'aimerais savoir s'il existe des théories concurrentes à celle de la concurrence pure et parfaite (CPP) et qui s'appuieraient sur une modélisation mathématique comme peut le faire la CPP (où on voit qu'en augmentant le nombre de firme on se rapproche de la situation théorique). J'ai trouvé la critique de l'École autrichienne d'économie (en particulier celle de Murray Rothbard, Man, Economy and State, Chapter 10, Analyse) qui considère en particulier que le critère déterminant de la concurrence est la libre entrée et non pas l'atomicité (économie) et que la restriction du nombre d'acteurs dans un marché (monopole, oligopole, cartel...) provoque une réallocation des ressources si bien que le surplus global augmente. La théorie des marchés contestables semblent aller dans la même direction. Néanmoins cela ne s'appuie pas sur des modèles mathématiques, quantifiables. Est-ce qu'un modèle, par d'exemple d'équilibre général, existe qui montrerait que la formation d'un monopole dans un secteur peut aboutir à un optimum de Pareto global (i.e. pour l'ensemble des secteurs, par une allocation nouvelle des ressources) ? Merci d'avance ;) ! Antoine(A455bcd9) (d) 19 juillet 2013 à 22:31 (CEST)[répondre]

La réponse est simple : toutes les théories économiques abstraites appuient leur philosophie hypothèse sur un modèle pseudo-mathématique, donc si tu vas regarder du côté des marxistes ou des néo-marxistes et autres écoles de pensée de ces courants, tu trouveras ton compte en matière de pseudo-science, mais allant cette fois dans un sens opposé ou au moins divergent. -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 10:00 (CEST)[répondre]
L’hypothèse de la CCP n’est, aujourd’hui, plus qu'un "idéal-type" pour les économistes. L’essentiel de la microéconomie "mainstream" consiste aujourd’hui à prendre ce modèle, à relâcher certaines hypothèses, et à construire des modèles pour voir ce qui se passe. L’hypothèse dont le relâchement a le plus suscité d’intérêt est celle de l’information parfaite : l’introduction d’asymétries d’information a conduit à un renouvellement très important dans beaucoup de domaines. L’article fondateur de ce point de vue est celui des marchés des "tacots" d’Akerlof. Mais on a également des modèles avec différenciation des produits, non atomicité des producteurs, etc. Le livre de Pierre Cahuc, La nouvelle microéconomie, collection Repère, La Découverte, est une excellente introduction à cette nouvelle microéconomie. En macroéconomie, le modèle qui se rapproche le plus de ce que tu cherches est le modèle "néo-schumpétérien" de la croissance, avec une forme en U inversé pour le lien entre concurrence et hausse de la productivité (voir ici (le post donne des liens vers les modèles formalisés)) : trop de concurrence peut tuer l’innovation. Mais, à ma connaissance, il n’existe pas de modèle faisant exactement ce que tu cherches. gede (d) 20 juillet 2013 à 15:20 (CEST)[répondre]
C'est un « idéal type », mais ça reste la référence. En particulier j'ai l'impression que l'hypothèse d'atomicité est la seule valable pour juger du caractère concurrentiel d'un marché. D'où l'interdiction des cartels ou encore l'utilisation de l'indice de Herfindahl-Hirschmann en droit de la concurrence. Est-ce que des modèles relâchent cette hypothèse et ne s'intéressent qu'à la libre entrée (la théorie des marchés contestables c'est bien beau, mais difficilement quantifiable : Brock, 1983 « Some readers may feel that perfect contestability is an idealized notion of purely academic interest... ») ? L'asymétrie d'information est aussi intéressante, merci pour le lien (idem pour le modèle néo-schumpétérien). Je ne pense pas malheureusement trouver de réponse à mes questions dans le livre de Cahuc, je lui avais à peu près posé la même question et il ne m'avait donné qu'une vague réponse… Sinon est-ce qu'il y a des modèles globaux qui modéliseraient une économie à n biens (avec pour chaque secteur un nombre donné d'entreprises) et des échanges entre biens (par exemple le secteur 1 doit acheter au secteur 2 pour produire) ainsi des échanges entre consommateurs/salariés et entreprises (les consommateurs achètent certains biens et vendent leur travail) ? Parce que l'autre critique de Rothbard c'est que la CPP considère que l'entreprise ne fait que vendre et le consommateur ne fait qu'acheter. [À vrai dire mes connaissances en économie sont assez limitées donc je m'excuse d'avance si mes questions sont triviales ou absurdes ;)] Antoine(A455bcd9) (d) 20 juillet 2013 à 20:36 (CEST)[répondre]
