Utilisateur:Glidepil/Brouillon

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Harriet Quimby[modifier | modifier le code]

  • (en) Eileen F. Lebow, Before Amelia : Women Pilots in the Early Days of Aviation, Potomac Books, Inc., , 315 p. (présentation en ligne)
  • (en) Fred Erisman, From Birdwomen to Skygirls : American Girls' Aviation Stories, Texas A&M University Press, , 192 p. (présentation en ligne)

Bataille de Fontaine-Française[modifier | modifier le code]

Quand il s'agira de faire le portrait du baron de Lux, voir dans L'ouvrier, l'Espagne, la Bourgogne et la vie provinciale (présentation en ligne), p. 318 l'Assassinat du baron de Lux, par Jacqueline Boucher.

Sur la conjuration de Biron et le rôle du baron de Lux dans cette affaire, voir Barbiche, « L'exploitation politique d'un complot », Publications de l'Ecole française de Rome,‎ (lire en ligne).

Même sujet, avec éclairages supplémentaires sur le rôle du comte d'Auvergne, dans Romain Marchand, « Conciliation et réconciliation : un exemple politique, l’affaire Biron-Bouillon 1602-1606 », Presses universitaires de Paris-Nanterre,‎ (lire en ligne)

Pour Fontaine-Française ou pour Biron, voir Dictionnaire historique et biographique des généraux français, (lire en ligne), p. 290. On y trouvera une des premières citations de la phrase « ... le cul sur la selle et l'épée à la main »* par laquelle Henri IV justifiait sa patience envers Biron, les noms d'autres combattants de Fontaine-Française et peut-être la clé du mystère concernant Vitry : le chef des gardes du roi de 1610 était-il l'ancien compagnon de 1595 ? * la phrase est paraît-il citée par Sully, t. II, chap. IV, p. 16, d'après L'histoire de France d'Anquetil et citée, plus tôt (qu'Anquetil, pas que Sully), par le Dictionnaire universel, historique, critique, et bibliographique de Louis Mayeul Chaudon ([lire en ligne] (1810). Dans sa biographie de Biron (1861), Ch. de Montigny attribue également la citation à Sully.

Palma Cayet donne un récit de la bataille, dans lequel le baron de Lux prend l'initiative de la charge qui va le mettre en difficulté [lire en ligne].

Trajectoire de Galas en 1636[modifier | modifier le code]

  • Étude sur l'invasion allemande en Bourgogne et le siège de St-Jean-de-Losne / par Charles Méraud (1886) : coup de main sur le camp de Galas à Leffond le 10 octobre, le 21 il est sous les murs de Mirebeau. Suite au siège infructueux de Saint-Jean-de-Losne, il se replie sur la Comté par Spoy (le 10 novembre) poursuivi par les Français de Condé qui lui livrent, le 11, un "combat sanglant au passage de la Vingeanne" et arrive à Gray deux jours après.
  • Beguillet, Histoire des guerres des deux Bourgognes sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, (lire en ligne), partie 2, p. 49-53 : Galas établit son camp à Champlitte, ses Croates à Leffond, le duc Charles aux environ de Gray. On surprend les Croates à Leffond et on leur prend deux mille chevaux. Galas se met alors en route sur Fontaine, puis Mirebeau ... Pendant la retraite, Rantzau tombe le 9 novembre sur les Croates à Bèze, le 11 le prince de Condé sur les Impériaux dans deux villages auxquels ils avaient mis le feu et en écrase un paquet au passage de la Vingeanne. Le 12 il essaie de surprendre les Impériaux à un gué sur la Vingeanne ... Beguillet et Girardot de Nozeroy, Histoire de dix ans de la Franche-Comté de Bourgogne, 1632-1642, Besançon, D'Outhenin-Chalandre, (lire en ligne), p. 148 sont cités par http://jonvelle.free.fr/histoire3.htm#CHAPITRE%20V, mais le second détaille encore moins la descente de la vallée de la Vingeanne que le premier.
  • Épisodes de la guerre de Trente ans. Le cardinal de La Valette, lieutenant général des armées du roi 1635 à 1639 / par le vicomte de Noailles : le 20 octobre Galas est prêt à marcher, la Vingeanne est guéable partout. Début novembre le cardinal poursuit seul Galas en retraite. Le 11 les Français fondent sur les Impériaux à Beaumont, les poussant dans la Vingeanne.
  • Gaston Roupnel, La ville et la campagne au XVIIe siècle : étude sur les populations du pays dijonnais, , cité par Gérard Louis, La guerre de Dix Ans, 1634-1644, Presses universitaires de Franche-Comté, , à l'appui d'un bilan de plus de 80 bourgades incendiées entre la Saône et la Côte (voir aussi l'article du même G. Louis : « La guerre de Dix ans en Franche-Comté 1634-1644 », sur institut-strategie).
  • La Gazette : « descampa de Champlite le 22 du mois passé, & prist sa marche du costé de St. Seigne sur Vigene », [lire en ligne].

