Une bonne fin
Une bonne fin | |
Publication | |
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Auteur | Anton Tchekhov |
Langue | Russe |
Parution | , dans Les Éclats no 30 |
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Une bonne fin est une nouvelle de cinq pages d’Anton Tchekhov parue en 1887.
Historique
[modifier | modifier le code]Une bonne fin est initialement publiée dans la revue russe Les Éclats, numéro 30, du , sous le pseudonyme A.Tchekhonte. La nouvelle est aussi traduite en français sous le titre Une belle fin[1].
Résumé
[modifier | modifier le code]Le contrôleur Stychkine, un vieux garçon de cinquante deux ans, a fait venir chez lui Lioubov Grigorievna, une marieuse, pour lui trouver une femme. Il a une idée très précise du genre de femme qu'il désire épouser : il cherche un caractère avenant, mais pas forcément un physique ; il la désire ni riche, ni pauvre.
Finalement, il fait sa demande à la marieuse qui accepte.
Extraits
[modifier | modifier le code]La marieuse : "J'ai de la bonne marchandise, une Française et une Grecque. Elles valent la peine."
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Voir Dictionnaire Tchekhov, Page 33, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (ISBN 978 2 296 11343 5)
Édition française
[modifier | modifier le code]- Une bonne fin, traduit par Édouard Parayre, Bibliothèque de la Pléiade, Éditions Gallimard, 1970 (ISBN 2-07-010550-4)