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Utilisateur:Kuririn00/Brouillon

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Englobant la culture et les produits japonais contemporains tels que les animations, le manga, les jeux, etc., le « Cool Japan » inclut également les robots de haute technologie japonais et les technologies vertes de pointe. De plus, les cuisines traditionnelles et les articles propices à la découverte de nouvelles valeurs font également partie de « Cool Japan ».[1]

Les perspectives[modifier | modifier le code]

En 2015, la stratégie englobe cinq composantes clés visant à renforcer et élargir l'attrait de « Cool Japan » . Tout d'abord, elle implique l'établissement de connexions latérales entre diverses initiatives et leur structuration selon une approche orientée vers le design pour renforcer l'attrait global. Ensuite, une perspective globale est adoptée à l'égard des activités publiques et privées, mettant l'accent sur leur intégration. Troisièmement, la stratégie inclut la création d'une plateforme de ressources humaines visant à attirer des talents créatifs du monde entier pour contribuer au paysage culturel du Japon. De plus, l'accent est mis sur la réorganisation des attractions du Japon d'un point de vue non japonais et sur l'implication de personnes non japonaises dans la diffusion et l'amplification de ces attractions. Enfin, la stratégie implique le développement d'attractions régionales, garantissant leur acceptation et reconnaissance internationale[2][3].

Origines[modifier | modifier le code]

Vers la fin des années 1980, l'attrait de la culture médiatique japonaise en Asie a suscité l'intérêt des responsables politiques. Les pratiques mondialisées ultérieures du soft power et du branding national ont accentué l'importance de la culture médiatique pour rehausser l'image internationale de la nation, conduisant ainsi à la promotion de la "diplomatie de la pop culture" et de manière plus générale, du concept de « Cool Japan » .[4]

Avant l'émergence de « Cool Japan » , Karatani Kōjin prévenait les japanologues que les études japonaises étaient menacées à moins de s'investir dans le marxisme japonais (1997). Néanmoins, les études japonaises ont suivi une trajectoire différente en embrassant la perspective de la Japonologie cool.[5]

En décembre 2003, Le Washington Post a exprimé que le Japon est actuellement en pleine réinvention, cette fois en tant que pays à la culture la plus branchée.[6]

  1. (en) « Cool Japan Initiative » [PDF], sur Cabinet Office Home Page (consulté le )
  2. (en) « Cool Japan Strategy » [PDF], sur Cabinet Office Home Page (consulté le )
  3. (en) « Cool Japan Strategy Public-Private Collaboration Initiative » [PDF], sur Cabinet Office Home Page (consulté le )
  4. (en) Koichi Iwabuchi, « Pop-culture diplomacy in Japan: soft power, nation branding and the question of ‘international cultural exchange’ », International Journal of Cultural Policy, vol. 21, no 4,‎ , p. 419–432 (ISSN 1028-6632 et 1477-2833, DOI 10.1080/10286632.2015.1042469, lire en ligne, consulté le )
  5. (en) Jonathan E. Abel, « Can Cool Japan save Post‐Disaster Japan? On the Possibilities and Impossibilities of a Cool Japanology », International Journal of Japanese Sociology, vol. 20, no 1,‎ , p. 59–72 (ISSN 0918-7545 et 1475-6781, DOI 10.1111/j.1475-6781.2011.01148.x, lire en ligne, consulté le )
  6. Koichi Iwabuchi, Les chemins de la globalisation culturelle, France, Presses De Sciences Po, , 228 p. (ISBN 2724631242, lire en ligne), pages 37 à 53