Utilisateur:Skimel/Saint Bal

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Attention: il ne faut pas confondre Saint Bal avec son homonyme féminine, Sainte Balle, qui elle perça beaucoup plus vite dans son milieu, mais fit pas mal de dégâts.

Saint Bal
Image illustrative de l’article Skimel/Saint Bal
Saint Bal est représenté la tête couronnée d'une auréole dorée
Naissance 4/4
Décès 6/8 
Nom de naissance Bal
Nationalité Bas-Trienne
Ordre religieux Pères Cussions
Vénéré par Un grand nombre de cultes, notamment le djâse (Iran) et le Messthal (Allemagne)
Fête Peut se fêter sur tous les temps
Attributs Une auréole dorée ronde

Saint-Bal[modifier | modifier le code]

Saint Bal (né le 4/4 et mort le 6/8) est un personnage ayant marqué l'histoire. S'il fit peu de bruit à sa naissance, son existence eut un grand écho et résonne encore aujourd'hui. Son élévation et son sens aigu des responsabilités sont ses caractéristiques frappantes.

Naissance et enfance[modifier | modifier le code]

Bal voit le jour en Bas-Thrie. Une étude approfondie révèle qu'il aurait des ancêtres en Orient. Peut-être son origine remonte-elle à la ville Suisse de Bâle ? Nul n'est plus incertain. D'autres disent qu'il est né en Grèce, mais il s'agit sans doute d'une confusion avec Saint Bôle. Pour son éducation, il fut envoyé chez les Pères Cussions, une congrégation pratiquant dont les prêtres étaient ordonnés tous ensemble, une cérémonie appelée "co-ordination des membres".

Débuts[modifier | modifier le code]

Saint Bal fut rapidement repéré par l'évêque américain Charles Heston, qui cherchait un nouveau compagnon. Contrairement au autres hommes d'église de son époque, Charles Heston et Saint Bal n'avaient vraiment pas de pot, ce qui ne les empêchait pas de briller en société. Très vite, Bal s'éleva au dessus des autres membres - ce qui irrita certains d'entre eux. Cependant, ils eurent beau taper du pied, rien n'y fit.

Apostolat en Chine[modifier | modifier le code]

Après son ordination, Saint Bal fut envoyé en Chine en tant que missionnaire. En apprenant la nouvelle, il aurait dit : "La Chine ? Ah ! en voilà une grande mission !". L'écho et le rayonnement de Bal grandirent très rapidement en Chine : le jeune prêtre entraînait beaucoup de conversions. Ses activités attirèrent la réponse des autorités chinoises, qui envoyèrent contre lui un personnage redoutable : Gong. Gong était beaucoup plus imposant, et son rayon d'action s'étendait bien plus loin que celui de Bal. Bientôt, Gong réussit à reconvertir tous les habitants que Bal avait acquis à sa guise. Son efficacité reposait notamment sur son message : il prêchait le retour à un rythme de vie simple, combattant le dogme ternaire de Bal. Saint Bal avait en effet trouvé cette astuce pour expliquer le concept de la trinité aux habitants, dont il ignorait la langue. Mais Gong n'avait besoin de frapper qu'un seul coup pour affirmer sa supériorité. (Note : La conversions des chrétiens est connu dans l'histoire chinoise sous le nom de "Yo-lo-lo"[1].)

Retour en Thrie[modifier | modifier le code]

Après cet échec cuisant, Saint Bal retourna dans sa terre natale. Il eut du mal à se réhabituer aux méthodes de l'évêque Charles Heston, surtout que la politique de ce dernier alternait entre des mouvements d'ouverture et de fermeture. Saint Bal eut alors l'idée de s'élever sur ses pieds, soit-disant pour "prendre de la hauteur spirituelle". Mais, pour ne pas heurter la sensibilité de Charles Heston, il prit soin d'avoir la tête toujours inclinée vers le bas.

