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Jean Pollet
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Naissance
Décès
Nationalité
Française
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Autres activités
Maître
Mouvement

Jean Pollet, né à Lyon, en 1795 et mort en 1839, est un architecte français du 19ème siècle. C'est le fils d'un commerçant et autodidacte qui parcouru la France, étudiant l’architecture gothique à une époque où celle-ci est plutôt méprisée. Il fut l’élève de Cochet à l’école des Beaux-Arts de Lyon en 1818 et 1819. Puis il fut architecte de l'Hospice de la Charité de Lyon de 1826 à 1830.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et débuts[modifier | modifier le code]

L’architecte Jean Pollet reçoit une formation assez incomplète sous la direction de Cochet à l’école communale de dessin où il remporte notamment le premier prix. Peu après, il voyage à paris et dans plusieurs départements pour étudier l’architecture religieuse. Ses restaurations à Lyon lui valent de nombreuses critiques et Joseph Bard, qui le connaissait bien, impute son incompétence et les faiblesses de son art à son éducation artistique. Jeune architecte, Pollet conduit notamment la restauration de Saint-Nizier entre 1825 et 1829. En 1828, il procéda, en tant qu’adjoint de Chenavard à la reconstruction du Grand Théâtre. A l’image de ses contemporains, Pollet est partagé entre le goût classique qu’il illustre à l’église Sainte-Madeleine de Tarare (Rhône) ou au portail de l’église Saint Georges (Lyon) et la conception d’édifices inspirés de l’architecture médiévale. Il voyage également en Italie et en Sicile à son retour en 1829, la ville de Lyon lui confie la restauration de l’église d’Ainay. En 1838, lors d’une communication au Congrès scientifique de France, Pollet se prononce en faveur de l’adoption du style roman dans les constructions contemporaines, dans une réponse équivoque, dissimulant à peine la perplexité du maître d’œuvre face à la construction gothique. Il fit partie du groupe d’architectes de Lyon qui formèrent en 1829 la Société d’Architecture. A sa mort, Pollet légua à la ville une collection d’objets et de tableaux. [source] : Le mythe de la primatie des Gaules : Pierre Bossan (je sais pas comment on met la source).

En 1826, Jean Pollet, considéré comme le meilleur architecte de la ville, est choisi pour les travaux de l’église Saint-Martin d’Ainay.

[i]Pollet vient de faire la preuve de sa compétence dans la restauration intérieure de l’église Saint-Nizier et s’est cultivé en faisant provision de modèles au cours d’un voyage en Italie et en Sicile. Ainay, qui est l’édifice le mieux conservé à Lyon de l’architecture du XIIe siècle, est alors considérée comme la reine byzantine des églises de Lyon…

Le projet de 1828 comprend le remplacement des deux annexes encadrant le clocher par des porches et l’établissement de deux chapelles : l’une dédiée à saint Joseph au nord terminée par un baptistère, l’autre à la Vierge au sud…. Dans la chapelle et le baptistère au n ord, Pollet intègre très judicieusement quantité de fragments de sculptures récupérées sur des monuments en cours de démantèlement telles l’abbaye de l’Ile-Barbe et l’église Saint-Pierre le Vieux, tout en « réveillant » le goût pour la peinture murale en faisant intervenir Pétrus Pollet.

Pour ses deux nouveaux porches, Pollet reste très soucieux de s’inspirer de l’existant. Il déplace de quelques mètres l’ancienne porte du cloître pour servir de portail nord, et en fait réaliser une copie au sud, tandis qu’au-dessus, il reproduit les baies cintrées à archivoltes développées du cocher. Il hésite, quant à l’achèvement des angles de ces deux parties, entre des pyramidions, des statues sur des piédestaux et des créneaux ornés de croix qui sont au final préférés et que critique Prosper Mérimée… Les travauxsont achevés en juillet 1830.

Jean Pollet prétexte un état de détérioration « menaçant » pour corriger les parties gothiques ou postérieures et renforcer le caractère roman. En 1834, les voûtes lambrissées en carène de navire des nefs sont remplacées par des voûtes de briques en berceau soutenues par de minces doubleaux qui lui semblent plus en accord avec l’importance et la dignité du monument…[/i]

La réfection se poursuit : les baies ogivales de la nef sont remplacées en 1836 par des baies en plein cintre, de petites pilastres, une corniche et des statues sont ajoutés aux murs latéraux et la voûte est décorée par le peintre Déo de caissons de couleurs vives, inspirés des basiliques byzantines de Palerme et Montréale…

Le Conseil des bâtiments civils, en 1841, juge très sévèrement ces interventions et fait succéder à Pollet, qui est décédé, l’architecte Charles Questel avec mission de corriger les apports de Pollet…

Nous vous proposons, pour connaître la suite des travaux à l'église d'Ainay, de vous référer au catalogue de l’exposition présentée par les Archives départementales du Rhône du 20 septembre au 20 décembre 2003, p. 52 et suivantes, d’où proviennent ces extraits. Le catalogue est intitulé [i]Sur les traces de Mérimée : naissance d’un sentiment patrimonial[/i].