Non, tu devrais vraiment regarder ce livre, qui résume bien ce qui se fait aujourd'hui en microéconomie. Toutes les hypothèses sont relâchées : l’atomicité (avec, notamment, des modèles à la Cournot et Bertrand, voir ici), l’homogénéité des produits (avec, notamment, des modèles à la Hotelling), plus toute la théorie des jeux pour des modèles avec interactions entre les acteurs. Souvent ces modèles conduisent toutefois à remettre en cause l’idée qu’il faut favoriser la CCP : si il y a des asymétries d’information, par exemple, alors cela peut, par exemple, justifier une intervention étatique, et ne pas chercher à créer une CPP qui ne peut exister optimalement (voir cet article de Stigliz qui résume bien cet aspect de ses travaux). Toutefois, à chaque fois, ce sont des modèles à portée limitée, qui cherchent à décrire ce qui se passe sur des marchés concrets. Ce que tu cherches ressemble beaucoup aux modèles des années de la "grande théorie", c’est-à-dire des modèles très généraux, très abstraits, et souvent normatifs (à la Harrow-Debreu). Ce genre de grandes constructions est passé de mode. En outre, en macroéconomie, depuis 30 ans, les modèles sont presque tous fondés sur des "agents représentatifs" -ce qui évacue le problème des échanges entre consommateurs, etc. Je crois que la réponse peu satisfaisante de Cahuc vient de là : ta question ne correspond pas aux problématiques actuelles de la micro. D’un autre côté, je n’y connais pas grand chose en microéconomie. Je ne peux donc te donner que des pistes. -- gede (d) 21 juillet 2013 à 01:26 (CEST)[répondre]
Merci pour ces pistes, mais il est vrai que je reste sur ma faim ^^. Par modèles à la Arrow-Debreu tu entends modèles d'équilibre général ? En effet les modèles d'équilibre général calculable et les modèles stochastiques dynamiques d'équilibre général semblent répondre à ma question (principes micro appliqués à une analyse macro). Tu dis que ces modèles sont passés de mode mais d'après les articles ils sont assez utilisés. Sur les modèles fondés sur des « agents représentatifs » tu parles des en:agent-based models ? Antoine(A455bcd9) (d) 21 juillet 2013 à 12:24 (CEST)[répondre]
Les modèles stochastiques dynamiques d'équilibre général sont des modèles macro, qui visent à décrire le fonctionnement de l’économie dans son ensemble (pas à savoir s'il faut ou non de la CPP), et qui sont fondés sur des agents représentatifs (en clair, on a une fonction d’optimisation pour les consommateurs et une pour les entreprises). Donc ce n’est pas ce que tu cherches. Ce que tu cherches, tu le trouveras peut-être dans la littérature surtout micro qui s’efforce de montrer qu’il y a des défaillances du marchés (comme les asymétries d’information), qui font qu'il ne peut y avoir qu'un second best, et qui justifie des interventions publiques, par exemple. gede (d) 21 juillet 2013 à 13:20 (CEST)[répondre]
En fait je trouvais que c'est modèles marco étaient intéressants parce qu'ils permettaient de montrer la mise en place d'un ordre spontané. Apparemment les agent-based models et les automates cellulaires sont pas mal utilisés pour ça (par exemple j'ai trouvé : 1, 2, 3, 4, Macroeconomics in a self-organizing economy). En fait ce que je cherche c'est justement l'inverse ^^, un modèle qui montrerait que la seule défaillance du marché c'est la défaillance de l'État quand ce dernier introduit une entrave à la concurrence (en particulier à la libre entrée, par des règles, des normes, des coûts d'entrée...). Autrement dit un modèle qui permettrait de quantifier la théorie des marchés contestables. Ce serait donc un modèle qui au contraire justifierait la non-intervention. Antoine(A455bcd9) (d) 21 juillet 2013 à 21:46 (CEST)[répondre]
@ Antoine. Tu parles d'entrave à la concurrence. De nos jours ce sont plus les grandes multinationales avec l’intégration verticale qui font entrave à la libre concurrence. Elles peuvent créer une fausse pénurie en stockant la marchandise et, selon le principe de l’offre et de la demande, les prix augmentent à cause de la rareté. C'est de la spéculation contrôlée. De plus l’entreprise mère possède parfois tous les concurrents qui se partagent les parts du marché. La libre concurrence n’est que théorique.--YB 22 juillet 2013 à 01:58 (CEST)[répondre]