Participation de Charles Blondel au lancement de Politique[modifier | modifier le code]

  • Yves Palau, « 3. Rupture et transformation au sein du catholicisme social : la revue Politique (1927-1940) », dans Les revues et la dynamique des ruptures, Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne)

Henri Bazire[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Yves-Marie Hilaire, « L'Association catholique de la Jeunesse française : les étapes d'une histoire (1886-1956) », Revue du Nord, vol. 261-262,‎ , p. 903 (lire en ligne)
  • Jacques Prévotat, « L’Action française et les catholiques : le tournant de 1908 », Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, vol. 19, no 1,‎ , p. 119 (lire en ligne)
  • Emmanuel Barbier, Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France : du Concile du Vatican à l'avènement de S. S. Benoît XV (1870-1914), Bordeaux, Delmas, (lire en ligne)

Jean Borotra[modifier | modifier le code]

Affectations pendant la 1re Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au 118e régiment d'artillerie lourde lors de son engagement volontaire (fiche matricule)

Admis à la suite du concours des 23 & 24 février 1917 à suivre les cours des élèves aspirants d'artillerie (JORF du 6 avril 1917). Par décision du 22 août 1017, nommé aspirant d'artillerie à titre temporaire et affecté au 105e RA (JORF du 30 août 1917).

Au 121e le 15 septembre 1917

Nommé sous-lieutenant à titre temporaire le 10 juin 1918 (JORF du 14 juin).

Au 106e le 22 février 1919.

Sous-lieutenant à titre définitif et confirmé dans son affectation au 106e le 14 octobre 1919 (JORF du 21 octobre).

Nommé élève à l'École polytechnique, à l'issue du concours spécial, classé 27e (JORF du 24 septembre 1920).

Sous-lieutenant de réserve le 18 mai 1921 (et toujours au 106e (JORF du 20 mai 1921).

Lieutenant de réserve à titre définitif le 6 août 1921 (JORF du 13 août).

Réaffecté au 106e et confirmé dans son grade de lieutenant le 21 février 1923 (JORF) du 24 février.

La gazette de Biarritz-Bayonne et Saint-Jean-de-Luz, 18 novembre 1918, p. 2. Biarritz Citation À l’ordre du régiment, sous –lieutenant Jean Borotra, 8e groupe du 121e régiment d’artillerie lourde : « Jeune officier plein de sang-froid, d’une belle crânerie ; se donnant à la tâche à plein cœur, avec toute la belle ardeur de ses vingt ans ; n’a cessé, pendant les combats victorieux de .... 1918, de rendre les plus intelligents et précieux services, tant comme officier observateur de son groupe que comme adjoint auprès du colonel commandant le 222e R.A.C. Sérieusement souffrant, a refusé de prendre du repos, a dompté la maladie par son énergie et a pu ainsi, jusqu’au bout, poursuivre l’ennemi et lui faire du mal. » Croix de guerre.

La Croix Nivert[modifier | modifier le code]

Quand l'itinéraire qui allait vers Issy par l'actuelle rue de la Croix-Nivert a-t-il été coupé, par la disparition de son segment du carrefour de la Croix elle-même à la porte d'Issy ? Encore visible sur les plans du XVIIIe, encore visible sur un plan de 1805, disparu sur les plans des années 1840 qui préparent la construction de la nouvelle enceinte de Paris ...

Sur le collège des Jésuites : Edouard Prampain, Souvenirs de Vaugirard : mon journal pendant le siège et pendant la Commune, 1870-1871, Paris, Société anonyme de publications périodiques, (lire en ligne)

Combat d'Issy (1815)[modifier | modifier le code]

Extraits[modifier | modifier le code]

« Davout, continuant à tromper l'armée comme Fouché la population parisienne, par l'annonce d'une bataille très prochaine, ordonna à Vandamme de faire des démonstrations sur son front. Vandamme avait sa gauche à Gentilly, son centre à Montrouge, sa droite repliée en arrière de Vaugirard. Dès l'aube du jour il fit avancer une division sur Issy ... »[1]

« Le succès de Vandamme n'avait pas été poursuivi ... »[2]

