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Utilisateur:Serpens

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Ceci est ta page personnelle, Serpens. Je te souhaite la bienvenue sur Wikipédia ! ©éréales Kille® 2 oct 2004 à 13:19 (CEST)


'Astronomie et Astrologie' Titre du lien[modifier | modifier le code]

Sont deux familles ou ordres d'approches nuancés, pour le moins, dans la "lecture" du ciel stellaire.

Et pourtant, la seconde a laissé ses lettres, même banales, mais - plus sûrement - imaginaire, comme parti d'héritage à la première.

C'est la "part du rêve" ou de l'imaginaire humain qui ne peut lui être retirée. De la même façon que l'on peut percevoir, avec un peu d'imagination, des formes humaines ou animales dans le ciel nuageux (les cumulus en particulier), les amas d'étoiles ou leurs étirements donnent à percevoir des formes que, depuis les premiers temps de l'observation du ciel, c'est-à-dire depuis que l'homme, s'étant mis debout, a consenti à "lever le nez" plus haut que lui-même, il s'est plu à décrire dans les termes de son quotidien appréhendé par l'expérience.

C'est de là, que sont nées les mythologies, de ces lumières "subsistantes" dans le noir le plus obscur et donc cette idée de bienveillances, voire d'affrontements de divinités sur lui ou entre elles.

Que l'astronomie moderne en ait conservé la trace dans les noms vernaculaires laissés aux galaxies ou nébuleuses est tout à son honneur. Par là, elle rappelle qu'elle est bien une science "humaine", autant que mathématique.

Ce n'est pas l'astro-physicien et poète à ses heures Hubert Reeves qui dira, je pense, le contraire. Qu'y aurait-il de séduisant à n'avoir, au-dessus de nos têtes, hors la beauté elle-même de ces luminaires - petits ou grands - que des AM115, M460 etc... Tandis qu'Amalthée, Bételgueuse, Cassiopée, l'amas des Pléiades, la constellation du cygne ou celle, plus populaire, de la "Grande Ourse" nous sont des guides précieux devant l'éther !

Pourtant, nous le savons, les plus belles constellations ne sont souvent qu'illusions ! Les amas stellaires n'existent pas, la plupart du temps : les étoiles ou nuages de poussières stellaires qui les forment sont souvent distants entre eux de plusieurs centaines, milliers, voire millions d'années-lumière !

C'est-à-dire autant de durée mesurée à une vitesse de "traversée" qui équivaudrait à quelques 350'000 kilomètres à la seconde !

Imaginez un peu ce que peut être un voyage ne serait-ce que d'un siècle à cette vitesse et vous aurez une toute petit idée de la distance franchie... qui ne serait encore qu'un saut de puce dans l'infinité sidérale !

Bonne méditation.