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Les peintures murales de la dernière période dans l'église de la citadelle de Faras et à Abd el Kadir sont des caricatures de ce qui existait auparavant.

En 1235, le patriarche d'Alexandrie refus d'envoyer des évêques et des prêtres en Nubie[1].

Au XIVe siècle, le château a totalement supplanté l'église dans l'architecture[1].

Au XIIIe siècle des dissensions se manifestent parmi les dirigeant de Makurie, des musulmans réclament le trône par droit de succession[1].

La tribu des Beni Kanz, amalgame de Beja, d'arabes et de Nubiens, belliqueux exerçaient un contrôle du sud de l'Egypte et au nord de la Makurie dans le district d'Assouan[2].

Les Nubiens étaient tentés de composer avec les Beni Kanz pour se protéger des Mamelouks mais également pour élaborer des jeux d'allaince au sein de la famille régnante. Des alliances matrimonailes étaient ainsi scéllées entre la famille régante et la famille du Kanz ed Dwala, le chef héréditaire des Beni Kanz. Peu à peu le pouvoir régnant passe aux mains des Beni Kanz, ils obtinrent ainsi un droit héréditaire sur le trône.[2].

Le premier étage du Throne Hall est transformé en mosquée en 1317[2].

En 1250, les mameloukes prennent le pouvoir en Egypte. Pensant pouvoir profiter de ce changement de pouvoir le roi de Makurie DaviD attaque le port d'Aidhab sur la Mer rouge en 1275. Ce port était à l'époque contrôlé par les Egyptiens. d'Aydhab il part attaquer Assouan. Ces raids provoquèrent la colère de Baybars qui envahit la Makurie et attaque Dongola. Il y rétablit Le roi Shékanda qui avait destitué par David. La Makurie dut payer un lourd tribut et perdit une partie de ses provinces. Dix ans plus tard, durant le règne du roi Shemamoun, Dongola est de nouveau attaquée, le Baqt est renégocié et doit être payé annuellement[3].


Mines d'or de l'Oued Allaqi, importance d'Aydhab : ruée vers l'or du Xe siècle au XIVe siècle (histoire d'Aydhab à revoir)

Religion : Le roi avait le droit de célebrer la liturgie à condition qu'il n'ait pas versé de sang humain[4].

Monastères isolés à Qasr el-Wizz, el-Ghazali et el-Ugal[4]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) William Y. Adams, Actes du colloque nubiologique international au Musée National de Varsovie, Varsovie, Musée National de Varsovie, , 217 p. (lire en ligne), « The twilight of nubian christianity », p. 11-17
  • (en) C.F. Beckingham et G.W.B. Huntingford, The Prester John of the Indies, vol. I & II, Cambridge, The Hakluyt Society at the University Press, (réimpr. 2010), 640 p. (ISBN 9781409424925)
  • (en) Daniel Gazda, « Mameluke invasions on Nubia in the 13th century », African report, H. Paner and S. Jakobielski , Gdansk Archeological Museum, vol. 3,‎ (ISSN 1731-6146)
  • Claude Rilly et al., Histoire et civilisations du Soudan, Collège de France, , 976 p. (ISBN 978-2-918157-30-4, lire en ligne), p. 395-396
  • (en) Wlodzimierz Godlewski, « Archaeological and architectural evidence of social change in 13th–17th century Dongola », Polish Archaeology in the Mediterranean, no 27(1),‎ , p. 617-643 (DOI 10.5604/01.3001.0013.2445)
  • (en) Derek A. Welsby, Acta Nubica, Proceedings of the X International Conference of Nubian Studies, Rome, I. Caneva and A. Roccati, Libreria dello Stato, , 497 p. (ISBN 88-240-1314-7, lire en ligne), « Settlement in Nubia in the Medieval Period »
  1. a b et c Adams 1975, p. 12.
  2. a b et c Adams 1975, p. 13.
  3. Rilly 2019, p. 419.
  4. a et b Welsby 2006, p. 11.