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Utilisateur:Michel BUZE/Kino31/Bonheur-Malheur

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Scénario :

Un chômeur marche dans un parc… Le regard par terre, il semble triste.
Il s'assoit sur un banc et lit un journal aux petites annonces d'emploi, il les parcourt sans rien trouver...

Il lève la tête et voit un homme riche qui marche seul, avec des poches de boutiques de luxe
La caméra suit l'homme riche qui marche, et part s'asseoir dans un café.
Il consulte son répondeur vocal : "Vous n'avez pas de nouveaux messages"

 -- http://www.linguatec.de/onlineservices/voice_reader/

Il s'ennuie, se tient la joue, puis sent vibre dans sa poche, son son téléphone portable de nouvelle génération et lit un message signé "Copine" (ou un prénom de fille) : "Adieu. Tout est fini entre nous. J'ai trouvé quelqu'un..."<be> Au même instant il lève la tête et aperçoit un couple visiblement très heureux ensemble qui marchent en se tenant à la taille en rigolant…
Un zoom se fait alors sur le regard du riche…

La caméra suit son regard pour aller sur le couple qui semble être si heureux.
On les vois s'arrêter, s’engueuler violemment Le gars dit "C'est à moi que tu parles ? C'EST A "MOI" QUE TU PARLES ???!"
La fille le repousse et lui crie : "Casse toi pov' con !")
Ils se séparent, chacun par à l'opposé de l'autre

La caméra suit le gars qui marche, repasse devant le banc où il y a toujours le chômeur qui lit les petites annonces
Il ferme son journal et plusieurs filles courent vers lui lui faire des câlins, en rigolant…
Le gars (celui du petit couple) regarde la scène, enviant la place du chômeur...

Le générique s'affiche, les images proviennent d'une télé... La caméra recule, et on voit que c'était le générique de fin d'un téléfilm...

Vrai générique avec une citation affichée : --N'envie à qui que ce soit le bonheur apparent dont il jouit ; car tu ne connais pas ses peines secrètes. (Sagesse Hindoue, IIe siècle)

Intro[modifier | modifier le code]

Nous somme comme des livres...
La plupart des gens ne voient que notre couverture...
Au mieux, ils lisent notre résumé...
ou bien se fient à la critique que d'autre font...
mais ce qui est certain , c'est que très peu d'entre eux connaissent vraiment notre histoire...