Martyn Poliakoff

Biographie
Naissance	16 décembre 1947 (76 ans); Londres
Nationalité	britannique
Formation	Westminster School; King's College (doctorat)
Activités	Chimiste, professeur d'université
Père	Alexander Poliakoff (en)
Mère	Ina Montagu (d)
A travaillé pour	Université de Newcastle upon Tyne; Université de Nottingham
Membre de	Royal Society (2002); Academia Europaea (2012)
Distinctions	Liste détaillée Meldola Medal and Prize (1976); Tilden Prize (1990); Interdisciplinary Prize (2000); Fellow of the Royal Society of Chemistry (2002); Commandeur de l'ordre de l'Empire britannique (2007); Médaille Leverhulme (2010); Nyholm Prize for Education (2011); Knight Bachelor (2015); Membre de l'AAAS (2016); Prix Lord Lewis (2016); Fellow of the Royal Academy of Engineering (2017); Longstaff Prize (2019); Prix Michael-Faraday (2019); James T. Grady-James H. Stack Award for Interpreting Chemistry (2019); Chartered Chemist (en)

Martyn Poliakoff (né le 16 décembre 1947)^[1] est un chimiste britannique. L'essentiel de son travail porte sur la chimie fondamentale (fluide supercritique, spectroscopie infrarouge et usage des lasers), ainsi que sur les processus et les matériaux environnementaux neutres. Il est Research Professor en chimie à l'université de Nottingham^[2]. C'est aussi un vulgarisateur, notamment sur la chimie verte^[3]. Il est le principal animateur de la série Web The Periodic Table of Videos (en) (sur les éléments chimiques du tableau périodique)^[4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Martyn Poliakoff » (voir la liste des auteurs).

↑ (en) « POLIAKOFF, Prof. Martyn », dans Who's Who, A & C Black, 2013 (lire en ligne) (frais de consultation requis)
↑ Biographie de Martyn Poliakoff sur le site de l'université de Nottingham
↑ (en) « Professor Sir Martyn Poliakoff », Royal Society, 2015 (consulté le 9 mai 2015)
↑ (en) « The Periodic Table of Videos », Science, vol. 332, n^o 6033,‎ 27 mai 2011, p. 1046-1047 (DOI 10.1126/science.1196980, lire en ligne, consulté le 9 mai 2015)