Utilisateur:Matthieudegascogne/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Templiers - Nouvel Ordre Mondial Templier (NOMT)[modifier | modifier le code]

Nouvel Ordre Mondial Templier

Drapeau
Bauceant
Devise Honneur Courage Humilité

Non nobis, non nobis, Domine Sed nomini tuo da gloriam

(en latin : « Non en mon nom, non en mon nom mais pour la Gloire de Nom")

Administration
Forme de l'État Monarchie Elective - Souveraineté Fonctionnelle
Prince régent Mgr. Pierre de Lyon
Grand Sénéchal (Chef du Gouvernement) Mgr. Matthieu de Gascogne
Protecteur Spirituel S.B. Paul Sanda
Géographie
Etat sans terres




Siège du NOMT
Ordre Souverain et Indépendant - Souveraineté Fonctionnelle

Palais de Jérusalem situé à Lyon (France)
Histoire
Indépendance  
Aveux publics de la Relevance de la Dormance de l'Ordre du Temple

Promulgation Charte Constitutionnelle

Dernière Election Magistrale
2013 - 2015








Économie
Monnaie Ecu Templier

Le Nouvel Ordre Mondial Templier (NOMT) n’est pas à confondre avec le Nouvel Ordre Mondial. La désignation de Nouvel Ordre Mondial Templier est à comprendre de la manière suivante :

-       « Nouvel » pour Nouveau

-       « Ordre » pour Ordre de Chevalerie

-       « Mondial » pour affirmer le principe universel

-       « Templier » pour désigner le principe templier

L’Ordre des Pauvres Chevaliers du Temple est né de façon embryonnaire en 1118 en Terre Sainte. Il fût officialisé en 1120 lors du Concile de Naplouse. L'Ordre fait allégeance spirituelle à l’Eglise Catholique Romaine lors du Concile de Troyes en 1129. Entre 1118 et 1129, compte tenu du système de vassalité médiévale, le principe temporel domina le spirituel, et l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Temple fût alors constitué sous sa seul dimension temporelle.

Le Roi Philippe Le Bel ayant conduit le royaume de France dans une situation financière désastreuse, ordonna la rafle des templiers en 1307 pour mettre la main sur les richesses de l’Ordre. Il fît torturer les templiers pour leur arracher des aveux de renoncement au Christ et de renoncement à la Croix, qui donnèrent lieux à des condamnations d’hérésie et d’idolatrerie.

Le Pape Clément V est, à cette époque, un homme affaibli atteint d’un cancer des intestins. Il n’est pas alors en mesure de résister aux vœux de destruction de l’Ordre du Temple de Philippe Le Bel. Cependant, en 1312, lors du Concile de Vienne, le Pape Clément V a volontairement commis des actes rendant nulles et non avenues les accusations prononcées à l’encontre des templiers dans les trois bulles in excelso.

Malgré cela, Philippe Le Bel fit condamner les templiers.

La crémation de Monseigneur Jacques de Molay, le 18 mars 1314, signe l’entrée en dormance de l’Ordre du Temple Originel. Cet ordre disposait d'un statut d’Etat et ses reconnaissances n’ont jamais été retirées.

Les prophéties de Bélibastre – dernier parfait cathare – rejoignant celles de Saint Jean de Jérusalem et celle de Nostradamus, selon lesquelles « 700 ans après, le laurier reverdira », annonçaient la relevance de la dormance future de l’Ordre du Temple Originel.

La relevance de la dormance de l’Ordre devait être opérée 700 après par un Chevalier de sang français. Dans le cadre de la règle édictée en droit international sur le Droit des peuples à disposer d’eux même, la relevance de la dormance devait être opérée par aveux publics et ne souffrir d’aucune contestation sur le moment. Rappelons que la notion de relevance de dormance est un concept juridique identique à la monarchie française qui est en dormance (terme juridique exact) dont la régence est assurée par le président de la République française.

L’aveu public de relevance de la dormance fût prononcé trois fois publiquement entre 2013 et 2015 par un Chevalier de sang français, Monseigneur Pierre de Lyon, et ne fût nullement contesté. L’hérédité du titre de chevalier de sang de Monseigneur Pierre de Lyon a été démontré par trois généalogistes reconnus. En effet, Pierre de Lyon est le descendant de Guillaume de Gellone, connu sous le nom de Saint Ghuillem, cousin de l’Empereur Charlemagne, nommé Duc d’Aquitaine et dont la descendance fût celle des comtés de Toulouse, de Saint Gilles et du Marquisat de Provence. Pierre de Lyon est aussi un descendant de Gabriel d’Arles, huitième compagnon d’Hugues de Payns lors du Concile de Troyes. Il est, enfin, un descendant reconnu de la famille Sinclair. C’est donc en légitimité historique que Monseigneur Pierre de Lyon, pu faire aveux publics de relevance de la dormance du l’Ordre du Temple originel.