@YB. Salut. En fait mon problème est le suivant : en quoi l'intégration verticale et le contrôle des stocks constituent-ils une entrave à la concurrence ? Au contraire en faisant cela l'entreprise fait augmenter les prix et encourage l'arrivée de nouveaux entrants. C'est pour ça que l'entrée libre [entendre, la possibilité légale d'entrer sur le marché] est l'élément le plus important, c'est la seule entrave à la concurrence possible. Après tu vas me dire que le monopole peut pratiquer des prix prédateurs qui empêchent [de facto, mais pas de jure] les autres d'arriver : et alors ? On ne peut pas reprocher au monopole une chose et son contraire, à savoir de pratiquer des prix « trop élevés » (au regard de quoi, qui connaît le juste prix ?) ou « trop bas ». De plus si cette politique a fonctionné c'est aussi parce que les consommateurs l'ont voulu, leur demande étant trop peu élastique. Libre à eux de boycotter le monopole (ou l'oligopole, le cartel, l'entreprise intégrée), de réduire leur demande, d'aller voir ailleurs (i.e. de n'acheter que les produits des concurrents s'il en reste ou de modifier leurs dépenses vers d'autres secteurs), de se lancer sur le marché pour le concurrencer, d'acheter des actions dans l'entreprise pour gagner en dividende ce qu'ils ont perdu en pouvoir d'achat… Enfin quand on considère qu'une telle situation est « mauvaise » c'est parce qu'on ne regarde qu'un secteur et qu'on voit l'économie à travers des castes (la caste des entreprises qui ne seraient que producteurs, la caste des consommateurs qui ne seraient qu'acheteurs). Or l'entreprise est aussi consommatrice : en diminuant les quantités produites elle va nécessairement diminuer sa demande (de capital, de travail, de biens intermédiaires et de matières premières) ce qui va, selon le principe de l'offre et de la demande toujours, entraîner une baisse des prix sur d'autres secteurs. Et je ne vois pas selon quel principe de justice on pourrait considérer que la hausse des prix sur le marché A (due au monopole sur le marché A) est plus néfaste que la hausse des prix sur le marché B (en l'absence de monopole sur le marché A). De même le consommateur est producteur : il vend sa force de travail, il peut se lancer dans le business pour concurrencer le monopole s'il trouve que ses tarifs sont trop élevés, il peut être actionnaire… Par ailleurs d'un point de vue moral la politique de la concurrence nie le principe même de la concurrence : dans toute compétition (le mot anglais est d'ailleurs plus adapté pour retranscrire la dynamique de la concurrence) l'objectif de chaque participant est de faire mieux que ses adversaires, quitte à les éliminer. En interdisant le monopole (en particulier par la restriction des fusions/acquisitions) on supprime l'objectif même de tout concurrent sur un marché, qui est (au moins en rêve) d'arriver à une situation de monopole. Selon ce principe Encarta et Universalis auraient pu attaquer Wikipédia pour concurrence déloyale, abus de position dominante, monopole… Enfin bon, ça fait beaucoup de questions, mais tout ça est très bien résumé dans le chapitre 10 de Man, Economy and State (Texte entier, Début du chapitre). Antoine(A455bcd9) (d) 22 juillet 2013 à 08:57 (CEST)[répondre]
Les Autrichiens ont la réputation de dire n'importe quoi de manière confuse (ils sont aujourd'hui totalement morts en tant que courant académique) : et là je suis servi. Mises mélange plusieurs registres, parce qu’il poursuit l’intention politique de dire que not matter what le capitalisme non régulé est toujours supérieur. En particulier, il mélange le registre de la philosophie politique et celui de l’économie marginaliste, en écrivant des choses du genre : "si les consommateurs n’aiment pas le prix fort, ils n'ont qu’à aller voir ailleurs". C’est un raisonnement politique, pas économique. En économie, un consommateur a certaines préférences (et on ne lui demande pas d’en changer : ce n’est pas la question), et s'il y a un prix de monopole, alors le surplus du consommateur diminue au profit du surplus du producteur. C’est tout. Et rien d’autre. On peut toujours suggérer au consommateur de changer ses préférences et d’aller voir ailleurs : mais on n’est plus en train de faire de l’économie, mais de la politique. En économie, on constate juste que le consommateur a certaines préférences, et que le prix de monopole fait que son surplus baisse. Par ailleurs, la suite du raisonnement est encore plus baroque. Certes, si le producteur produit moins, alors le prix de ses consommations intermédiaires va baisser. Mais, dans le même temps, celles des entreprises des produits vers lesquels se sont reportés les consommateurs va augmenter : l’ensemble du système des prix varie, ce qui est une évidence. L’autre évidence est que nous ne sommes plus, par définition, à un optimum : l’équilibre général correspond au système des prix optimal, puisque c’est celui où les consommateurs ont optimisé leur utilité sous contrainte en choisissant, étant donné les coûts de production (et donc les prix auxquels ils achètent les biens), le panier de bien qui leur offre le plus d’utilité, étant donné leur budget. S’ils avaient voulu moins du produit du marché où on imagine notre monopole, avec l’ensemble du système des prix qui varie en fonction de cela, et bien ils l’auraient fait. Mais ils ne l’ont pas fait, et si le monopole impose son prix, alors leur utilité baissera. Fin de l’histoire.
