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Utilisateur:Charitybernhard/poubelle

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Titre du lien[modifier | modifier le code]

* La Chambre de commerce de Québec considére que «Québec sera bientôt hors d'ondes».
   * Bernard Dagenais, professeur en communication à l'Université Laval déplore pour sa part que «la pensée éditoriale des médias de Québec est maintenant montréalaise».
   * Florian Sauvageau, professeur en communication à l'Université Laval accuse «les médias locaux d'être des succursales auxquelles on ne laisse que la gestion courante».

   * Diminution des heures d'antennes locales, absence de bulletins télévisés en fin de soirée ou les fins de semaine

principale griefs(des animateurs de radio en autre et des journalistes qui ont peur de perdre leur emploi 

   * montréalisation des productions artistiques ou prédominances des thématiques urbaines à la tv
   * le fou de cacouna dit

http://scfp.qc.ca/modules/communiques/communique.php?id=468&langue=fr http://www.alternatives.ca/article2924.html http://fr.wiktionary.org/wiki/montr%C3%A9alisation http://en.wikipedia.org/wiki/Convergence_%28telecommunications%29

Démographie[modifier | modifier le code]

Population de la région métropolitaine[modifier | modifier le code]

population/année Montreal Québec pourcentage
1931 1 023 000 131 000 12,8
1941 1 150 000 151 000 13,1
1951 1 539 000 289 000 18,8
1961 2 216 000 379 000 17,1
1971 2 743 000 481 000 17,5
1981 2 828 000 576 000 17,5
1991 3 127 000 646 000 20,7
2001 3 451 027 683 000 19,8
2006 3 635 571 720 000 19,8

[1]

Rivalité institutionnel[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Rivalités de la LNH.

Politique[modifier | modifier le code]

Culturel[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

D'après une étude d'Influence Communication, les médias de Québec alimentent davantage la rivalité Québec-Montréal.

Article détaillé : Montréalisation des médias.

[2]

Différence Québec-Montréal[modifier | modifier le code]

Montréal vu de Québec[modifier | modifier le code]

  • «Ville sale et mal gérée»
  • «Médias édulcorés, nombrilistes et débranchés de leur clientèle»
  • «Élite politique centrée sur elle-même»
  • «Élite intellectuelle et médiatique du Plateau-Mont-Royal fermée d'esprit»

Québec vu de Montréal[modifier | modifier le code]

  • «Pour les gens de Québec, tout ce qui sort de Montréal est suspect»
  • «Québec est comme un état dans un état.
  • Un marché très fermé»
  • «La radio de Québec est «trash»»
  • «Les gens de Québec ont un complexe d'infériorité»
  • «Les gens de Québec supportent mal la critique»[3]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Canada: 20 Top Census Metropolitan Areas: Population from 1931
  2. ↑ (fr)Caroline Touzin, «Montréal-Québec: quand on se compare, on se désole», La Presse, 15 octobre 2007
  3. ↑ (fr)«Montréal contre Québec», La Presse, 15 octobre 2007

Liens externes[modifier | modifier le code]

La Montréalisation des médias ou tout simplement Montréalisation est une expression péjorative employée par les journalistes de Québec et les régionalistes. Ceux-ci se plaisent à utilser cette expression qui porte à confusion car, elle permet de faire un amalgame entre une lutte syndicale et la traditionnelle rivalité Québec-Montréal. Les principaux acteurs sont Quebecor media, Cogeco, Gesca, Corus, Société Radio-Canada, RNC Media et Astral.

Concentration horizontale[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Concentration des médias.
  • Disparition des salles de nouvelles dans les radios.[1]
  • Instauration du même modèle de gestion dans tous les groupes de médias

Montréalisation de l'information[modifier | modifier le code]

D'après André Arthur, l'arrivée de TQS en 1986 a chamboulé le marché publicitaire radiophonique et a ainsi accéléré la concentration des médias de proximité.[2]

Description[modifier | modifier le code]

  • Déménagement de la production de télé vers la métropole.[3]
  • Les campagnards doivent endurer plus de bulletin de circulation.
  • Recherche d'un bouc émissaire en l'occurrence la clique du plateau.