« ... voilà pourquoi le lendemain, 3, de grand matin, Davoust donna l'ordre à Vandamme d'attaquer Issy »[3]

« À la nuit les colonnes ennemies le [Vichery] chassent d'Issy et le ramènent sur Vaugirard. Le 3 au matin, Vandamme, dont le flanc gauche est menacé par le recul de la division, donne à Vichery l'ordre de reprendre Issy, après avoir préparé l'attaque par une violente canonnade. Trois fois Vichery, soutenu par Hulot, s'efforce d'enlever la position; trois fois il se brise sur le village et le parc. Le régiment perd six hommes. A huit heures du matin le combat est arrêté par une demande d'armistice, aussitôt suivie de la capitulation de Paris »[4]

« Dès avant le lever du soleil le feu avait repris. L'occupation d'Issy par les Prussiens donnant à Vandamme des inquiétudes pour sa droite, il avait, d'accord avec Davout, prescrit au général Vichery de reprendre cette position en préparant l'attaque par une très violente canonnade. (...) Les 3e et 4e corps, la cavalerie et la garde étaient ainsi répartis : (...) les divisions Berthezème et Habert un peu en arrière, entre Montrouge et Vaugirard; les divisions Vichery et Pécheux à Vaugirard; la division Hulot entre Vaugirard et la Seine ; les cuirassiers de Kellermann et de Milhand dans la plaine de Grenelle (...) Bignon et Bondy arrivèrent dans la plaine de Montrouge vers six heures du matin. A la droite la canonnade et la mousqueterie étaient très vives. La division Vichery, soutenue maintenant par la division Hulot, se ruait pour la troisième fois à l'assaut du village et du parc d'Issy, où les Prussiens tenaient intrépidement. Davout était à cheval, la lorgnette à la main, un peu en arrière de la ligne de bataille (...) Il aurait voulu avoir la main forcée. Le prince d'Eckmühl (...) éperonna son cheval et s'éloigna au galop dans la direction de Vaugirard en passant devant le front de bataille. Il revint une heure après et dit aux commissaires qu'il avait envoyé en parlementaire le général Revest, chef d'état major de Vandamme. (...) Vers huit heures l'ennemi replia à hauteur d'Issy les troupes qu'il avait avancées au sud-ouest de Vaugirard. »[5]

« troisième corps d'armée, lieutenant général Vandamme, quartier général au petit Montrouge (...) quatrième corps d'armée, lieutenant général Vichery sous les ordres de Vandamme, quartier général à Vaugirard. (...) Vandamme, qui commandait en chef sur la rive gauche (...) Dans la matinée du 3 juillet, il y eut un nouvel engagement. On n'avait pas encore la réponse de Blücher et de Wellington. Vandamme, qui avait sa gauche à Gentilly, son centre à Montrouge, sa droite repliée derrière Vaugirard, attaqua, vers trois heures du matin, Issy (...) »[6]

Ordre de bataille : Le Vengeur

« Mais voici l’année fatale, 3 juillet 1815 …(…) La commission du gouvernement installée aux Tuileries décide d’envoyer au général prussien qui commande les premières lignes une demande d’armistice à l’effet de traiter la capitulation. Deux plénipotentiaires sont désignés, Bignon, ministre intérimaire des Affaires étrangères, Bondy, chef de l’état-major de Davout. (…) un dernier combat d’une violence inouïe se déroule à Issy. Bignon et Bondy arrivent dans la plaine de Montrouge d’où le maréchal Davout suit les phases de la bataille. Quelques minutes après, le général Revest est envoyé en parlementaire. Reçu par le général Zieten, à Issy, il revient avec un officier prussien porteur d’une lettre pour Davout. (…) En attendant la réponse de Blücher, Bignon et Bondy causent sur le terrain avec Davout et ses officiers d’état-major. »[7].

  • Jules Vassias, Historique du 69e régiment d'infanterie (1672-1912), Chapelot, (lire en ligne)
  • Guillaume Eugène Van Remoortere, Histoire de la campagne de 1815 dans les Pays-Bas, (lire en ligne)
  1. Charras 1863, p. 490
  2. Quinet 1862
  3. Van Remoortere 1979, p. 301
  4. Vassias 1913, p. 212
  5. Henry Houssaye, « La capitulation de Paris en 1815 », Le mois littéraire et pittoresque, no 73,‎ , p. 17 (lire en ligne)
  6. Nettement 1863, p. 51
  7. J.J. Chaplin, « Armistices d'autrefois », Journal des mutilés et combattants,‎ , p. 5 (lire en ligne)