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Utilisateur:Ile du Coq/Brouillon

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Bataille du Pont du Gard

Informations générales
Date 19 mai 2022
Lieu Pont du Gard (30)
Issue victoire décisive de la section 42
Belligérants
section 42 section 64
Commandants
Major Dupuis

et

B/C Cauquil
Bier Gonthier †

et

Bier Vion-Delphin
Forces en présence
29 kayakistes 30 kayakistes
Pertes
3 bateaux coulés 12 bateaux coulés, 1 bateau capturé

263ème Guerre des sections

La Bataille du Pont du Gard est un affrontement naval ayant eu lieu lors de la sortie cohésion de la 263ème promotion de l'ENP Nîmes. Il s'est soldé par une victoire décisive de la section 42 sur la section 64.

Contexte[modifier | modifier le code]

Du fait de l'amphi de la fondation Louis Lépine, les élèves qui se sont vu accorder une journée de sortie-cohésion ne sont autorisés à quitter l'école qu'à 11h pour la section 42 et à midi pour la section 64.

Forces en présence[modifier | modifier le code]

Le nombre de combattants est approximativement le même des deux côtés. La qualité des troupes est en revanche sensiblement différente, la section 42 ayant bénéficié d'un entraînement supérieur de par leur amiral-major, le major Dupuis. De plus, les membres de la section 42 ont bénéficié dès "l'embarquement" d'un exercice en conditions réelles organisé par leur amiral-chef. Certains s'en plaignent, mais l'exercice à visiblement payé.

Casus belli[modifier | modifier le code]

Au niveau du rapide "la machine à laver", la section 64 tente de dépasser la 42 .

La section 42 qui vient de finir de déjeuner est en pleine digestion. La 64 profite de ce moment de faiblesse pour tenter de la dépasser.

Cela provoque une première escarmouche avec des arrosés des deux côtés. La 64 regagne la place qui est la sienne : à l'arrière.

Escarmouche préliminaire[modifier | modifier le code]

Alors que la 42 a fait une halte baignade, la section 64 tente à nouveau de la doubler. Les effectifs de la 42 effectuent alors une attaque amphibie qui permet de renverser une dizaine de bateaux dont son amiral, le Brigadier Gonthier.

Ces résultats sont tout de même à relativiser car les attaquants n'étant pas embarqués, ils ne pouvaient subir de perte.

Des dégâts collatéraux sont à relever : une famille de touristes sans rapport avec les protagonistes a été coulée par erreur malgré ses nombreuses supplications.

La 64 se replie en désordre sous le Pont du Gard.

Déroulement de la Bataille[modifier | modifier le code]

Mise en place[modifier | modifier le code]

Vexée et ralliée par ses chefs, la section 64 forme une ligne de bataille compacte sous le Pont du Gard, interdisant le passage sur toute la largeur de la rivière.

Les chefs de la 42 ayant été retardés par une bière de dernière minute, les marins AD et Le Zod prennent l’initiative de regrouper la 42 sur la droite en amont du pont afin d’organiser une tortue.

Charge lourde[modifier | modifier le code]

Sur leur embarcation, le castor, spécialiste des barrages, et Barres à la barre, pètent un cablr et chargent en plein centre de la ligne adverse. Leur sacrifice héroïque ouvre une brèche dans le dispositif adverse.

Pour cette action d'éclat, ils recevront tous deux à titre posthume la plus haute distinction militaire existant dans la promotion 263, la léchouille d’or avec palmes.

Le navire amiral de la 42 ayant finalement rejoint la tortue, le major Dupuis lance l’attaque générale.

La manœuvre effectuée avec une discipline et une organisation millimétrée porte ses fruits. La section 64 est largement enfoncée.

Traversée de l'état-major[modifier | modifier le code]

Escorté par les destroyers Alexis-Thomas et Damien-Jaade, le navire-formateurs traverse la mêlée sans encombre, le chef Cauquil s’offrant même un kill au passage (validé par la VAR).

Le navire-amiral étant à l’abri en aval, la bataille se poursuit une dizaine de minutes pour assurer la maîtrise du terrain, sous les yeux de nombreux touristes étrangers. Un article relatant l'évènement est à paraître dans le Berliner Zeitung.

Bilan[modifier | modifier le code]

Le résultat est sans appel. 12 bateaux sont coulés chez la 64 pour seulement 3 chez la 42, sans même compter l'escarmouche préliminaire.

Plus important encore, un bateau est capturé par le marin de la 42 Loïck F qui recevra pour ce fait la léchouille d’argent de 1ère classe. Le bateau de capture est ensuite abandonné sur une île au milieu de la rivière, rajoutant l’humiliation à la défaite de la 64.

Le marin Kiki revendique quant à lui avoir coulé 4 adversaires. Bien que ces victoires ne soient pas homologuées par la vidéo, elles lui vaudront la léchouille d’argent de 2ème classe.

Controverses[modifier | modifier le code]

Armes interdites[modifier | modifier le code]

Développé en première mondiale par la marin(e) Madison, le célèbre cri-qui-tue a été largement utilisé par l’ensemble des femmes de la section 42 ainsi que par certains hommes. Cette invention qui a sévèrement contribué à la victoire a permis à son inventrice d’être également nommée pour la léchouille d’argent de 2ème classe. La technique a néanmoins rapidement été interdite par la convention de Genève du fait des blessures irréversible qu’elle occasionne aux tympans des victimes. Elle est d’autant plus critiquée qu’elle est la cause de nombreux “friendly fire”, la stridence du cri impactant autant les alliés que les ennemis.

Contre-mesures / escroqueries[modifier | modifier le code]

Les deux camps ont utilisé la technique controversée dite des [non-déontologique] :

Côté 64 : “S'il vous plaîîît, on a une enceinte à musiiique, faut pas nous mouilleeer”, permettant d’esquiver le chavirage.

Côté 42 : la corvette Anaïs-Madison a excellé sous la forme : “S’il-vous-plaîîiiiit, on est des fiiiiiiilles, on peut pas se mouilleeeeeer !” leur permettant de s’enfuir après avoir pourtant cogné salement un kayak de la 64. Pour cette action, elles seront toutes deux récompensées par l’oscar de la meilleure actrice.

Crimes de guerre[modifier | modifier le code]

Une plainte a été déposée par la famille de touristes hollandais coulée au début de l’engagement. L’enquête est en cours pour identifier les coupables.

Désertion[modifier | modifier le code]

Des accusations graves ont été portées contre le délégué de section Clément.

Une cour martiale doit se réunir prochainement pour déterminer si le fait de se placer discrètement à l’écart pour filmer l’affrontement sans s’y impliquer correspond à une fuite devant l’ennemi. Si cette qualification était retenue, le délégué pourrait perdre sa légitimité à conduire la section lors de la cérémonie de fin de scolarité et être condamner à défiler en slip de bain.

Postérité[modifier | modifier le code]

Depuis cet affrontement, les élèves de la 64 doivent saluer au garde à vous ceux de la 42 lorsqu’ils les croisent dans l’école.

Le 19 mai a été déclaré jour férié pour tous les élèves des sections 42 présente et à venir.

Les distinctions honorifiques accordées seront remises par Monsieur le directeur de l’école lors de la cérémonie de sortie.