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Utilisateur:Auguste1011/Brouillon

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Se déplacer dans un monde durable est l'une des plus grandes problématiques actuelle. Il s’agit de préserver le monde dans lequel nous vivons afin de ne pas le détruire pour les générations futures. Nous nous intéresserons particulièrement au domaine de la construction durable[1]. Cela consiste à limiter l’impact de nos constructions sur l’environnement, tout en leur garantissant une qualité supérieure en domaine d’esthétique, de durabilité et de résistance. Elle prend en compte tout le cycle de vie des ouvrages, du choix des produits initiaux jusqu'à leur démolition et leur recyclage.

Construire durable signifie notamment : Utiliser des matériaux recyclables pour préserver les ressources naturelles, optimiser l’inertie thermique des bâtiments, intégrer des sources d’énergie renouvelable dans la conception du bâtiment. On peut observer cinq grands domaines d’intervention : Structures, géotechnique, transports, hydraulique et environnement.

Ces types de projets s’accompagnent de nombreuses difficultés que voici : Tout d’abord il faut trouver des entreprises et des bureaux d’études capables de réaliser des projets "verts"[2] car cela entraîne des coûts de construction plus importante et un savoir-faire différent mais aussi plus de temps. De plus toutes les difficultés rencontrés lors des projets « normaux » se retrouvent évidement sur ce types de chantiers. Enfin au niveau administratif de nombreuses démarches sont exigées.

Il existe donc des éco-quartier[3], où de nombreux moyens de transports écologiques existent.

Définition[modifier | modifier le code]

Le thème de se déplacer dans un monde durable consiste à innover en permanence afin de créer des véhicules toujours plus performants d’un point de vue technologique mais surtout au niveau environnemental. Les projets se voulant de plus en plus innovants dans le but de vouloir faciliter le déplacement[4] des Hommes.

De plus le thème se déplacer dans un monde durable doit bien entendu respecter les trois axes majeurs du développement durable à savoir :

  • L’axe environnemental qui regroupe le fait de préserver les ressources existantes et de les gérer le mieux possible sur le long terme mais également d’étudier tous les impacts que peux engendrer un quelconque projet sur l’environnement.
  • L’axe économique qui permet d’étudier comment le projet va impacter les populations vivant au abord du projet
  • L’axe social cette aspect de l’étude du projet permet de définir tous les besoins nécessaires du quartier comme des écoles, des espaces verts ou encore des complexes sportifs mais également des médecins à proximité afin d’éviter tout déplacement en véhicule personnel.

Contexte[modifier | modifier le code]

Ces nombreux projets sont très innovateurs et ingénieux mais la plupart sont assez futuriste. Autrement dis peu d'entre eux sont réellement disponible. En effet il n'y a que une petite route solaire et un bus aérien qui ont été mis en place. La route dans un éco-quartier d'Allemagne et le bus en En Chine. On ne peut donc pas réellement constater les conséquences de ses installations.

Les différents types de routes[modifier | modifier le code]

introduction[modifier | modifier le code]

  • Les routes ont de tout temps constitué un facteur de développement des sociétés et des individus. Elles sont à la fois le support des échanges économiques et une réponse au besoin de mobilité des hommes.

Toutefois, elles sont les premières sources de problématiques environnementales dans le domaine du Génie Civil : détérioration des espaces naturels, consommation de ressources non renouvelables, production de gaz à effet de serre par le transport. La route est donc en première ligne des problématiques liées au développement durable Pour remédier à cette problématique il faut donc pouvoir créer des routes durables afin de garantir une chaussée sure, efficace et respectueuse de l'environnement, répondant aux exigences des usagers actuels sans compromettre celles des générations futures. Les principaux critères d’une chaussée durable sont les suivants : Optimiser l’utilisation des ressources naturelles et réduire la consommation d’énergie Limiter la pollution (air, eau, sol, bruit,)

Certaines entreprises se sont penchées sur la question « comment utiliser la route comme moyen de récupérer de l’énergie »

routes piézoélectrique[modifier | modifier le code]

  • La start-up Innowattech[5] teste actuellement à Haïfa son premier tronçon de route piézoélectrique. Cette solution fonctionne avec des micros cristaux piézo-electriques qui sont capables de récupérer l’énergie du mouvement pour la transformer en électricité. Selon cette société, un tronçon d’un kilomètre de route électrique pourrait ainsi produire jusqu’à 500 kilowattheures, soit l’énergie nécessaire à l’alimentation de 600 à 800 maisons. Avec néanmoins une contrainte de taille : le procédé nécessite un trafic minimum de 600 véhicules par heure. Ce procédé est idéal pour un Eco-quartier car elle offre la possibilité de combiner ces routes aux transports en commun

trottoir à récupération d'énergie[modifier | modifier le code]