Pour revenir à la politique de la concurrence. Mises se bat contre un homme de paille. La politique de la concurrence vise, aujourd’hui, à optimiser l’utilité des consommateur, étant donné le monde dans lequel on vit. Il ne s'agit pas de détruire les monopoles ou les oligopoles per se. Chacun sait que tous les marchés modernes de production de masse sont oligopolistiques. De fait, la concurrence conduit, en particulier quand il y a des rendements croissants, à des concentrations : la concurrence conduit elle-même à sa disparition. Le but de la politique de la concurrence est de créer suffisamment de concurrence pour qu’il n’y ait pas (trop) de rente et que, en outre, les entreprises continuent à avoir une incitation à améliorer leur production. Tout le monde a plus ou moins en tête le message de Schumpeter : le monopole est la récompense de l'innovation. Si une entreprise qui innove ne profite pas de manière exclusive de son monopole, elle n’innovera pas. C’est cette idée que modélise les modèles de croissance néo-schumpétériens. C’est également cette idée qui fait que l’Etat protège juridiquement les brevets (pour une période limitée, assez longue pour récompenser l’innovation, pas trop longue pour interdire que cette dernière se diffuse dans l'ensemble de l'économie). Donc, la politique de la concurrence ne vise pas à priver des entreprises du profit de rente : elle vise à atteindre un optimum entre incitation à l’innovation et surplus du consommateur. Ainsi, ni les autorités de la concurrence américaines ni les européennes n’ont jamais envisagé de démanteler Microsoft ou Apple : simplement de faire en sorte qu’ils restent confrontés à suffisamment de concurrence, pour qu’ils n’imposent pas des prix trop élevés, et qu'ils continuent à innover. Il y a un paquet d’autres idées confuses, mais je m’arrête là. gede (d) 22 juillet 2013 à 14:36 (CEST)[répondre]
Ton jugement de l'École autrichienne me paraît un peu sévère (mais c'est vrai qu'à part quelques universités comme Aix-Marseille ils sont bien mal en point ^^), Greenspan a par exemple dit : « [the founders of] the Austrian School have reached far into the future from when most of them practiced and have had a profound and, in my judgment, probably an irreversible effect on how most mainstream economists think in this country. » Sans compter l'influence des Autrichiens sur l'existence même de cette encyclopédie… (cf. Hayek, The Use of Knowledge in Society) Par ailleurs le texte est de Rothbard et non de von Mises. Mais bon, là n'est pas la question… Pour en revenir à mes interrogations premières : on montre en micro que le surplus du consommateur baisse au profit de celui du producteur. Mais à chaque fois c'est en considérant une économique à un bien. Qu'en serait-il en considérant un système plus complexe ? Tu me dis : « on était à un optimum avant le monopole alors en modifiant l'ensemble du système de prix on n'est plus à l'optimum ». Pourtant je pourrais prendre la même phrase pour décrire une situation où l'on serait passé d'un monopole à un duopole. Bien sûr si on considère deux cas, l'un avec le monopole et l'autre sans, ceteris paribus, le monopole est « mauvais » (i.e. il diminue le surplus global). Mais peut-on évaluer l'évolution du surplus global si l'on considère l'ensemble de l'économie ? [en particulier la hausse de prix dans les secteurs vers lesquels les consommateurs se reportent, la hausse de l'offre de travail des consommateurs [s'ils veulent conserver le même panier de bien ils devront travailler plus], les baisses de prix dans les secteurs où l'entreprise diminue ses quantités]
Je ne crois pas qu'il se batte contre un homme de paille. Par exemple il « défend » les cartels (plus exactement il les estime non-injustes), qui sont rigoureusement interdit en Europe comme aux États-Unis. Concernant les brevets pas sûr qu'ils incitent vraiment à l'innovation (Boldrin, Levine, 2010), au contraire aujourd'hui ils servent à tuer la concurrence. Par ailleurs la majorité des innovations ont lieu sans brevet (près de 90 %), Google en est la preuve (même s'ils s'y mettent maintenant après avoir été attaqués sur ce terrain). Antoine(A455bcd9) (d) 22 juillet 2013 à 20:10 (CEST)[répondre]
