Utilisateur:Karim wade

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Né le 1er septembre 1968 à Paris, de mère française et de père sénégalais, Me Abdoulaye Wade (Actuel Président de la République du Sénégal), Karim Meïssa Wade fait ses études primaires à l’Ecole Franco-Sénégalaise de Dakar, au Cours Sainte Marie de Hann de la même ville et achève son cycle secondaire à l’Ecole Saint Martin de France où il obtient son Baccalauréat.

Il entreprend ses études supérieures à [l’Université de Paris 1 Sorbonne], où il obtient une maîtrise en Sciences de Gestion (MSG), suivi d’un DESS en Ingénierie Financière.

Il a travaillé pendant une dizaine d’années dans le département «Corporate Finance» de la Banque d’Affaires «[UBS Warburg]» à Londres en qualité de Directeur Associé où il a eu à conduire différentes opérations de privatisation, de conseils aux gouvernements, de restructuration d’entreprises et de financement structuré principalement dans le secteur minier et pétrolier.

En 2000, il participe activement à la campagne présidentielle aux côtés de son père [Me Abdoulaye Wade] (candidat de l’opposition). Election qui consacre son accession à la Magistrature Suprême du Sénégal.

En 2002, Karim Wade abandonne une carrière très prometteuse de banquier pour mettre son expertise au service de son pays. Il est nommé Conseiller Personnel du Président de la République, en charge de la mise en œuvre des grands projets et dossiers de restructuration d’entreprises, parmi lesquels on cite le projet du Nouvel Aéroport International de Diass, la restructuration des Industries Chimiques du Sénégal (ICS), la mise en place de la zone économique spéciale intégrée de Dakar (DISEZ). Cet ambitieux projet va faire du Sénégal une plateforme commerciale et industrielle pour la sous-région et l’Afrique.

En juin 2004, il est nommé Président de [l’Agence Nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI]). A la tête d’une équipe d’une centaine de collaborateurs, il a pour mission de préparer et d’organiser le 11e Sommet Islamique, en mobilisant les financements nécessaires à sa réussite.

Avec son équipe, il réussit à transformer radicalement la capitale sénégalaise par la réalisation d’infrastructures routières modernes, la reconstruction de la Corniche Ouest, l’édification d’ouvrages tels que le Tunnel de Soumbédioune, les échangeurs de la VDN (Voie de Dégagement Nord).

Il est également arrivé à attirer les investisseurs privés pour la réalisation d’infrastructures hôtelières haut de gamme opérées par des chaînes internationales prestigieuses.

Le 26 août 2008, il est reçu à l’[Elysée] par le Président de la [République Française, Nicolas Sarkozy] pour discuter du projet d’installation d’une centrale civile nucléaire au Sénégal. Celle-ci permettra de régler définitivement le problème de production et de fourniture d’électricité auquel est confronté le pays depuis plusieurs années.

Sa philosophie : parler peu, bien agir. D’où la mise sur pied de son mouvement la «Génération du Concret» qui suscite un engouement sans précédent de la part des jeunes, des femmes et des personnes du 3e âge et draine beaucoup de sympathisants à travers le Sénégal et à l’extérieur.

Bien que cultivant l’art de la discrétion, il œuvre dans le social en apportant son appui aux couches les plus défavorisées, notamment dans la banlieue de Dakar où diverses actions sociales sont régulièrement menées. Il est en train de mettre sur pied une fondation qui aura pour mission de permettre aux populations les plus démunies d’avoir accès aux droits à la santé, au logement et à l’emploi.