C’est ainsi que le Nouvel Ordre Mondial Templier a été relevé de la dormance dans laquelle il est était entré en 1314.

De plus, en 2014, Monseigneur Pierre de Lyon dépose une plainte au nom du NOMT, pour Crime contre l’Humanité à la Cour Pénale Internationale (CPI) de La Haye, contre l’Etat français et l’Etat du Vatican, dans le but permettre la reconnaissance du supplice des pauvres chevaliers du Christ. La Cour Pénal Internationale a accepté l’enregistrement de cette plainte en reconnaissant au NOMT, la qualité d’héritier mémoriel de l’Ordre du Temple originel.

C’est ainsi que le NOMT s’inscrit en tant que Relevance de la Dormance de l’Ordre originel en dimension temporelle.

Le NOMT est donc un Etat Indépendant et Souverain. Il fonctionne comme une monarchie constitutionnelle dont le Maitre-Prince régent est élu à vie. Il peut toutefois, être destitué comme tout Chevalier et Dignitaire de l'Ordre, en cas de manquements graves à ses attributions. Une action en destitution est alors introduite auprès de la Grande Chancellerie. Il a aussi, la possibilité en son âme et conscience de démissionner, si les circonstances l'exigent. Monseigneur Pierre de Lyon fût élu en conformité de la Charte Constitutionnelle promulguée en date du 13 mars 2014.

En ses rangs, le NOMT accueille les hommes et les femmes de bonnes volontés, à égalité de titres et de dignité.

Les Buts et les Missions du Nouvel Ordre Mondial Templier (NOMT)[modifier | modifier le code]

Les buts et les missions de l’Ordre ont été défini dans l’art 1. de la Charte Constitutionnelle en ces termes :

 « Le Nouvel Ordre Mondial Templier, est un Ordre Militaire, Religieux et Souverain dont la vocation est la défense des pèlerins en Terre Sainte et de la civilisation chrétienne en Orient.

L’Ordre a pour mission la réunification de l’ensemble des Eglises et des courants Chrétiens. Sa vocation est aussi de favoriser les relations interreligieuses.

L’Ordre a pour mission de travailler à la Paix dans le monde : s’il ne développe pas par lui-même d’actions humanitaires, l’Ordre soutien, défend et offre sa protection aux associations ayant pour but le bien-être des populations. »[1]

 

Dans le cadre de ses missions, le NOMT s’est déclaré comme le protecteur des chemins de Saint Jacques de Compostelle.

La Religion officielle du NOMT est la Religion Chrétienne mais il reconnaît comme religions sœurs, les religions musulmanes et juives.  A ce titre, le NOMT a pour mission de favoriser le dialogue et les relations entre l’ensemble des religions monothéistes. Il a reconnu en 2016, Sa Béatitude Paul Sanda, comme Patriarche Très Chrétien de l’ensemble des Eglises Chrétiennes et comme Protecteur Spirituel du NOMT. En tant que tel, Monseigneur Paul Sanda gouverne l’Ordre intérieur et la classe des Chevaliers Profès de l’Ordre.

Les Classes, les Grades et les Titres du Nouvel Ordre Mondial Templier (NOMT)[modifier | modifier le code]

Les Classes et les Grades du NOMT[modifier | modifier le code]

Les Grades et les classes dans le NOMT ont été définis par l’art. 9 de la Charte Constitutionnelle en ses termes :

« Les membres de l’Ordre sont divisés en deux classes :

.           A)  la première classe est constituée par les Chevaliers Profès, qui ont fait vœux de religion et qui sont invités selon leurs désirs à recevoir des ordinations sacerdotales ; ils sont membres de droit de l’Ordre Intérieur dont le NOMT reconnait l’indépendance et la Souveraineté

.           B) la deuxième classe est constituée par les membres qui ne prononcent pas de vœux de religion mais qui vivent et s’engagent à vivre selon les préceptes de l’Eglise Chrétienne Universelle et sont prêts à s’engager pour l’Ordre et pour l’Eglise ; ils sont subdivisés en trois catégories :

-           Les Sergents : qui font leurs premiers pas dans l’Ordre et qui peuvent mis au service d’un Ecuyer ou d’un Chevalier.

