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Traduction Sans-sérif
Classification[modifier | modifier le code]
Pour plus de détails sur le sujet voir Classification Vox-Atypi
Aux fins de la classification de type, conceptions sans-serif sont généralement divisés en trois ou quatre groupes principaux, le quatrième étant le résultat de diviser la catégorie grotesque dans grotesque et néo-grotesque. [21] [22]
Grotesque[modifier | modifier le code]
Ce groupe représente le premier des design sans-serif
Robert Bringhurst, auteur de The Elements of Typographic Style utilise le réalisme de terme pour décrire un groupe de caractères qui correspond étroitement à la catégorie grotesque pour ce qui concerne sans empattements: il convient de noter en effet que la catégorisation de Bringhurst est historique et ne sépare pas empattements et sans empattements. La classe de réalisme ne comprend en effet des empattements, en particulier des dalles, qui ont été développés au cours de la même période et dans le même esprit. [23]
Cette dénomination, dérivé du mouvement esthétique du 19e siècle, peut être confondue avec la catégorie de transition / réaliste de la classification Vox-ATypI, où il est utilisé pour décrire la mi-18e caractères siècle positionnés entre les anciens modèles de style de William Caslon et les styles modernes, les plus récentes de Giambattista Bodoni et Firmin Didot, avec réalisme destiné à l'acceptation de royal, majestueux. Néanmoins certains chercheurs, les similitudes notant (l'axe vertical, le caractère uniforme) et afin de refléter la division en trois volets d'empattements (vieux, transitoire, moderne), utiliser les noms communs de transition / réalistes (ou anonymes, compte tenu de l'aspect brut) de classer ensemble des polices de caractères grotesques et néo-grotesque plutôt que humaniste et géométrique. [24]
Exemples: Akzidenz Grotesk, Franklin Gothic, Monotype Grotesque.
Néo-grotesque[modifier | modifier le code]
La police de caractères Helvetica (néo-grotesque)
Comme son nom l'indique, ces conceptions modernes se composent d'une évolution directe de types grotesques. Ils sont relativement simple en apparence et ont moins de largeur de ligne de variation humanistes caractères sans empattement.
L'histoire de types néo-grotesque a commencé dans les années 1950 avec l'émergence du style typographique international ou style suisse. Ses membres ont examiné les lignes claires de Akzidenz Grotesk (1896) comme une source d'inspiration pour créer des polices de caractères rationnels, presque neutres. En 1957, la libération de Helvetica, Univers, et Folio, les premiers caractères classés comme néo-grotesque, a eu un fort impact à l'échelle internationale: Helvetica est venu pour être le caractère le plus utilisé pour les décennies suivantes [25].
D'autres exemples comprennent: Highway Gothic, Arial, Bell Centennial, MS Sans Serif.
Humaniste[modifier | modifier le code]
Ce sont les plus calligraphique des caractères sans empattement, avec une certaine variation dans la largeur de ligne et plus de lisibilité que les autres polices sans empattement.
L'origine des conceptions humanistes ne peut pas être localisé à un mouvement particulier, mais pour les besoins spécifiques de la prise en charge conduit Frank London Underground, qui a abouti à la création de la police Johnston (Edward Johnston, 1916), et, une décennie plus tard, à Stanley Morison de Monotype, qui a commandé le développement d'une famille typographique complet (Gill Sans, 1928) après avoir vu le potentiel dans le lettrage linéale du disciple de Johnston, Eric Gill. [26]
Edward Johnston, un calligraphe de profession, a été inspiré par les formes classiques de lettres, avec des chapiteaux sur la base des inscriptions romaines, mais aussi demandé des éclaircissements à l'aide des formes les plus simples possibles: le «o» minuscule est un cercle parfait et constitue la base pour les bols de autres lettres; également, tandis que l'épaisseur du trait est exactement 1/7ème de la hauteur du capital, selon la tradition calligraphique, c'est totalement uniforme, sans aucune compensation pour les distorsions optiques. [26]
Alors que la police de Johnston a connu la popularité limitée, car il n'était pas disponible pour une utilisation générale, les sans de Gill, une évolution des sans Johnston, est devenu l'un des caractères les plus populaires en Grande-Bretagne, mais en profitant peu à aucune gloire en dehors de celui-ci. [27 ]
Au cours des décennies suivantes, il y avait un certain nombre d'expériences avec des sans-empattements épais et mince, dont Stellar (Robert Hunter Middleton, 1929) et de Lydie (Warren Chappell, 1938), qui a abouti à Optima de Hermann Zapf (1958), un caractère expressément destiné à être utilisé à la fois pour l'affichage du texte en cours d'exécution et [28].
D'autres exemples comprennent: Antique Olive, Calibri, Lucida Grande, Segoe UI, Myriad, Frutiger, Trebuchet MS, Tahoma, Verdana.
Géométrique[modifier | modifier le code]
Comme leur nom l'indique, des polices de caractères géométriques sans-serif sont basés sur des formes géométriques, comme le cercle et le carré presque parfait. Notez la lettre circulaire optiquement "O" et la construction simple de la lettre «a» minuscule. Les polices géométriques sans-serif ont un look très moderne et la sensation. De ces quatre catégories, les polices géométriques ont tendance à être les moins utiles pour le corps du texte.
Les sans-serif géométriques sont fortement associées à l'école d'art du Bauhaus (1919-1933). Deux premiers efforts dans la conception de types géométriques ont été faites par Herbert Bayer et Jakob Erbar, qui ont travaillé respectivement sur Universal Typeface (Unreleased à l'époque mais relancé numériquement comme Architype Bayer) et Erbar (vers 1925). En 1927, Futura, par Paul Renner, a été lancée avec grand succès et la popularité. [29]
D'autres exemples comprennent: Kabel, Nobel, ITC Avant Garde, Century Gothic, Gotham et Drogowskaz, Futura.
Textes et réferences