Bonjour Je vous adresse ma réponse à votre message de 3 jours. Elle a été rédigée avant le petit problème du verre.
Je vous remercie de vos explications. J'avoue que je ne suis pas bon dans la recherche des références. Les entreprises de staff et stuc utilisent le Vignole des Architectes. Il est formidable. Je suis en extase devant le sérieux des dessins, des dimensions en modules et mètres. Cette formidable référence a sa place au n° 3. Pour les élastomères silicones et polyuréthanes, les entreprises s'adressent aux fabricants pour avoir une doc. Elles sont très complètes. Très difficile à référencer sans faire du favoritisme. Peut-être une bonne référence sur la mise en oeuvre des silicones. http://www.cms-france.fr/img/cms/Fichiers/fabrication_de_moules_en_elastomere_de_silicone.pdf
La phrase à la création de l'article était: Les élastomères ont remplacé la gélatine. Un utilisateur a rajouté "Le bon creux". J'ai jugé qu'il manquait des précisions. J'ai complété. La phrase actuelle est bien. L'estampage à la terre ou plastiline est peu employé. Son prix de revient est très faible. Il permet en restauration de remodeler l'estampage avant l'épreuve unique. C'est un avantage important. La gélatine est encore employée par un très petit nombre d'entreprises pour certains travaux en raison de son prix de revient faible. Valable pour quelques épreuves. L'élastomère sur bas-relief est facile à employer dans les moules à bateaux. Il est coulé. L'estampage à l'élastomère sur haut-relief est aussi difficile à mettre en oeuvre que la vieille terre. Le moule sous chape n'est pas à la portée de tous. C'est un travail long et onéreux. Pour une ronde-bosse, il faut au minimum deux chapes et des pièces pour permettre le démoulage (contre dépouille) de la chape et réduire l'épaisseur de l'élastomère. Risque d'affaissement dans le moule. Il est recommandé de débuter les élastomères à l'aide d'une pompe à vide immédiatement avant son emploi. Cordialement