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La congrégation[modifier | modifier le code]

Supérieure générale[modifier | modifier le code]

Grandmaison, page 197

  • 1806-1865 : Mère Barat
  • 1865-1874 : Joséphine Goetz
  • 1874-1894 : Lehon
  • 1984-1895 : de Sartorius
  • 1895-1911 : Mabel Digby
  • 1911-1914 : Stuart
  • 1915 - 19xx : de Loë19xx : de Valon
  • ...
  • 19xx - 1958 : de Lescure
  • 1958 -

Le 18 janvier 1806 (Charmot page 31), Sophie Barat fut nommée supérieure des Dames de l’Instruction Chrétienne, nom qui fut celui de la congrégation jusqu’en 1815, la référence au Sacré Cœur, compris comme un symbole contre-révolutionnaire, étant impossible depuis les guerres de Vendée. L’institut commençant à essaimer, Sophie Barat en fut nommée en 1806 supérieure générale, charge qu’elle devait conserver jusqu’à sa mort. (de Monique Luirard, https://www.yonne.catholique.fr/diocese-de-sens-auxerre/carte-didentite-du-diocese/histoire-du-diocese/personnages-du-dioceses/sainte-madeleine-sophie-barat)

Effectifs[modifier | modifier le code]

3.539 religieuses en 1865 (de Monique Luirard, https://www.yonne.catholique.fr/diocese-de-sens-auxerre/carte-didentite-du-diocese/histoire-du-diocese/personnages-du-dioceses/sainte-madeleine-sophie-barat)

de l'ordre de 4000 le 10.09.2016 (http://home.scarlet.be/madeleinesophie.barat/fr/index.htm)

Religieuses du Sacré-Coeur de Jésus

Création : 1800

Site Web : http://www.rscj.com (Date de consultation du site : 2017-03-22) (Site archivé par la BnF depuis le 01/04/2004) ISNI : ISNI 0000 0001 2302 7300 (Informations sur l'ISNI)

Note : Congrégation enseignante de droit diocésain (1805) puis pontifical (1825) fondée en 1800 par sainte Madeleine Sophie Barat et le père Varin, de la Société des Pères du Sacré-Coeur (1794). La fondation se fit à Paris, mais les premières religieuses commencèrent à enseigner à Amiens en 1801 sous le nom de Dames de l'Instruction Chrétienne. La congrégation prit une grande extention : de 1824 à 1856 elle absorba 9 autres congrégations enseignantes. En 2001, elle compte 3523 religieuses réparties dans 524 maisons, sur les 5 continents

Noms[modifier | modifier le code]

Autres formes du nom :

  • Congrégation des Dames du Sacré-Coeur de Jésus
  • Dames de l'Instruction Chrétienne
  • Dames du Sacré-Coeur
  • Dames du Sacré-Coeur de Jésus
  • RSCJ
  • Societa del Sacro Cuore di Gesu santa Sofia Barat
  • Société des Dames du Sacré-Coeur
  • Société du Sacré-Coeur de Jésus (français)
  • Société du Sacré-Coeur de Jésus Sainte-Sophie Barat
  • Society of the Sacred Heart (anglais)
  • Soeurs de l'Instruction Chrétienne

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Constitutions et Règles de la Société du Sacré-Cœur de Jésus, Lyon, J.-B. Pélagaud et Cie, imprimeurs-libraires du saint-père le pape, 1852, 1 vol.

Sophie Barat[modifier | modifier le code]

transfert du corps[modifier | modifier le code]

Madeleine Sophie Barat meurt à Paris, le . Elle est ensuite enterrée au cimetière de Conflans [1], (commune de Charenton :Monique Luirard https://www.yonne.catholique.fr/diocese-de-sens-auxerre/carte-didentite-du-diocese/histoire-du-diocese/personnages-du-dioceses/sainte-madeleine-sophie-barat).

Le , en présence du cardinal Richard, archevêque de Paris, et de la TRM Lehon, reconnaissance des restes dans le caveau de Conflans. Le cercueil et les vêtements sont moisis par l'humidité. Le corps est retrouvé intact, encore souple.. Il est revêtu d'un habit religieux en bon état, et inhumé de nouveau dans un cercueil de plomb[2].

A la promulgation des lois Combes, les religieuses quittent la France[1].Le corps de Madeleine Sophie est transféré à Jette-Saint-Pierre (près de Bruxelles) le 29 avril 1904 où il est inhumé[2].

Avant sa béatification (le 24 mai 1908), il y a de nouveau une reconnaissance des restes dans le caveau, le 27 mars 1908.Le corps est de nouveau retrouvé en parfait état de conservation[2].

Lors de sa béatification en 1908, son corps très bien conservé est mis en châsse et placé dans la chapelle du Sacré-Coeur de Jette[2].

En 1934, une nouvelle chapelle est construite et inaugurée, pour recevoir la châsse[2]. Un pèlerinage est reconnu par le diocèse de Malines-Bruxelles[1].

Par suite du départ des religieuses de Jette, la châsse est transférée le 20 mai 1998 au 31 rue de l’Abondance - 1210 Bruxelles[1].

Enfin, après plus d’un siècle passé sur le sol belge, le corps revient en France. La translation de la châsse a eu lieu au mois de juin 2009.

Iconographie[modifier | modifier le code]

http://home.scarlet.be/madeleinesophie.barat/fr/icon-msb.htm

e 25 mai, c'est la fête de Sainte Madeleine-Sophie Barat. En l'année 2005, le 80° anniversaire de sa canonisation, célébrée à Rome le 24 mai 1925, nous invite à nous arrêter un moment à l'entrée de la Basilique St Pierre de Rome, au pied du premier pilier à droite de la nef centrale, qui accueille les saints fondateurs d'ordres et de congrégations. La sainte tient le livre des Constitutions, règle de vie pour celles qui se consacrent à la gloire des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. Tournée vers elle, une adolescente représente les milliers d'enfants qui ont été éduqués au Sacré-Cœur pour y découvrir l'amour de Dieu révélé en Jésus. Un angelot présente le "logo" ancien de la Société: les Cœurs de Jésus et de Marie.

Sources[modifier | modifier le code]

http://home.scarlet.be/madeleinesophie.barat/fr/index.htm

https://www.paris.catholique.fr/741-Sainte-Madeleine-Sophie-Barat.html

https://www.reseausacrecoeur.com/les-religieuses-du-sacre-coeur-de-jesus/

diaporama: https://slideplayer.fr/slide/1138271/

https://www.sacre-coeur-jette.be/secondaire/175-ans-du-sacre-coeur-recits-de-vie/

  • Jeanne de Charry, préface de Mgr Louis Veuillot, archevêque de Paris, Sainte Madeleine-Sophie, Casterman, 1965, 216 pages (bibliographie pages 210 à 213)
  • Monique Luirard, Madeleine-Sophie Barat (1779-1865) - Une éducatrice au cœur du monde, au cœur du Christ, Nouvelle Cité, 1999, (ISBN 2-85313-346-X), 192 pages (bibliographie pages 183 à 186)
  • Phil Kilroy, Madeleine-Sophie Barat - Une vie (17779-1865), Cerf, 2004 (ISBN 2-20407-468-3), 776 pages (bibliographie pages 743 à 753)
  • Geoffrroy de Grandmaison (bibliographie pages 211 et 212)

Monique Luirard, rscj Professeur émérite, rédige la notice sur le site web u diocèse de Sens : https://www.yonne.catholique.fr/diocese-de-sens-auxerre/carte-didentite-du-diocese/histoire-du-diocese/personnages-du-dioceses/sainte-madeleine-sophie-barat

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]