  • Entre 2010 et 2011, Laurent Villerouge a conçu un système de dalles sur ressorts[6], équipées de générateurs convertissant l’impact du pas des piétons en courant électrique. Celui-ci est transmis à des batteries qui elles-mêmes alimentent des lampadaires. Cette solution garantit un éclairage gratuit et à portée de main. Une réelle opportunité pour les collectivités locales. D’après Laurent Villerouge, chaque passant peut générer 4 à 6 watts par pas. Ce principe est révolutionnaire et très adapté pour des Eco-quartiers

route solaire[modifier | modifier le code]

  • Depuis cinq ans la société Colas met au point un revêtement routier photovoltaïque[7], capable de produire de l’électricité. Ce procédé est baptisé Wattway. Il s’agit d’un revêtement unique au monde composé de dalles rigides de quelques millimètres d’épaisseur, qui se présentent comme " un mille-feuilles de couches de polymère encapsulant des cellules photovoltaïques ". Ces dalles sont posées et collées directement sur la route, sans nécessiter de travaux de génie civil. Un kilomètre de route pourra éclairer une ville de 5000 habitants.

Les ponts[modifier | modifier le code]

Principe[modifier | modifier le code]

Une autonomie énergétique conséquente[modifier | modifier le code]

Un pont qui tire son énergie du mouvement de la marée. Effectivement ce pont a la capacité de produire sa propre énergie et ainsi être auto suffisant. Le concept est clairement expliqué : Il s'agit d'arêtes supérieurs du pont qui sont truffées de caissons en béton remplis d'air et quand la marée monte, l'eau s'y infiltre et comprime l'air qui actionne à son tour les turbines produisant de l'électricité. De plus on trouve à la base du pont des hélices sous marines fonctionnant à l'aide du courant et reprenant le principe des turbines. En conclusion ce projet fou reliant 2 continents différents (l'Alaska et la Sibérie) est en lien direct avec notre thème. En effet cette oeuvre architecturale relève du génie, puisque mêler les moyens de transports, la construction et l'art architecturale tout en respectant l'environnement n'est pas chose aisée.

Un point de passage[modifier | modifier le code]

Ce pont[8] à la particularité de pouvoir laisser passer les bateaux[9], de ce fait le concept est d'autant plus intéressant car il réunit de nombreux mode de transport. Les voitures pourront circuler sur le pont ainsi que les trains. Bien sur il sera possible de se déplacer à pied dans les différents espaces prévu à cet effet. Les deux architectes français ont voulu ajouté une touche environnemental en pensant à l’écosystème qui avoisiné le pont et ont donc conçu un passage pour les espèces marines.

Quelques chiffres[modifier | modifier le code]

la Longueur totale du pont : 90 km, la Largeur totale du pont : 80 km la Largeur de chaque voie : 15 m, la Profondeur maximale du détroit : 50 m, la Quantité du béton à couler : 90 000 000 m3, le Coût : plusieurs dizaines de milliards d'euros D'après un article de science et vie junior[10]

Conclusion[modifier | modifier le code]

L'avantage de ce type de pont c'est avant tout la création d'équipements majeurs pour connectées les différents systèmes de transport, accélérer les opérations d'aménagement urbain et le développement économique[11]. Très peu d'impact sur la circulation locale, sur les rives. Réduire la gêne au trafic portuaire et à la navigation Protéger la flaune en limitant les dragages, les travaux dans le détroit de Bering

Des transports en commun[modifier | modifier le code]

Le bus aérien[modifier | modifier le code]

projet[modifier | modifier le code]

Le Bus Aérien[12]. est un bon exemple de déplacement écologique et futuriste. Cependant il existe déjà un tel bus en circulation en Chine. En effet initiateurs de ce projets des Chinois ont décidés de mettre en place un tel dispositif afin de diminuer les bouchons du au trafic de voitures qui perturbe aussi les transports en communs

Le fonctionnement[modifier | modifier le code]