Montréalisation des productions artistiques[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ (fr) «Non à la « montréalisation » des ondes , SCFP, 25 aout 2004
  2. ↑ 8 Juillet 2008, Le journal du midi 98,5fm
  3. ↑ (fr) «On achève bien les journaux, alternatives.ca, Jean-Simon GAGNÉ ,28 juin 2007

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

B'nai Brith au Québec[modifier | modifier le code]

B'nai Brith Canada has 4,000 full dues paying members.

Jewish sympathizers of Quebec sovereigntism such as David Levine (PQ candidate in 1979 and 2003), Salomon Cohen (PQ candidate in 1994), Victor Teboul (in charge of communications for Cohen in 1994), Paul Unterberg (PQ candidate in 1970), Henry Milner (member of the national executive of the PQ in the 1980s) and Armand Elbaz (PQ candidate in 1996). http://www.vigile.net/spip.php?page=archives&u=http://archives.vigile.net/ds-societe/juifs-qc.html

EXEMPLES D’INCIDENTS http://www.bnaibrith.ca/auditFrench2006-B.html#s24 Montréal, QC – Un groupe d’hommes parlant arabe se sert de pierres et de briques pour tenter de s’introduire de force dans un restaurant cacher par la fenêtre. Ils lancent ensuite un pétard allumé à l’intérieur du restaurant.Montréal, QC – Une vingtaine d’adolescents parlant arabe bousculent deux femmes, les traitent de « dirty Jews » (sales Juives) et agressent leurs compagnons à l’extérieur d’un restaurant.Montréal QC – Une synagogue est vandalisée à trois reprises.Des graffitis de swastikas et du symbole SS sont tracés sur le mur d’une synagogueCinq adolescents lancent des pierres à un homme manifestement juif et crient « go back to your country » (retourne dans ton pays) et « Allahu akbar » (Dieu est le plus grand).Deux hommes parlant arabe lancent des pierres à une femme manifestement Juive orthodoxe assise dans sa voiture avec sa fillette, un bébé.Un adolescent manifestement Juif à bord d’un autobus se fait lancer des arachides par trois adolescents. Quand ces derniers descendent de l’autobus, ils crient « Jew, Jew, dirty Jew » (Juif, Juif, sale Juif).Une famille juive découvre un porc décapité flottant dans sa piscine, dans sa cour arrière.Lors d’un grand rassemblement politique anti-Israël, où un soutien au groupe terroriste Hezbollah est ouvertement exprimé, un spectateur juif est agressé physiquement et un tallit (châle de prière juif) est publiquement profané.B’nai Brith Canada reçoit un message disant : « The Jews are murderers just as bad as Hitler. We should have exterminated them when we had the chance ». (Les Juifs sont des meurtriers au même titre que Hitler. Nous aurions dû les exterminer quand nous en avions la chance.)Montréal, QC – Des délégués assistant à la convention pour la course au leadership du Parti Libéral sont incités à ne pas voter pour Bob Rae parce que son épouse est juive.

Suite et fin de l'histoire, à ne pas dérouler si vous souhaitez voir le film

Dadier prend donc sa défense. Ce qui lui vaut d'être molesté quelques jours plus tard par ses élèves dans la rue. Dadier ne cède pas pour autant et continue ce qui semble pour lui être une mission. Il refuse de porter plainte contre ses agresseurs. Il va connaître de nombreuses autres mésaventures : des lettres anonymes destinées à sa femme lui disant que son mari la trompe, un élève qui l'accuse à tort d'être raciste et le dénonçant au principal, un collègue collectionneur de disques de jazz qui voit ses élèves casser tout ses disques...

Dadier est préposé à la préparation du spectacle de Noel de l'école : il surprend Miller (Sydney Poitier) qui fait une surprise à Dadier en répétant un gospel pour le spectacle de Noel. Un jour Dadier finit par passer un dessin animé à ses élèves et les invite à discuter dessus en cours. C'est alors qu'il arrive à attirer leur attention et les "apprivoiser" (« Le film les fait sortir de leur coquille » dit-il). Grâce à Dadier, le climat s'améliore dans l'école et les plus récalcitrants des professeurs commencent à devenir plus optimistes. Cependant il reste encore deux élèves indisciplinés dans la classe, qui finissent par tenter de poignarder Dadier. Mais tous les autres élèves l'aident à se défendre et à l'emmener chez le proviseur.
 





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