Utilisateur:Kleslo/Brouillon

	Kleslo/Brouillon
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Histoire[modifier | modifier le code]

Kleslo* est né de la volonté d'Alain Kloeckner ^[1] de créer une grande marque de fauteuils de spectacles en 1995. Cette idée était déjà ancrée dans la famille depuis 1951, où son père Pierre s'était lancé dans la fabrication de sièges et dans l'exploitation de salles. La société se situe au cœur du Jura en France, à Lons-le-Saunier, avec une usine d'environ 2500m² ce qui nous permet de réaliser la fabrication de nos fauteuils sur place (bureau d'études, atelier de conception et d'essai, de couture, de tapisserie, de menuiserie, de montage). Kleslo* assure aussi la réfection des fauteuils existants, la vente et la pose de moquettes, de tissus muraux tendus, de rideaux de scènes. Cette vocation d'ensemblier reçoit un écho très favorable auprès des maitrises d'ouvrages et d’œuvres avec la possibilité de créer des produits spécifiques à un projet. Kleslo*, c'est aussi une marque connue et reconnue en France, qui collabore avec l'agence Naço (www.naco.net) pour s'ouvrir des perspectives internationales. ^[2].

Depuis 1999, Kleslo réalise 40 000 sièges chaque année dans la ville préfecture. Elle travaille principalement pour des cinémas partout en France, mais aussi des salles de spectacle, salles polyvalentes, théâtres, amphithéâtres… « La société a été créée dans l’Hérault en 1995 par Alain Kloeckner, le fils de l’entrepreneur Pierre Kloeckner qui avait lancé Cinéconfort en 1951 et l’avait cédée en 1981 », rappelle Alain Ravier, son PDG depuis deux ans.

Reprise de la société [modifier | modifier le code]

Reprise en 2013 par Alain Ravier, elle est donc l’héritière d’une tradition et d’un savoir-faire de plus de 60 ans. L’entreprise Kleslo est située à Lons-le-Saunier, dans le Jura (Franche Comté) et emploie 35 personnes directement et 25 indirectement pour les composants.

Réaction du PDG de Kleslo [modifier | modifier le code]

Réaction D’Alain Ravier dans un article

Trente-cinq employés peuvent être fiers de la qualité des sièges qu’ils offrent aux spectateurs. Ces professionnels sont répartis entre deux bâtiments : le plus ancien qui accueille bureaux, showroom, stockage, créatifs et l’ancien local de Technoseat dans lequel l’atelier a été installé en avril dernier. Ici, hommes et femmes ouvriers doivent faire preuve d’habileté et, pour certains, d’une force physique certaine.

Première étape, on assemble des ferrures sur l’ossature en bois. Puis deux machines coupent les tissus venus de Troyes qui habilleront pieds, dos, assise et accoudoirs du fauteuil, reliés entre eux par des pièces métalliques. Des tissus dont les prix varient jusqu’à 40-50 % : velours très épais, tissu en laine anti feu pour le plus cher… On passe après à la couture des tissus. La mousse est collée sur le bois dans une pièce spéciale puis les professionnels assemblent le bois recouvert de mousse avec les tissus. Il faut quarante-cinq minutes à une heure trente pour fabriquer un siège.

"Nos fauteuils sont essentiellement rouges ou noirs, couleurs classiques dans le cinéma, montre Alain Ravier, car ils sont mis en place pour une dizaine d’années et une couleur tendance aujourd’hui peut très vite se démoder. » L’entreprise, au chiffre d’affaires en progression, collabore parfois sur des commandes spécifiques avec l’agence de design parisienne Naço. Kleslo a plus insisté cette année sur le marché français, sur lequel il y avait de nombreuses opportunités, et envisage déjà de se développer à l’étranger." ^[3]

Réalisation[modifier | modifier le code]

Kleslo réalise un chiffre d’affaires d’environ 7 millions d’euros et vend 40 000 fauteuils par an. Parmi ses clients on retrouve de grandes enseignes telles que UGC, CGR, MK2, Le Grand Rex de Paris, AS Monaco Stade Louis II, des collaborations avec le cabinet d’architecture Naço, mais aussi les exploitants indépendants et les collectivités locales.^[4]^[5]