  • Le fonctionnement n’est pas très compliqué, effectivement il s’agit seulement d’un bus sur rail, on pourrait le comparer à une évolution du tramway en ville. Ainsi ce bus est en forme de U renversé c’est-à-dire qu’afin de passer au-dessus des autres voitures il est en réalité surélevé. Au moment de s’arrêter à une station il déploie des barrières qui empêchent les autres voitures de passer sous lui pour plus de sécurité. Ensuite un ascenseur fait monter les passagers désireux de quitter le bus, dans la station situé au-dessus de lui. Permettant dans un second temps de faire rentrer ce qu’ils le souhaitent. En cas de danger le bus est équipé de freins de sécurités qui lui permettent un arrêt quasiment instantané. Ensuite les même barrières que pour les arrêtes descendent et les fenêtres bougent pour se transformer en toboggan et laisser les passagers descendre afin de rejoindre une zone de sécurité.
  • Ce type de transport en commun permet une fluidification du trafic. D’autant plus qu’il ne fonctionne qu’à l’électricité ce qui fait de lui un transport très écologique. Le principe est simple, conduire plus de 300 personnes à la fois sur toute une ligne passant au dessus du trafic de la ville. Un projet coûteux mais rentable. De plus de nombreuses sécurités sont mise en place pour garantir le confort des passager.

Métrino le transport en commun[modifier | modifier le code]

Projet[modifier | modifier le code]

Il s’agit ici d’une idée développée en France. Le président de ce projet, Ollie Mikosza résume son concept comme ceci : " C’est comme une voiture sans chauffeur, sauf qu’elle ne se déplace pas sur les réseaux routiers, mais sur un système de rails dédié, sans risques de collision ".futuriste[13]

Le Fonctionnement[modifier | modifier le code]

  • Le Fonctionnement n’est pas réellement complexe à imaginer mais plus difficile dans la réalisation un réseau de rails suspendus à une hauteur de 10 mètres. Ce réseau est constitué de petites cabines pouvant accueillir un particulier ou un groupe faisant le même trajet. Chacune de ces cabines a sa propre destination et s’arrête à la station voulue, sans ralentir les autres. L'idée est de pouvoir transporter 10 fois plus de passagers que dans nos transports en commun actuels. Ce projet n’est pas que futuriste, il est concret, en effet Un premier tronçon de 50 kilomètres a été créé le long des routes afin de relier New Delhi à Manesar comprenant trois arrêts par kilomètre.
  • Ce type de transport en commun permet une fluidification du trafic. D’autant plus qu’il ne fonctionne qu’à l’électricité et sans chauffeur ce qui fait de lui un transport très écologique et économique.

Hyperloop[modifier | modifier le code]

Projet[modifier | modifier le code]

Attendu en 2018, ce moyen de transport ultra-rapide pourrait atteindre les 1 200 km/h et devrait les maintenir durant 70% du trajet[14]. Il sera composé de 40 capsules de 28 places Il devrait être capable de relier Paris et Marseille en 35 minutes...

Le fonctionnement[modifier | modifier le code]

  • Le Fonctionnement est réellement fou, imaginez un train allé à cette vitesse est surréaliste et difficile dans la réalisation. Un réseau de rails suspendus à une hauteur suffisante pour ne rencontrer aucun obstacle. Ce réseau est constitué de 40 petits wagons pouvant accueillir 28 particuliers. L'idée est de pouvoir transporter 680 passagers à une vitesse follement plus rapide que dans nos transports en commun actuels. Ce projet n’est encore que futuriste mais il a toutes les chances de voir prochainement le jour.
  • Ce type de transport en commun permet une fluidification du trafic. D’autant plus qu’il ne fonctionne qu’à l’électricité ce qui fait de lui un transport écologique pas vraiment économique mais qui permet de relier des villes à très grande vitesse.

Les trains volants[modifier | modifier le code]

Le fonctionnement[modifier | modifier le code]

Le Maglev[15] est équipe d’un moteur linéaire synchrone a stator long. Il s’agit d’un moteur sans contact et qui se sert des forces électromagnétiques pour fonctionner. Le train se propulse grâce a des champs magnétiques alternatifs grâce a un courant traversant les puissant électroaimant suite sur le coté des rails. Grace a cette alternance de champs magnétique les bobines supraconductrices[16] polarisées de chacun des wagons est soit attirées soit repoussées ce qui permet un guidage précis du train. Pour pouvoir freiner les trains a sustentation magnétique ont utilisé certaine technologie a l’aviation en effet le train Maglev[17] utilise un aérofrein. Il s’agit de simple morceau de métaux qui en se déployant font augmenter suffisamment la résistance a l’air du train pour le stopper mais il est également possible de réduire simplement la fréquence des champs magnétiques pour atteindre une faible vitesse pour pouvoir recourir aux freins place sur les roues basses vitesse qui se déploient en cas de problème.