Si tu me relis, je ne m’intéresse pas à une économie à 1 bien, mais à plusieurs ("panier de biens"). Il y a un côté Marie Antoinette dans l'argumentation de Rothbard qui est amusant : « vous ne pouvez plus acheter de la brioche : mangez du pain ! ». La théorie de l'équilibre général a comme principale conclusion que la CPP conduit à… un équilibre général (optimal). Par conséquent, vouloir, comme tu souhaites le faire, trouver une théorie qui, en partant des mêmes prémisses, arrive à une conclusion différente est impossible (depuis 1 siècle qu’elle existe, quelqu'un l'aurait trouvée…). La seule manière d'arriver, dans un cadre théorique cohérent, à une conclusion différente est de prendre une autre voie, en changeant le cadre analytique. C’est ce que fait Schumpeter, quand il veut justifier les monopoles : il introduit le temps, la dynamique économique. C’est très difficile à modéliser, mais cela permet de dire des choses du genre : "à court terme, le consommateur y perd peut-être, mais à long terme, le monopole est la récompense de l'innovation, donc il encourage l'innovation, donc la hausse de la productivité, la croissance, etc.". Ce qui a du sens. Chose dont est, à mon humble avis, totalement dépourvu le texte de Rothbard. gede (d) 23 juillet 2013 à 10:50 (CEST)[répondre]
J'ai pas lu tout le texte de Rothbard mais de ce que j'ai lu il introduit aussi le temps puisqu'il considère qu'un changement (monopole, cartellisation ou au contraire arrivée d'un nouvel entrant) ne peut-être considéré comme bon qu'a posteriori si l'on constate qu'il reste en place (ce qui signifie d'après lui qu'il aura augmenté le surplus global), mais en effet ça ne repose sur aucun modèle. (Au passage Schumpeter est souvent considéré un Autrichien…). Donc en fait il n'y a pas de modèles qui considèrent un panier de biens, le travail des consommateurs et la relation entre ces biens (du type « pour fabriquer une unité de bien 1 il faut deux unités de bien 2 et une unité de travail ») et qui permettrait de quantifier la la réallocation des ressources suite à un changement (modification de l'offre, de la demande, du nombre d'entreprises, de travailleurs...). Antoine(A455bcd9) (d) 23 juillet 2013 à 12:16 (CEST)[répondre]
Non, Schumpeter n’est pas "souvent" considéré comme un autrichien. Il a été formé à Vienne, cela laisse des traces, mais il n’est généralement pas rattaché à l’école autrichienne (au sens moderne du mot). Ce raisonnement me semble vraiment absurde. Cela ressemble à une sorte de harangue dans ce genre : "comment ça le prix de la brioche a augmenté ? Comment ça vous ne pouvez plus vous en payez autant qu’avant et vous êtes moins heureux ? Et bien vous n’avez qu’à manger du pain ! Comment vous n’êtes toujours pas aussi heureux ? Et bien vous avez qu’à travailler davantage : ainsi votre revenu sera suffisant pour vous acheter à nouveau de la brioche. Vous voyez que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Vous travaillez plus et ainsi la production globale a augmenté -tout cela grâce au cartel des producteurs de brioches. Vive le cartel qui nous enrichit !". C’est un mélange de Pangloss et de Marie-Antoinette. Et je ne vois pas de modèle du genre que tu cherches (ce qui devrait, en soi, être une indication). gede (d) 23 juillet 2013 à 20:26 (CEST)[répondre]
Le pauvre Pangloss n'a rien à voir là-dedans. Pourtant le raisonnement n'a rien d'absurde. Si le prix du pain diminue (je prends la situation inverse, par exemple l'arrivée d'un concurrent) alors la consommation de pain augmente et ce peut-être au détriment d'autres biens, ce qui entraîne une hausse de la demandé en blé donc une hausse des prix du blé et parallèlement le travail peut diminuer (pour acheter autant de blé je travaille moins). En quoi serait-il absurde de modéliser cela ? Antoine(A455bcd9) (d) 23 juillet 2013 à 21:19 (CEST)[répondre]
Peut-être parce que tout les exemples dans la proposition précédente oublient que la nourriture est un produit inélastique (économie). 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 24 juillet 2013 à 15:52 (CEST)[répondre]
Bein non. Si le prix du riz augmente j'achète plus de blé. Si le prix des glaces augmente, j'achète moins de glaces. Par exemple… Antoine(A455bcd9) (d) 24 juillet 2013 à 20:29 (CEST)[répondre]
Tu devrais être plus moderne dans l'example Émoticône. Example plus actuel : Le prix des fruit et légume augmente, je passe au tout-prêt rempli de sel; j'achète le poisson pané ou fumé plutôt que frais et à éplucher. Je change de marque de viande (ps:plus gore que dans .GND la vidéo). Je préfère les gâteaux avec des ajouts d'huiles non hydrogéné car on finit par acheter plus cher en faisant attention à chaque fois à la liste des ingrédients ... etc. etc. .... 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 24 juillet 2013 à 22:15 (CEST)[répondre]