Concernant les maisons rue de l’Abbaye d’Ainay, qui sont bien postérieures à la construction de l’Eglise Saint-Martin (XIe et XIIe siècle) nous vous conseillons de vous adresser à la Direction Régionale des Affaires Culturelles, services du patrimoine, dont voici les contacts copiés-collés de leur site web. Nous ne sommes pas arrivés à les joindre pour vous ce jour.

http://www.guichet-du-savoir.org/viewtopic.php?f=2&t=15108&p=27364&hilit=travaux&sid=17a9142e0691d090b6a5e2d6c6813e6c Eglise st georges : http://fr.geneawiki.com/index.php/69123_-_%C3%89glise_Saint-Georges


Travail à Lyon[modifier | modifier le code]

Eglise de Ferney, consacrée le 8 novembre 1826. Dessine le maître d’hotel de Brou, exécuté en 1826. L’architecte Jean Pollet pourrait n’être qu’un bon exemple parmi ces lyonnais qui collectionnèrent en pionnier l’art du moyen Age et qui ont noms Revoil, Chalandon, Carrand, etc. toutefois, le restaurateur controversé des Eglises d’Ainay et de St Nizier se distinguent de ses compatriotes par la générosité qu’il lui a fait léguer ses collections au musée en 1839 et, du même coup, créer la salle des primitifs allemands.

A ses tableaux, Pollet avait joint meubles et objets d’art du moyen-âge et de la Renaissance. Cet ensemble, qui devait rappeler le pittoresque logis de Du Sommerard à l’hôtel de Cluny, Pollet avait exigé que le musée en maintint l’unité et la présentation, et il défendit ses vues avec la même liberté de ton qui amena la justice à interdire la publication de son testament : « j’ai toujours eu une aversion complète pour les arts en magasin. Les traiter ainsi, c’est le profaner, en faire des charniers. Les arts sont faits pour la décoration. Ma collection n’est à la lettre que la chambre d’un gentillâtre de gout. » Le légataire ne fut pas entendu et il fallut attendre le siècle suivant pour voir le musée adopter, encore que de façon exceptionnelle, le modèle du musée d’atmosphère ou d’ambiance qui, aujourd’hui, inspire la présentation de la chambre de Mme GUIMARD. L’architecte Jean Pollet, fils de commerçant et autodidacte, il ne cessa, sa vie durant, de parcourir la France, étudiant l’architecture gothique à une époque où ses confrères s’honoraient plutôt de la mépriser. Il restaura les Eglise Lyonnaises d’Ainay de St Nizier, ainsi que plusieurs châteaux du Moyen-Age. Son enthousiasme pour cet art était démesuré : il proposa un jour un prix de 10 000 Francs à celui qui lui ferait connaitre le nom de l’architecte de st nizier, afin de lui élever un mausolée. Il léga à la ville sa collection d’objets d’art, de sculptures et surtout de peintures qui comprenaient 10 panneaux attribués au « maître de l’annonciation de Werdenberg », une « trinité » du « maître de la passion de st pierre le vieux » et un triptyque allemand du XVIème siècle. Il faut noter, au passage, que Pollet est le seul lyonnais à avoir possédé des primitifs allemands.  Jean François GARMIER « Le goût du Moyen âge chez les collectionneurs du 18ème siècle », revue de l’art n°47, 1981

Entre paléochrétien, roman et byzantin, la confusion était d’ailleurs si grande qu’elle devenait propice à l’amalgame. Aussi, le roman lyonnais ne tardera-t-il pas à se parer du prestige de l’orient. Chargé en 1828 de la restauration de st martin d’Ainay, Jean Pollet y voyait la « reine byzantine » des Eglises de Lyon. Après lui, Pierre BOSSAN (1814-1888) devait bientôt abandonner le néogothique de ses premières réalisations (église de la demi-lune, 1842, et de st Georges, 1844).

