Aller au contenu

Projet:Wikiconcours lycéen 2013/Académie Aix-Marseille/Lycée Paul Langevin Martigues/seconde 02

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Page de travail de la seconde 02.

Participants[modifier | modifier le code]

michael

Sophia

ChloéC

Imane

Céline

  • Elèves travaillant sur l'article L'énigme de la Blancarde

Floriane

Andrea

Philadelphia

Nicolas

Théo

Chloé

Beverley

Margaux

Brouillon L'énigme de la Blancarde[modifier | modifier le code]

L'énigme de la Blancarde est un roman écrit par Jean Contrucci, publié pour la première fois en 2002 et édité par JC Lattès dans la collection Les nouveaux mystères de Marseille.

L'énigme de la Blancarde
Auteur Jean Contrucci
Pays France
Genre Roman policier/Thriller
Éditeur JC Lattès
Collection Les nouveaux mystères de Marseille
Date de parution 2002
Nombre de pages 315 p.
ISBN 978-2-253-11406-2

Aide pour la réalisation de l'infobox

Résumé[modifier | modifier le code]

Chapitres 1 à 5[modifier | modifier le code]

Chapitre 1[modifier | modifier le code]

Le 16 Décembre 1891, Marie Thérèse Magnan est retrouvée morte chez elle, assasinée. Depuis sa fenêtre, Charles Bonnafoux, chef d'escadron en retraite, observe la scène. Son fils adoptif, Louis Coulon, est présumé coupable du meurtre. Les policiers amènent Adèle Cayol, la bonne de la victime, et Louis Coulon au poste de police.

Chapitre 2[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret, reporter du Petit Provençal, est venu enquêter sur le lieu du crime. Celui-ci discute avec M. Bonnafoux sur l'affaire de la Blancarde : le meurtre a eu lieu vers neuf heures. La victime a lutté d'après les traces de sang retrouvées sur les draps, elle a succombé à une strangulation. A la suite de cette discussion, on remarque que Louis Coulon est le principal héritier de Mme Magnan, il devient donc le principal suspect.

Chapitre 3[modifier | modifier le code]

Eugène Baruteau, commissaire principal de la Sûreté et oncle de Raoul Signoret, a rendez-vous avec celui-ci au "Grand Café" turc pour discuter de l'affaire de la Blancarde. Baruteau est persuadé que Coulon a étranglé sa mère adoptive. Le commissaire informe son neveu que Coulon n'a pas passé plus de cinq minutes avec le corps de sa mère et, cinq heures après avoir vu le cadavre, il a enfin prévenu un voisin. Il déclare que comme par hasard, les papiers pour l'héritage ont atterri chez Coulon sauf le testament. L'enquête va s'orienter vers ce mystère.

Chapitre 4[modifier | modifier le code]

Le journaliste Raoul Signoret se rend chez Adélaïde Fouque, une voisine de la victime, pour l'interroger sur l'affaire et pour compléter le portrait du suspect n°1. Elle sait des choses qui ont fait avancer l'enquête : les Coulon avaient des problèmes d'argent et une semaine avant le meurtre, le fils adoptif avait souhaité que la victime meure. D'après Adélaïde, la victime abusait de la petite Adèle Cayol.

Chapitre 5[modifier | modifier le code]

Raoul rend visite à son oncle afin d'avoir des informations sur l'enquête. Le commissaire lui donne des renseignements. Louis Coulon serait donc coupable, il aurait demandé de l'aide à Adèle Cayol afin de tuer Marie-Thérèse Magnan, et il l'aurait menacée. Par conséquent, il y aurait eu un complot contre la vieille femme.

Chapitres 6 à 10[modifier | modifier le code]

Chapitre 6[modifier | modifier le code]

Dans le chapitre 6 se déroule le procès de Louis. Suite à différentes accusations, il avoue être allé voir Adèle, mais celle-ci l'ayant repoussé, il retourne au domicile conjugal à 9h, à l'heure-même où sa mère se fait assassiner. Adèle le confirme, mais les juges se rendent compte que dans son témoignage, il y a énormément d'incohérences.

Chapitre 7[modifier | modifier le code]

Le héros Raoul Signoret se voit remettre une lettre anonyme par l'avocat de l’accusé Louis Coulon, plaidant l'innocence de celui-ci et demandant de l'aide pour l'acquitter, ainsi que certaines pistes sur l'assassinat de Marie-Thèrese Magnan. Il apprend par la même occasion que le condamné avait une relation extra-conjugale avec la petite bonne Adèle Cayol.

Chapitre 8[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret a rendez-vous avec la jeune et jolie Cécile Jacquemet. Sur son chemin, suite à un concours de circonstances extraordinaires, il tombe sur Adèle Cayol qui lui raconte son exclusion du couvent et sa rencontre avec Martha qui la prend sous son aile après son placement au refuge, mais qui l'oblige à se prostituer.

Chapitre 9[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret se rend au théâtre dans l'espoir de voir Cécile dont il rencontre la mère, Mme Jacquemet, qui l'invite mercredi apès midi a l'heure du thé.

Chapitre 10[modifier | modifier le code]

Raoul rend visite à Adèle à la maison close pour lui poser des questions au sujet de la lettre anonyme qui évoque la prèsence d'un homme avec la jeune femme. Celle-ci refuse de répondre à ses questions.

Chapitres 11 à 15[modifier | modifier le code]

Chapitre 11[modifier | modifier le code]

Raoul se rend à l'hôtel particulier de la famille Jacquemet pour y voir la mère de Cécile. Celle-ci veut lui annoncer qu'elle avait changé d'avis sur sa décision concernant les fiançailles entre sa fille et Raoul, après avoir appris (par un homme qui travaille avec son époux) qu'il fréquentait des maisons closes. Raoul essaie de se défendre en expliquant qu'il est victime d'un malheureux concours de circonstances.