Bonjour. Un avis personnel sur une prémisse de la (première) question : les optima de Pareto en tant qu’objectif économique ultime à viser. S’il est vrai que le meilleur état possible de la société fait partie des optima de Pareto, une multitude d’autres états possibles de la société sont également des optima de Pareto, et la plupart d’entre eux sont simplement catastrophiques (une répartition totalement inégale des richesses dans la société, rendant tout le monde malheureux sauf (peut-être) une personne, pouvant très bien être un optimum de Pareto). Alors, à quoi bon courir après le modèle permettant de se rapprocher le mieux d’un optimum de Pareto, état potentiellement catastrophique ? Grasyop 27 juillet 2013 à 21:00 (CEST)[répondre]

Question de grammaire[modifier le code]

Bonjour,

Faut-il dire : "Il eût été préférable que tu ne sois pas venu" ou bien "Il eût été préférable que tu ne fusses pas venu" ?

Merci. --41.143.233.245 (d) 20 juillet 2013 à 16:24 (CEST)[répondre]

… « il eût été préférable que tu ne fusses pas venu ». — Hautbois [canqueter] 20 juillet 2013 à 16:34 (CEST)[répondre]
+1 sinon que dans ces cas il vaut mieux ne rien dire Émoticône -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 16:36 (CEST)[répondre]
… oui, ou carrément ne pas y aller. — Hautbois [canqueter] 20 juillet 2013 à 16:49 (CEST)[répondre]
L’accord grammatical du français "classique" conduit à utiliser le plus-que-parfait (plutôt que le passé) puisque le le temps dans la conditionnelle est au passé : "fusses venu". Donc : « il eût été préférable que tu ne fusses pas venu ».
Toutefois, l’utilisation des subjonctifs imparfait et plus que parfait est devenue rare : ils sont le plus souvent remplacés par le subjonctif présent (à la place de l’imparfait) et le subjonctif passé (à la place du plus-que-parfait). C’est toujours le cas dans la langue orale, le plus souvent à l’écrit. Donc les deux sont possibles, en fonction du type de registre de langue que l’on veut adopter : le "fusses venu" appartient au style très très soutenu. Il n’est, en fait, quasiment plus utilisé.
En outre, l’utilisation de la deuxième forme du conditionnel passé ("eût été"), dans la première partie de la phrase, est presque aussi archaïque. Autrement dit, un français dirait spontanément : "il aurait été préférable que tu ne sois pas venu". gede (d) 20 juillet 2013 à 17:43 (CEST)[répondre]
Et pour faire encore plus archaïque et enfoncer définitivement l'interlocuteur, il y a aussi la version « mieux eût valu que tu ne vinsses pas » qui fait un parfait décasyllabe. -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 18:38 (CEST) « Tu n'eus alors point gâché mon repas », on change de temps pour le nombre de syllabes, licence poétique.[répondre]
Moi je dis « il aurait été préférable que tu ne viennes pas ». J'ai tout faux? --Floflo (d) 20 juillet 2013 à 19:12 (CEST)[répondre]
Non, tu as tout juste, c'est comme dit Gede, l'usage de certaines formes du subjonctif est très rare, on les remplace par de l'indicatif et du conditionnel et ça marche aussi bien ainsi. -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 20:56 (CEST)[répondre]
Hum… dans la phrase de Flo, ce n’est pas de l’indicatif ou du conditionnel, c’est un subjonctif présent. Le subjonctif présent a tendance à remplacer toutes les autres formes de subjonctif, même le subjonctif passé. Ce n’est donc pas fautif, au regard des usages contemporains, même si le subjonctif passé est grammaticalement plus logique. -- gede (d) 21 juillet 2013 à 12:06 (CEST)[répondre]
