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Un article en espagnol de la transexuelle Carla Antonelli, aujourd'hui reconvertie en femme politique du Parti Socialiste, et où on apprend qu'Amanda débuta en Espagne au cabaret New York sous le pseudo de Peki d'Oslo en 1965 et sur sa carte d'identité elle s'appelait Alain Tap né à Saigon. Selon Carla, Alain Tap y rencontre alors Dali, qui fréquentait assidument ce cabaret, puis l'architecte catalan Tusquets qui en devient fou amoureux. Ce dernier raconte en quoi consistait le numéro d'Amanda sur scène et comment le temps d'un play back, vétue d'une cape avec un capuchon (cape qu'elle a utilisée aussi pour la chanson follow me) et d'un lent strip tease qui incendiait les spectateurs. Elle finissait en mimant une scène d'amour avec une poupée jusqu'à l'orgasme puis perçait la poupée d'aiguilles selon le rite vaudoo. Ian Gibson, historien anglais installé en Espagne et grand ami de la bande à Dali, rapporte que Dali insistait auprès d'Amanda pour qu'elle accepte publiquement son transexualisme. Il avait demandé à son ami Luis Roméro comment il trouvait Amanda Lear. Avant de lui révéler dans un éclat de rire, que c'était un homme. Amanda louait une petite maison face à la maison de Dali jusqu'en 1980. Dans son salon tronaient les photos de Bowie, Jones et Jagger avec qui elle assurait avoir fait un quatuor amoureux à plusieurs reprises. http://www.carlaantonelli.com/pierrot_memorias_de_transexuales3.htm Autre article du journal el mundo: https://www.elmundo.es/elmundo/2013/10/08/cultura/1381218575.html — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 94.103.140.145 (discuter), le 20 septembre 2019 à 15:57 (CEST)