Chapitre 12[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret reçoit un petit mot de Cécile qui lui donne rendez-vous devant son école d'infirmière. Après ce rendez-vous caché, ils se rendent chez lui pour se voir intimement. Cécile lui propose qu'ils continuent de se voir tous les lundis entre midi et deux heures, alors qu'elle est censée avoir cours d'italien à cette heure-ci.

Chapitre 13[modifier | modifier le code]

Cécile réussit à rentrer dans le pavillon Sainte-Madeleine (endroit où se trouvent les prostituées) en se faisant passer pour une infirmière pour pouvoir interroger Adèle Cayol. Elle veut lui poser des questions à propos de Louis Coulon mais Adèle se met à hurler de panique, tombe et fait une crise d'épilepsie. Cécile pense à cause de la réaction d'Adèle que celle-ci est impliquée dans la mort de Mme Magnan ; elle s'en va discrètement.

Chapitre 14[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret va parler à Charles Bonnafoux, son oncle, pour avoir des informations suplémentaires.

Chapitre 15[modifier | modifier le code]

Raoul Signoret revient de Toulon, après avoir trouvé l'identité du soldat inconnu. Il fait des recherches sur Momond Graziani, en prison à Marseille, l'ami d'enfance de Giabiconi Raymond (le soldat inconnu). Après une accumulation d'informations, il va relancer l'affaire de la Blancarde.

Chapitres 16 à 20[modifier | modifier le code]

Chap 16[modifier | modifier le code]

Adèle Cayol est convoquée par le procureur général de Marseille, dans son cabinet. La jeune fille, intimidée par le procureur, avoue avoir tué Mme Mangnan. Le procureur pense qu’elle était présente lors du crime, mais ne croit toujours pas que Coulon est innocent.

Chap 17[modifier | modifier le code]

Raoul se rend à Riom pour assister au jugement d'Adèle Cayol. Pour son oncle, le commissaire, l'affaire est close, mais pour Raoul elle ne fait que commencer. Avant de partir, Raoul rend visite au curé de Saint Naphre pour avoir confirmation si Cécile était allée voir Adèle au pavillon des prostituées vénériennes de l'hôpital de la Conception. Mais le curé a mal recu Raoul sous pretexte que c'est un journaliste. Après avoir négocié, Raoul obtient des informations du curé. Ce dernier proclame l'innocence de Coulon, et prétend qu'Adèle est coupable.

Chap 18[modifier | modifier le code]

Chapitres 21 à 25[modifier | modifier le code]

Chapitre 24[modifier | modifier le code]

Chapitre 25[modifier | modifier le code]

Le livre se termine sur le mariage de Cécile et Raoul le 30 Janivier 1897. Lors de la cérémonie, Cécile annonce à ses invitées qu'elle est enceinte et qu'elle est persuadée que c'est un garçon.

Personnages[1][modifier | modifier le code]

Raoul Signoret : personnage principal, il est journaliste au Petit Provençal à Marseille.

Mme Magnan : une riche veuve octogénaire assassinée.

Louis Coulon  : fils adoptif dépensier qui a beaucoup de dettes à cause de son addiction au jeu. Il aurait donc un alibi pour avoir l'héritage.

Adèle Cayol : la bonne âgée de quinze ans de Mme Magnan.

Eugène Baruteau : oncle de Raoul Signoret et directeur de la sureté à Marseille.

Cécile Jacquemet : amante de Raoul Signoret, partageant tous deux des sentiments amoureux.

Charles Bonnafoux : chef d'escadron à la retraite, voisin de Mme Magnan.


Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Revue de presse

Affaire Mouttet

Article dans Le Gaulois, 18/12/1898

Brouillon Jean Contrucci[modifier | modifier le code]

Aide pour la réalisation de l'infobox

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et études[modifier | modifier le code]

Jean Contrucci est né le 7 juin 1939 à Marseille. Depuis son plus jeune âge il s'est révélé être bon en français, contrairement aux mathématiques. Dès l'âge de cinq ans, Contrucci écrit un peu tous les jours. Après son service militaire et après avoir fait des études littéraires à Aix-en-Provence, il obtient une licence en Lettres et souhaite devenir professeur mais il sera finalement journaliste. Il écrira notamment de nombreuses critiques littéraires. Inspiré de Les mystères de Marseille d' Emile Zola, il écrit la série Les Nouveaux Mystères De Marseille qui connaîtront un très grand succès.

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

1967-1997 =>il commence à écrire lorsqu'il devient journaliste au petit Provençal ; il deviendra par hasard critique littéraire.

1997-2000 => Retraité actif, journaliste honoraire, romancier populaire à ses heures, il écrit divers ouvrages de fiction ou d'Histoire.

2000-2014 => Il écrit des romans policiers, parmi lesquels figure la série "Les nouveaux mystères de Marseille" composés à l'heure actuelle (2014) de onze tomes. Il écrit en moyenne deux livres par ans.

Son envie d'écrire lui est venue peu a peu : il a commencé par écrire de simples articles qui figuraient dans le Petit Provençal.

Notes et références[modifier | modifier le code]


Liens externes[modifier | modifier le code]

Biographie sur le site personnel de l'auteur

Entretien avec J. Contrucci

Rencontre avec J. Contrucci filmée

Entretien avec J. Contrucci filmé sur Mativi Marseille

Entretien avec J. Contrucci sur Marsactu

Interview de J. Contrucci sur le blog de l'atelier de création littéraire