C'était pour le verbe de la principale. -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 14:47 (CEST)[répondre]
La principale est au conditionnel passé dans les deux cas. A la première forme du conditionnel passé dans la phrase de Flo ("aurait été") ; à la deuxième forme du conditionnel passé dans la phrase initiale ("eût été"). Mais peut-être veux-tu dire que la seconde forme utilise un auxiliaire au subjonctif, à la différence de la première. gede (d) 21 juillet 2013 à 15:41 (CEST)[répondre]
J'oublie toujours que le conditionnel est un mode qui emprunte beaucoup de ses formes aux autres temps. Sinon c'est ça, dans la forme « eût été » il y a une cohérence entre la forme de l'auxiliaire de la principale et le temps de la subordonnée. -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 19:19 (CEST)[répondre]
En fait avec du recul, je dirais que c'est selon le contexte: je dirais « il aurait été préférable que tu ne viennes pas » si la personne est actuellement sur le lieu où elle n’aurait pas dû venir, tandis que je dirais « il aurait été préférable que tu ne sois pas venu » si l'on en parle après coup, une fois que tout le monde est parti. Merci pour les infos Émoticône sourire --Floflo (d) 21 juillet 2013 à 21:30 (CEST)[répondre]
Ou encore "T'aurais mieux fait de pas venir". Oblomov2 (d) 22 juillet 2013 à 08:29 (CEST)[répondre]
Ah ben si j’aurais su...
« Si j'aurais su, j'aurais po v'nu ! »--Serged/ 22 juillet 2013 à 11:43 (CEST)[répondre]
CQui (d) Personne n'a osé le casse toi po'v con, etonant. --22 juillet 2013 à 12:21 (CEST)[répondre]

La masculinité[modifier le code]

Bonsoir grand ORACLE.Mon soucis est de savoir si un homme se fait enfiler par un autre rien q'une fois,cela suffirait pour changer son comportement masculin?cela l rendrait-il éféminé?Je vous remercie de m'éclaircir sur ce point.

… ça dépend, tu dis « rien q'une fois », mais pendant combien de temps ? — Hautbois [canqueter] 20 juillet 2013 à 21:59 (CEST)[répondre]
À mon avis (mais je ne sais pas vraiment, en fait), la solution est peut-être dans l’alternance. --Morburre (d) 20 juillet 2013 à 22:35 (CEST)[répondre]
Si je puis me permettre, ta réflexion sur le sujet date un peu, et même beaucoup : il n'y a aucun lien entre ce que tu appelles un comportement efféminé et ce que tu appelles l'enfilage, d'abord parce qu'on peut être « efféminé » sans aspirer à être « enfilé », ni d'ailleurs avoir quelque tendance homosexuelle ou bissexuelle, ensuite parce qu'une part non négligeable d'homosexuels, qu'ils soient ou non efféminés, ne pratique aucunement l'« enfilage », enfin parce qu'à coup sûr le comportement « efféminé » qu'ont certains homosexuels précède le plus souvent leur premier « enfilage », quand du moins il a lieu. Puis, il y a pas mal d'hommes qui se considèrent hétérosexuels et ne sont nullement efféminés, qui « enfilent » ou « se font enfiler », c'est notamment assez courant chez les militaires et dans les prisons où cette pratique sert à la fois d'exutoire et de méthode de domination. -O.--M.--H.- 20 juillet 2013 à 22:58 (CEST)[répondre]
P.S. Au fait, il n'y a rien de plus masculin que ce genre d'activités. -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 07:12 (CEST)[répondre]
… notre ami nigérien n'est pas dans le même contexte socio-culturel sur la sexualité et a certainement besoin d'être rassuré :
Hautbois [canqueter] 21 juillet 2013 à 10:26 (CEST)[répondre]