Fondation d'un nouvel ordre religieux[modifier | modifier le code]

Rencontre avec les Tom[modifier | modifier le code]

C'est dans ces années que Saint Bal fit une rencontre qui allait changer sa vie. Un jour de printemps, il rencontra trois frères : c'étaient les fameux trois Tom. Le plus âgé marchait tranquillement sur ses pieds, mais les deux autres devaient encore être portés dans les bras de leur mère, Mme Khaisse (que les médisants avaient surnommé "la grosse" du fait de son embonpoint). En voyant la légèreté du père Bal, les trois Tom furent bouleversés. Ils décidèrent de rejoindre l'église de Bal, séduits notamment par l'idée d'être co-ordonnés tous ensemble. Saint Bal alla porter l'heureuse nouvelle à Charles Heston. Peu de temps après, la soeur des trois Tom, Claire Khaisse (inscrite au registre paroissial sous le nom de Claire, Khaisse) fit son entrée au couvent.

La création de l'Abbate-rie[modifier | modifier le code]

Saint Bal comprit très vite l'opportunité qui s'offrait à lui : développer un nouveau courant religieux, au delà du simple dogme ternaire et de la théologie ouverte-fermé de Charles Heston. En rassemblant tous les nouveaux éléments, et après une longue préparation, ils furent tous coordonnés. Saint Bal consulta son homologue Saint Cope qui lui inspira un style nouveau. En effet, chaque élément avait sa spécificité. Au lieu de parler d'une seule et même voix, chacun s'exprimait selon son talent - mais l'ensemble était fort, percussif. Saint Bal nomma sa congrégation en l'honneur de son Pays, le Bas-Thrie. Pour des problèmes de copyright, il dut cependant changer en l'Abbate-Rie[2] - selon certaines sources, il aurait même envisagé un temps "L'abatte-riz", pour se venger de son aventure ratée en Chine.

Postérité[modifier | modifier le code]

Grâce à son style chaloupé, Saint Bal put s'embarquer dans une mission de conversion du monde entier, qui eut beaucoup plus de succès. En mésopotamie, il fut tellement idolâtré qu'il en devint un Dieu : Bâal. Certes, il arrivait que des gens en colère lui tapent dessus, mais plus on frappait fort et plus il résonnait ! Aujourd'hui, les descendants de Bal sont partout sur la planète. D'ailleurs, Bal a fait de nombreuses émules en Turquie, où il y a plus de 400 ans déjà, le sultan Zidjan fit venir des émissaires pour porter le message de Saint Bal.

De nos jours, la congrégation de l'Abbate-Rie est présente dans tous les groupes (surtout ceux de rock Chrétien, tiens donc !).

Représentation artistique[modifier | modifier le code]

Saint Bal est représenté la tête couronnée d'une auréole dorée. En réalité, il était déjà représenté de cette manière bien avant sa canonisation. Dans certaines œuvres d'art, un ange est présent au dessus de lui. Cet Ôveur-aide veille à capter l'ambiance dégagé par Saint Bal.

Références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Sam Huel, Histoire du Bas-Thrie à toutes les époques et à tous les temps, volumes 1, 2, 1, 2, 3, 4, éditions Poum-Tchak, 2000.
  • Mgr Charles Heston, Saint Bal : sa vie, son oeuvre, Chroniques des Pères Cussions, 844.
  • Samuelino Nibus, Un missionnaire en Chine : la lutte de Saint Bal contre Gong, Hong Kong/New York, 1992
  • Melle Ski, "De Saint Bal à cymbale, itinéraire d'une mutation linguistique et controverses en batterie sur une étymologie disputée", Revue de Linguistique Jaworskienne, décembre 2015.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mik Rossoft, "L'âge des empires vol.2 : l'âge des rois", 1999.
  2. Certains spécialistes estiment qu'il s'agirait d'une orthographe ancienne pour "Abbaye"