Utilisateur:Karine Paquette SSO1073

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Bonjour, je suis une étudiante canadienne en rédaction professionnelle et en bande dessinée à l'Université du Québec en Outaouais (UQO).Je me suis créé un compte d'utilisateur Wikipedia dans le cadre du cours Activité thématique en sciences sociales. Comme projet pédagogique, je dois enrichir la page de Wikipedia sur la municipalité de Montebello.


Exercices[modifier | modifier le code]

Semaine 2[modifier | modifier le code]

Voici l'image du jour sur Wikimédia Commons

Voici le site officiel de l'Université du Québec en Outaouais (UQO)

De soir, vue sur le Musée canadien des civilisations à Gatineau, Québec, Canada.
Le Musée canadien des civilisations à Gatineau, vu de soir.
Complexe Place du Portage, Gouv. du Canada, boul. Maisonneuve Nord, secteur Hull, Gatineau, Qc. Outaouais
Complexe Place du Portage, un établissement gouvernemental canadien sur le boulevard Maisonneuve Nord, secteur Hull, Gatineau, Québec, Canada.

Semaine 3[modifier | modifier le code]

Exemple 1 : Ce n'est pas une source fiable, puisque le site web n'est pas issu d'une entreprise reconnue ou d'une organisation à but non lucratif. La structure du site ne semble pas très officielle (c'est un forum).

Exemple 2 : Cette source est de l'ordre de l'opinion par l'argumentation utilisée et par les liens proposés. Elle n'est donc pas fiable.

Exemple 3 : Cette source possède une certaine fiabilité, puisque ce sont des experts d'une institut qui écrivent les articles. Cependant, la mission de l'Iris annonce un parti pris politique.

Exemple 4 : Cette source est fiable, puisqu'elle est issue d'un organisme gouvernemental, soit la commission de la capitale nationale. Toutefois, la source dépend du gouvernement au pouvoir.

Semaine 5[modifier | modifier le code]

Références bibliographiques[modifier | modifier le code]

  • Appadurai, A. (dir.) (1986). The Social Life of Things, Cambridge : University Press, 350 p.
  • Auray, Nicolas et Moreau, F. (2012). « Industries culturelles et Internet. Les nouveaux instruments de la notoriété (Introduction) », Réseaux, no. 175, p. 9-18.
  • Barats, C. (2007) Manuel d’analyse du Web en sciences humaines et sociales, Paris : Armand Colin.
  • Bastian, M. et al. (2005). « Gephi: An Open Source Software for Exploring and Manipulating Networks », ICWSM, no. 8, en ligne. URL : http://gephi.org/publications/gephi-bastian-feb09.pdf (consulté le 6 septembre 2015.)
  • Beaudoin, V. (2012). « Trajectoires et réseaux des écrivains sur le Web. Construction de la notoriété et du marché », Réseaux, no. 175.
  • Beauvisage, T., Beuscart, J.-S., Cardon, V., Mellet, K. et Trespeuch, F. (2013). « Notes et avis des con-sommateurs sur le web. Les marchés à l'épreuve de l'évaluation profane », ICWSM, no. 2, en ligne. URL : http://gephi.org/publications/gephi-bastian-feb09.pdf. (consulté le 6 septembre 2015)

Les articles de qualité[modifier | modifier le code]

Quels sont les trois critères qui assurent qu'un article répond aux exigences de notoriété ?

Les articles doivent contenir un résumé du sujet, une explication qui décrit la pertinence du sujet
et un lien externe vers une page internet fiable et crédible ou d'une source notable confirmant l'importance du sujet.

Quelles sont exigences pour atteindre le niveau de "bon article" ou d'"article de qualité" ?

Un bon article est caractérisé par sa structure claire et son contenu encyclopédique. Le texte contient un résumé introductif, un corps de l'article divisé en plusieurs intertitres (si besoin) et des annexes et notes de bas de page.