Linux usb[modifier le code]

À quoi correspond Les numéros des sections Mfr Product SerialNumber lorsque l'on branche un périphérique usb. Ils sont visibles dans /var/log/messages. Merci d'avance. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 21 juillet 2013 à 00:45 (CEST)[répondre]

Salut, 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d · c · b), je ne voudrais pas te décourager, mais ici on est censé répondre à des questions d'ordre encyclopédique, et je ne suis pas certain que les tiennes le soient, cette semaine. Sinon, ça se lit « manufacturer product serial number », donc « numéro de série du fabricant pour le produit ». -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 01:41 (CEST)[répondre]
Voir aussi Universal_Serial_Bus#Connexion à chaud et Plug and Play : processus d'énumération. Ce que l'on trouve dans /var/log/* provient du noyau et des pilotes. Dans ce cas précis, s'il existe un numéro de série propre au bidule, il permet d'en identifier un parmi plusieurs du même type (un peu comme le UUID, le GUID ou l'adresse MAC). Une recherche Google du genre 'New USB device strings' pourrait sans doute donner plus d'informations. -- Xofc [me contacter] 21 juillet 2013 à 07:00 (CEST)[répondre]
C'est deux trucs différents. Exemple: Dans /var/log/syslog (et non messages), à l'introduction d'une banale clef USB, ça donne :
Jul 21 09:53:07 slibovix kernel: [ 5734.798131] usb 2-2: New USB device found, idVendor=0781, idProduct=5530
Jul 21 09:53:07 slibovix kernel: [ 5734.798140] usb 2-2: New USB device strings: Mfr=1, Product=2, SerialNumber=3
La première ligne donne l'identification de la clef, comme avec la commande lsusb (ici ID 0781:5530 SanDisk Corp. Cruzer), par contre ce que donne la deuxième ligne est plus mystérieux... --Serged/ 21 juillet 2013 à 09:59 (CEST)[répondre]
Merci,Serged, Je m'intéresse effectivement à la deuxième ligne. Je sais que l'on peut avoir tout les résultat des numéros avec lsusb -v. Mais ce n'est pas ce qui m'intéresse. Par exemple, je sais que idvendor, idproduct donne des numéros ou chacun a un string qui lui correspond. En revanche je ne vois pas ce que ça peut être pour la deuxième ligne ligne, et j'ai besoin de le savoir s'il vous plaît.
-O.--M.--H.- Je reconnait effectivement que ça n'est pas très encyclopédique, et je comprendrais si je n'avais de recevait pas de réponse par la suite. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d) 21 juillet 2013 à 11:01 (CEST)[répondre]
Je viens de voir que ma traduction était trop littérale, c'est plutôt « numéro d'identification ». -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 14:26 (CEST)[répondre]

les guêpes maçonnes piquent-elles[modifier le code]

Guêpe maçonne à l'ouvrage

Bonjour. J'habite dans le midi et cette année ma maison est envahie de ce que nous appelons des guêpes maçonnes. Nous en avions déjá habituellement mais elles sont cette année spécialement nombreuses et, à la différences des années précédentes, plus petites. Nous n'avons jamais été attaqués. Ces guêpes piquent-elles ? S'attaquent-elles aux humains ? Leurs piqures sont elles plus dangereuses que celles des guêpes "classiques" ?

On a quelque chose sur les Les guêpes maçonnes mais si tu suis les liens tu verras que comme souvent pour les noms vernaculaires le nom désigne diverses espèces, du coup pas de réponse précise. Autant que je sache, toutes les guêpes ont un dard venimeux, ce que semble confirmer notre article, par contre, de mon expérience une bonne part des espèces ne pique que rarement les gros animaux de notre genre, mais prudence quand même, on n'est pas à l'abri d'un choc anaphylactique avec ces bestioles si on a tendance à faire de l'allergie. -O.--M.--H.- 21 juillet 2013 à 14:45 (CEST) Je me demande s'il y a un contrepet dans le titre...[répondre]