Impact environnemental[modifier | modifier le code]

L’impact environnemental des trains[18] est présent lors de la construction des rails mais lors de la durée de vie du train est des rails il y a très peu d’énergie de perdu grâce au rail électrifié lors du passage du train, le reste du temps les rails ne sont pas active ce qui réduit toute nuisance au niveau des ondes tel que la wifi et le téléphone qui sont extrêmement présent dans un éco-quartier. De plus le seul moment où le train peu consommé beaucoup d’énergie c’est lors de son départ de la gare pour pouvoir atteindre sa vitesse de croisière.

Avantages et Inconvénients[modifier | modifier le code]

Les avantage de ces trains à sustentation magnétique[19] réside dans le fait qu’il ne le pollue pas pendant toute leur durée de vie en effet les consommations énergétiques de ces trains sont assez faible à titre de comparaison, le TGV consomme 83 W/personnes/km tandis qu’un trains à sustentation magnétique consomme 47 W/personnes/km. De plus contrairement aux voies des trains actuels seul les voies où se situe le train est électrifié ce qui explique les grandes économies d’énergie réalisé. Malheureusement se projet comporte également des inconvénients comme le fait que mettre à jour tout le réseau ferroviaire d’un pays couterais beaucoup trop cher. De plus une utilisation trop fréquente des trains à sustentation magnétique peut avoir des effets néfastes sur le corps humain en effet les champs magnétiques qui permettent au train d’avancer perturbe les signaux électrique qu’envoie le cerveau au reste du corps.

Conclusion[modifier | modifier le code]

Ainsi toutes ces recherches nous ont permis de mieux cerner notre sujet. Parmi tous les documents que nous avons recherchés nous n’en avons sélectionné que 19 car nous voulions tirer le meilleur de ces articles. Effectivement ce thème était propice aux hors sujet car il est difficile de parler du bâtiment, du transport, de l’écologie et de l’innovation. Cependant le cumul de tous ses documents y compris la vidéo, les extraits de magazines et les articles en Anglais nous permettent de totalement répondre à notre problématique vue dans l’introduction. Aussi, ce projet en groupe nous a permis de nous projeter dans notre vie future lorsque nous serons amenés à travailler en équipe. Enfin ce travail a enrichit nos connaissances dans les nouveautés liées au bâtiment.

Annexes et documents[modifier | modifier le code]

  1. « Eco-construction », sur Wikipédia, (consulté le )
  2. « projets "vert" », sur batiactu.com (consulté le )
  3. le monde, « Au cœur du plus grand écoquartier de France », non periodique,‎ 03/09/2014 à 11h34 (lire en ligne)
  4. Octave Hocher, « Ces moyens de transport qui pourraient révolutionner notre futur », non périodique,‎ 21/11/2014 à 11:16 (lire en ligne)
  5. Batiste Roux, « Une route piézoélectrique pour transformer la circulation en électricité », non periodique,‎ (lire en ligne)
  6. ministere de l’environnement, de l’energie et de la mer, « Wattway : en avant la route solaire ! », non periodique,‎ (lire en ligne)
  7. science et avenir ( Damien Hypolite), « récupérer l'énergie de la marche », non periodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  8. Jeremy garandeau, « Un pont futuriste pour la ville de Chicago », non periodique,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  9. inconnu, « Le pont levant urbain Jaques Chabant D'elmas », non periodique,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  10. Monsieur X, « Un projet futuriste de pont maritime », mensuel,‎ , p. 3
  11. Aurélien jouhanneau, « Les projets les plus fous pour le nouveau pont de Londres », non périodique,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  12. (en) « Inovative bus », sur Youtube, (consulté le )
  13. multiple, « Métrino », non periodique,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  14. auteur inconnu, « HyperLoop », non periodique,‎ (lire en ligne)
  15. multiples, « Maglev le train volant », non periodique,‎ (lire en ligne)
  16. étudiant Augustin, Keny et Constant, « les supraconducteurs », non periodique,‎ , p. 12 (lire en ligne)
  17. Joseph Kazan, Marie-Jeanne Sleiman, Alessio Zogheib et Christopher Massaad, « MAGLEV », non periodique,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  18. multiples, « Train à Lévitation Magnétique », non periodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  19. Baptiste.G et Corentin.B, « Les trains à sustentation magnétique », non periodique,‎ , p. 6 (lire en ligne)