Cette austérité avait d’ailleurs incité en 1834 son propriétaire, M. de Fortis, à demander à l’architecte Pollet (1795-1839) de lui présenter un projet de restauration. Ce projet, dans le style troubadour de l’époque, nous est connu par une lithographie, mais n’a pas été réalisé.  Chaponost, p33 « les maisons des champs », Préinventaire des monuments et richesses artistiques, 1999. […] L’aménagement du quartier au sud de Bellecour ou bien rebâtir des édifices indispensables à une ville comme le grand théatre (chenavard et pollet).  Les grandes étapes de l’urbanisme à Lyon au 19ème siecle. Il a été ensuite donné connaissance au comité de l’artiste du testament de Mr Pollet ainsi conçu : « Je lègue au musée de Lyon tous les tableaux, objets d’arts qui seront jugés dignes d’y figurer par les personnes qui seront nommées par l’académie pour en faire le choix dans mon cabinet. Je désire que mon nom soit écrit au bas de chaque don, non pour satisfaire mes sentiments d’amour-propre, mais dans l’espoir et le désir d’avoir des imitateurs. »  Testament de jean Pollet  Où sont ses œuvres ? http://www.guichetdusavoir.org/viewtopic.php?f=2&t=25283&sid=d8c40c753aa8f068236b736e87c2c1b4&view=print

Son oeuvre[modifier | modifier le code]

Influence[modifier | modifier le code]

« Je me suis aperçue que toutes vos peintures médiévales allemandes venaient de la collection Jean Pollet (1795-1839), architecte à Lyon qui les à léguées au musée en 1839.  Lettre de conservateurs de musée (paris-lyon-tg)

Techniques[modifier | modifier le code]

« L’architecte Jean Pollet fait partie d’un groupe d’érudits lyonnais qui a manifesté un goût marqué pour le moyen-âge comme vous pourrez le lire dans l’article de Jean François GARMIER ».  Lettre de valérie DUREY (chargée de la documentation) à Isabelle DUBOIS. Lyon, le 13 janvier 1995.

Restaurations[modifier | modifier le code]

Opéra de Lyon[modifier | modifier le code]

Le bâtiment originel, oeuvre de Chenavard et Pollet, est inauguré en 1831. Il sera entièrement remodelé par Nouvel pour renaître sous sa forme actuelle en 1993. De l’ancien édifice du 19è siècle sont préservés les quatre murs de façades et le foyer du public. A l’intérieur de cette enveloppe originelle évidée, un nouveau bâtiment de dix-huit niveaux est érigé, offrant un volume trois fois plus important qu’auparavant. Compte-tenu des contraintes urbaines du site, cinq niveaux sont construits en sous-sol, les six derniers s’inscrivent dans une verrière demi-cylindrique posée sur les façades du théâtre pré-existant. (source : www.opera-lyon.com) THÉÂTRE CHENAVARD ET POLLET

En 1827, le roi Charles X octroya l'autorisation de construire un nouvel édifice dont les travaux furent confiés aux architectes  Antoine-Marie Chenavard et  Jean Pollet, tandis que la construction d'une salle provisoire était  assurée par Farge et Falconnet. 

Le bâtiment provisoire fut édifié place des Terreaux. Il ne fallut que trois mois pour le construire. Fait de briques et de bois, il comprenait un parterre, un parquet, trois étages de galeries en retrait et deux rangs de loges. Côté Saône, le bâtiment se terminait par une rotonde aménagée comportant des boutiques, dont un café et une librairie. Dirigé par Alexis Singier, le théâtre présentait de nouveaux opéras qui rencontrèrent un grand succès tels le Barbier de Séville de Rossini ou la Dame Blanche de Boieldieu. Ce théâtre provisoire fonctionna de 1827 à 1831. Pendant ce temps le nouveau théâtre se construit malgré nombre d’avatars, de retards et de mésentente entre Chenavard et Pollet, ce dernier quittant finalement le chantier. Ce nouveau Grand Théâtre fut inauguré le 1er juillet 1831. A cette date, les travaux ne sont pas encore achevés et le budget est déjà dépassé. La façade est néo-classique alors que la salle est décorée à l’antique. Le parterre comporte des sièges contrairement à l’ancien théâtre où les spectateurs étaient debout. Sa capacité d’accueil est de mille huit cents places, ce qui est loin d’être ce qui avait été initialement prévu, soit plus de deux mille quatre cents places.


- Volume global : 77 100 m3 - Hauteur totale : 62 m (dont 20 m en sous-sol) soit 18 niveaux (dont 5 en sous-sol)  http://www.pss-archi.eu/immeubles/FR-69123-569.html

Eglise de Ferney-Voltaire[modifier | modifier le code]

L'Eglise de Ferney-Voltaire située dans l'Ain est construite par Jean Marie Pollet en 1826.

Eglise d'Ainay[modifier | modifier le code]

Jean Pollet a réalisé en 1823 les travaux de la petite porte de l’église d’Ainay et en 1830 la restauration de la façade. L’église d’Ainay, Athanacum, qui appartenait autrefois à l’abbaye de ce nom, a été réparée par Pollet. L’architecte, dans sa restauration, a copié assez exactement ce qui restait de l’édifice ancien. Cependant les créneaux qui surmontent sa façade paraissent de sa part une invention assez malheureuse. Il a toutefois sut conserver tous les anciens fragments de l’abbaye qu’il a pu réunir. Ils ont été soigneusement encastrés dans la façade.