-           Les Ecuyers : qui sont au service des Chevaliers et / ou des Chevaliers Profès qu’ils secondent dans leurs taches. Le rang d’Ecuyer ne confère aucune obligation pour l’Ordre de procéder à un quelconque adoubement chevaleresque.

-           Les Chevaliers : qui au rang Nobiliaire et d’Officier dans l’Ordre transmissible de plein droit au premier né de leur descendance.

Pour éviter de perdre ce titre nobiliaire en cas de non descendance d’un Chevalier de l’Ordre, celui-ci peut transférer ce titre à qui lui semble avoir les qualités requises pour remplir cette noble tâche. Ce transfert doit être effectué par écrit. Cet écrit, pour être valide, doit avoir reçu l’apostille du Grand Chancelier de l’Ordre. A défaut, l’acte de transfert est nul et le titre nobiliaire tombe désuétude au jour du décès du porteur du titre. »[2]

 

Ainsi le seul titre nobiliaire conféré par le NOMT est le titre de Chevalier. Comme tout titre nobiliaire il est transmissible au premier né de la descendance du dit-chevalier. Les titres du NOMT sont conférés à des personnes hommes ou femmes ayant rendu d’éminents services à l’Ordre et ayant prouvé par leurs actes et le comportements leurs qualités chevaleresques.

Les Titres de Charges et les Titres Diplomatiques du NOMT[modifier | modifier le code]

A ce titre nobiliaire, certains dignitaires du NOMT se voient attachés un Titre de Charge et un Titre Diplomatique. L’article 12 de la Charte Constitutionnelle en donne une définition stricte :

« Est accordé des titres de charges ad vitam et non transmissibles aux dignitaires suivant leurs responsabilités dans l’Ordre. Les titres accordés sont les suivants :

-           Le rang de Prince régent est conféré au Maitre de l’Ordre

-           Le rang de Duc – suivi du nom du territoire qu’il dirige - est conféré aux Grands Prieurs, aux Grands Commandeurs du Temple, au Grand Sénéchal et à l’Evêque reconnu comme Patriarche des Eglises Chrétiennes par l’Ordre et comme Protecteur Spirituel de l’Ordre.

-           Le rang de Comte – suivi du territoire qu’il dirige - est conféré aux Grands Baillis, au Grand Chancelier et aux Commandeurs du Temple.

 Le Grand Chancelier pourra recevoir le rang de Duc dans l’Ordre sur décision conjointe du Maitre et du Grand Sénéchal. Cette élévation n’est pas, pour autant, systématique.

-           Le rang de Baron – suivi du nom de la localité dans laquelle est implantée la commanderie qu’il dirige - est conféré aux Commandeurs.

En cas de descente de charge ou de démissions, les dignitaires gardent leur titre de charge à vie en reconnaissance de leurs services rendus et selon les dénominations suivantes :

-           « Prince – passé régent »

-           « Duc du Temple »

-           « Comte du Temple »

-           « Baron du Temple »

Le terme « du Temple » signifie que le dignitaire est descendu de charges.

En cas de destitution pour manquements graves, le dignitaire concerné perd son droit au port du titre de charge.

Le Grand Sénéchal de l’Ordre est obligatoirement nommé Grand Prieur de France. Le Patriarche des Eglises Chrétiennes reconnu par l’Ordre est obligatoirement nommé Grand Prieur de Jérusalem.

Le Maitre par délégation de pouvoirs confère pendant le temps de leurs charges, une fonction diplomatique :

-           Les Grands Prieurs sont nommés Ambassadeurs plénipotentiaires de l’Ordre sur leur territoire.

-           Les Grands Baillis sont nommés Consuls de l’Ordre sur leur territoire et ils assistent les Grands Prieurs dans leurs missions plénipotentiaires. »[3]

Gouvernance et Exercice du Pouvoir au sein du Nouvel Ordre Mondial Templier (NOMT)[modifier | modifier le code]

  1. Charte Constitutionnelle du NOMT, article 1, p 2 promulguée le 18 mars 2014
  2. Charte Constitutionnelle du NOMT, article 9, p 7, promulguée le 18 mars 2014
  3. Charte Constitutionnelle du NOMT, article 12, p10, promulguée le 18 mars 2014