Suggestions de sections à mettre dans mon article[modifier | modifier le code]

Histoire (Toponymie)

Patrimoine national ou Tourisme

Description géographique ou Géographie

Administration (Chronologie municipale, régionale) ou les mettre en des sections séparées

Démographie

Langue maternelle

Économie

Culture et communications

Voir aussi (Articles connexes, références)

Montebello (Québec)[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Montebello a d’abord été le nom que Papineau donnait à sa résidence, contrairement à son fils Amédée Papineau qui utilisait plutôt « Montigny ». C’est par l’entremise d’une lettre au receveur général des postes que Papineau a officialisé l’appellation « Montebello » en 1855[1], alors écrite « Monté-Bello ». Puis, le receveur général des postes s’est trouvé confronté aux paroisses portant le même nom que l’église Notre-Dame-de-Bon-Secours. Pour les différencier, Papineau lui a proposé d’ajouter « Shibaye » signifiant « La vallée des larmes », un terme algonquin qui témoignait de l’existence des anciens habitants du territoire, soit les Oueskasipirini[2]. Il a aussi suggéré « Montebello » qui voulait dire « beau mont », une proposition qui sera finalement adoptée. En plus de la signification du nom qui faisait référence à la situation géographique du village, le terme avait aussi une connotation affective pour Papineau. En effet, Louis Napoléon Lannes, son ami de France sympathique à la cause canadienne, avait le titre de Duc de Montebello. Le village n'a revêtu ce nom qu'en 1978, après sa séparation de la paroisse Notre-Dame-de-Bon-Secours en 1978[3].

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de Montebello contient plusieurs bâtiments importants historiquement. Tout d’abord, le Manoir Papineau appartenait au célèbre Louis-Joseph Papineau qui y vécu sa retraite après l’insurrection patriotique et son exil. À sa mort, son fils Amédée lui a succédé en 1971 comme propriétaire du domaine et du titre de seigneur[4]. Ensuite, le Fairmont Le Château Montebello souligne le passage d’une haute bourgeoisie, dont plusieurs étaient membres de la Seigniory Club créée en 1933 [5]. Outre la richesse de ceux qui fréquentaient ce lieu, d’abord privé, puis public, la particularité du château est son architecture complètement en bois rond. En 111 jours, les ouvriers sous la direction de l’architecte canadien Harold Lawson ont réussi à bâtir une propriété de 6 000 000 $, constituée d’un log château, d’un Cedar Hall et d’un garage[6]. De plus, la paroisse Notre-Dame-de-Bon-Secours apporte à la municipalité de Montebello un symbolisme spirituel par son « statut de paroisse mère [en tant que] première église catholique de l’Outaouais »[7]. Aussi, le village même contribue au patrimoine grâce à ses nombreuses maisons centenaires sur la rue Notre-Dame[8].

Héraldique[modifier | modifier le code]

dans les années 1960[9]
La devise en latin des Montebellois « Fero Non Quaero » signifie « Je ne cherche pas (ailleurs), j'assume (fièrement mon histoire) », les propos entre parenthèses étant suggérés par la construction de la phrase latine[10].

Chronologie municipale[modifier | modifier le code]

, sous la proclamation de la reine Victoria[11].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lamarche, J. (1984). Au coeur de la Petite-Nation : le Château Montebello. Montréal : Éditions de la Petite-Nation. p. 61
  2. Lamarche, J. (1980). L'histoire de Montebello.(vol.1) Saint-André-Avellin, Québec : Éditions de la Petite-Nation. p. 2
  3. Allard, Y. M. (2003). Histoire de Montebello 1929-2003. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. 401p.
  4. Chamberland, M. (2003). Histoire de Montebello 1815-1928. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. p. 35
  5. Gaffield, Chad. (1994). Histoire de l'Outaouais, Québec : Institut québécois de recherche sur la culture.p. 420
  6. Allard, Y. M. (2003). Histoire de Montebello 1929-2003. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. p. 19
  7. Leroux, Manon. (2012). L'autre Outaouais : guide de découverte du patrimoine, Gatineau :Pièce sur pièce. p. 535
  8. Leroux, Manon. (2012). L'autre Outaouais : guide de découverte du patrimoine, Gatineau :Pièce sur pièce. p. 535-544
  9. Allard, Y. M. (2003). Histoire de Montebello 1929-2003. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. p.11
  10. Allard, Y. M. (2003). Histoire de Montebello 1929-2003. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. p. 12
  11. Allard, Y. M. (2003). Histoire de Montebello 1929-2003. Montebello, Québec : Société historique Louis-Joseph Papineau. p.11