Liste de ses œuvres=[modifier | modifier le code]

Travaux d’architecture[modifier | modifier le code]

-1818, école des Beaux-Arts de Lyon : projet d’arc de triomphe

-1819, idem : projet de Collège, prix de l’école

-1823 : petite porte de l’église de Brou

-1824 : Hospice de la Providence à Tarare

-1824 : église de Fontaines-Saint-Martin (Rhône)

-1825-1839 : restauration intérieure de l’église Saint-Nizier ; projet de restauration de la façade

-1825 : église de Ferney

-1826 : église de la Magdeleine (Tarare)

-1826 : entrée de la chapelle du cimetière de la Magdeleine à la Guillotière

-1826 : chapelle de Champvert

-1826 : maître-autel de l’église de Brou

-1826 : façade latérale et portail de l’église de la Charité

-1828-1830 : participe à la reconstruction du Grand Théâtre

-1829 : restauration de la façade de l’ancienne église Saint-Georges

-1830 : restauration de la façade de l’église d’Ainay + chapelle Saint-Martin

-1830 : autel de l’église de Villefranche

-1830 : décoration de la chapelle de la vierge à la cathédrale de Lyon

-1831 : tour-observatoire de Fourvière

-1833 : projet d’église aux Brotteaux, projet pour la cathédrale de Belley

-1833 : restauration du château de Pravieux ; chaire de l’église Saint-Maurice à Vienne -1834 : Château de Saint-Julien près Crémieu (Isère) ; chaire de l’église de Brou

-1834 : décoration de la chapelle du Sacré-Cœur, cathédrale de Lyon

-1834 : restauration de l’ancienne église d’Oullins : orangerie à Collonges ; restauration d’un château à Chaponost

-1834 : croix du Monthelier (Vaucluse)

-1835 : baptistère de l’église d’Oullins

-1835 : projets de restauration de l’église Saint-Bonaventure, de fontaine en l’honneur du major Martin

-1835 : baptistère dans l’église du Grand-Lemps (Isère) ; projet de colombier pour le château de Loyes ; projet de fontaine pour la place Saint-Jean : projet de fontaine pour la place de l’homme de la Roche [source:] http://www.guichetdusavoir.fr/viewtopic.php?f=2&t=25283&p=46891&hilit=travaux&sid=73abec0fca3af3decdb7870715648de7

I. BIOGRAPHIE https://books.google.fr/books?id=aEpNh3XT-tMC&pg=PA70&lpg=PA70&dq=jean+pollet+architecte+lyon&source=bl&ots=vX-klXHITM&sig=Bdz_v_DK-AUNFL8zR7BPuppHzYI&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjWuqG1_tvKAhWBKQ8KHclCCQwQ6AEIKjAC#v=onepage&q=jean%20pollet%20architecte%20lyon&f=falsehttp://www.persee.fr/doc/lha_1627-4970_2002_num_3_1_898

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

http://www.patrimoine-lyon.org/index.php?lyon=l-opera


http://images.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fwww.patrimoine-lyon.org%2Fuploads%2Fimages%2FGallery%2FPresquile%2FDocu_anciens%2FAC069123_4FI11971.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fwww.patrimoine-lyon.org%2Findex.php%3Flyon%3Dl-opera&h=548&w=800&tbnid=Jukza5oTz4tBGM%3A&docid=cSbAbTZZftT4xM&ei=xS-yVrCuJMSrPsjMv8gD&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=1824&page=1&start=0&ndsp=20&ved=0ahUKEwjwpMPLhtzKAhXElQ8KHUjmDzkQrQMIITAA

L'état actuel de la façade de la basilique d'Ainay résulte de travaux du XIXe siècle. D'après "la Basilique Saint Martin d'ainay" rédigée par André Chagny, Mérimée n'aurait pu que constater les travaux de réfection dénaturant la façade d'origine. Face à la basilique, une "maison du chanoine" (je ne suis pas sûr de la dénomination) a été construite dans un style néo-roman. Elle date probablement du XIXe siècle. Je cherche donc des sources sur cette opération de réféction de la façade de la basilique d'Ainay, et, surtout, de la construction du bâtiment qui lui fait face (son iconographie m'intéresse). Comment connaître la date de sa construction? Son architecte? Si vous ne parvenez pas à répondre à ma question, pouvez vous au moins me donner quelques conseils de méthode de recherche?


Il effectua de nombreuses restaurations d’églises : -1824, restauration de l’église de Saint-Nizier, restauration de l’église de Ferney -1826 : église Sainte Magdeleine à Tarare, chapelle de Champvert -1829 : restauration de la façade de l’ancienne église de Saint-George, à Lyon (démolie en 1869) -1831 : tour observatoire de Fourvière -1834 : restauration de l’ancienne église d’Oullins (source : ouvrage de Léon Charvet sur les architectes lyonnais).