Hermann Steppuhn

Fonction
Député du Reichstag
Naissance	14 mai 1827; Dębiany
Décès	8 mai 1907 (à 79 ans); Nalikajmy
Nationalité	prussienne
Activité	Homme politique
Parti politique	Parti conservateur allemand

Hermann Steppuhn (né le 14 mai 1827 à Lackmedien, anciennement Medlauken, arrondissement de Friedland et mort le 8 mai 1907 au manoir de Liekeim) est un propriétaire du manoir et député du Reichstag.

Biographie

Steppuhn étudie au lycée de Rastenburg et en 1862, alors qu'il est régisseur, acquiert le manoir de Liekeim près de Bartenstein^[1]. De 1882 à 1888, il est député du parlement provincial de Prusse-Orientale. À partir de 1873, il est chef de bureau. Il est également membre du conseil d'arrondissement et du comité de l'arrondissement de Friedland.

En tant que membre du Parti conservateur allemand, il siège au Reichstag de 1893 à 1898 pour la 10^e circonscription de Königsberg^[2].

Il est le père d'Elisabet Boehm, la fondatrice du mouvement des femmes rurales^[1].

Références

↑ ^{a et b} « Entstehung der Landfrauenbewegung », sur web.archive.org, 4 janvier 2014 (consulté le 10 août 2021)
↑ Fritz Specht, Paul Schwabe: Die Reichstagswahlen von 1867 bis 1903. Eine Statistik der Reichstagswahlen nebst den Programmen der Parteien und einem Verzeichnis der gewählten Abgeordneten. 2. Auflage. Verlag Carl Heymann, Berlin 1904, S. 7.

Liens externes

Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Deutsche Biographie
Notices d'autorité :
- VIAF
- GND
(de) « {{{2}}} » dans la Datenbank der Reichstagsabgeordneten
(de) Biographie de Hermann Steppuhn, dans Heinrich Best, Datenbank der Abgeordneten der Reichstage des Kaiserreichs 1867/71 bis 1918 (Biorab – Kaiserreich)

[:0-1] {a et b} « Entstehung der Landfrauenbewegung », sur web.archive.org, 4 janvier 2014 (consulté le 10 août 2021)

[2] Fritz Specht, Paul Schwabe: Die Reichstagswahlen von 1867 bis 1903. Eine Statistik der Reichstagswahlen nebst den Programmen der Parteien und einem Verzeichnis der gewählten Abgeordneten. 2. Auflage. Verlag Carl Heymann, Berlin 1904, S. 7.

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