Discussion:Talou

Le Comté du Talou:

Une page fut créée il y a à peu près 2 ans à Comté du Talou par Ó-H 2 W alias Óðinn-Hermoðr de Warenghien. Page qui fut supprimée par le "créateur" de la page Comté d'Arques, comté qui fut éphémère, vu qu'il ne dura que 27 ans, mais l'auteur censurant ma page comme doublon (alors qu'elle possédait plus de renseignements que la sienne), fut supprimée. Et maintenant celui-ci rentre une page Talou comme étant son créateur..., bravo la légitimité!!! Et le fairplay de Wikipédia qui favorise ses "correcteurs" (sans correction).

Comparez l'ancienne page documentée (ci-dessous, avec la nouvelle succincte de l'article:

Talou: Comté Cauchois au Nord-Est du Pays de Caux (Normandie orientale), du gotique Tal: "val(lée)". Sa frontière Sud-Est la Béthune inclue Neufchâtel (appelée Drincourt avant 1061, auquel on appliqua le suffixe –en-Bray en 1962), correspond au plateau s'étendant de la vallée de la Scie à l'Ouest, d'Arques-la-Bataille à la vallée de la Bresle au Nord-Est, jusqu'à la forêt d'Eu (le Comté d'Eu en fit partie), et la contrée dite Bas-Champs, du Tréport à Cayeux, Ault-Onival et Lonchères inclus (que la France place malencontreusement au Vimeu). C’est le prolongement naturel du Pays de Caux vers le nord jusqu'à Cayeux (qui tient son nom des Cauchois), le territoire était peuplé jadis de Kaletii (peuple celte de Gaule), plus spécifiquement de Katuslugii (Catuslugis) tribu apparentée aux Kaletii (Kalètes ancêtres des Cauchois). Le comté de Talou jusqu'à Eu, fut donné à Guillaume d’Arques (frère de Mauger), lequel ne fut dès lors surnommé Guillaume de Talou, que parce qu’il reçu ce comté, de son neveu Guillaume le Bâtard (futur Conquérant). La ville d’Arques où il avait fait bâtir une puissante forteresse, et la contrée constituée alentour du château (située au Sud-Ouest du Talou), devint un comté de 1037 à 1054 et fut incorporé au Talou seulement durant ces 17 ans. S’étant rebellé deux contre le duc son neveu (en 1052 et 1054) Guillaume de Talou fut destitué et son domaine d’Arques réunis au domaine ducal, pour être administré par des vicomtes. Les titres de comte d’Arques et de comte de Talou, était bien dissociés. Pour preuves, les rois de France, avaient entre autres pour titres outre celui de roi : - Philippe II dit Auguste, ceux de comte de Talou et d’Arques. Son fils, - Louis VIII dit le Lion, était comte de Talou et comte d’Arques. Son fils, - Louis IX dit Saint Louis, était comte de Talou et comte d’Arques.

"mentionné dans: Guillaume le Bâtard conquérant, de La Varende, Le mémorial des siècles La conquête de l’Angleterre par les Normands établis par Gérard Walter (p. 88/89 pour sa localisation en Normandie), et Les services secrets normands, de Jean Deuve (p. 4 & 8 pour les cartes précises, et page 357 pour un petit article)."

Heimdal N° 22 p. 3.

Et je rajoute (Gwyonbach (d) 29 septembre 2009 à 18:41 (CEST)): Autrement, dans les livres d'histoire traitant de la Normandie, il est parfois mentionné le Talou, le comté de Talou (dont la frontière Ouest est la Scie), jamais du soi-disant comté d'Arques (dont la frontière Est est la Scie), et jamais du pseudo vicomté d'Arques. Si vous naviguez sur le Net, la seule référence à un quelconque comté d'Arques est celle mal conçue, médiocrement référencée et non sourcée de Wikipédia, qui ne rend en outre aucun donné géographique (alors qu'on se permet de supprimer arbitrairement mon article sur le comté du Talou, qui lui est référencé et localisé géographiquement). Même la ville d'Arques-la-Bataille ne fait pas non plus référence à l'histoire d’un comté et/ou vicomté… (alors Wiki ? un peu de sérieux que diable ! si vous supprimez un bon article pour ne laisser qu’un médiocre, expliquez pourquoi celui-ci est mentionné comme ébauche à compléter, alors qu'on m'empêche de le faire…).

Sur Wikipédia, vous pouvez voir à Comté d’Arques :

Le comté d'Arques est une division éphémère du duché de Normandie. Il doit son nom à sa principale forteresse : le château d'Arques, élevé au XIe siècle. Dans les années 1020-1030, le comté d'Arques était une simple vicomté du nord-est de la Normandie. Mais au temps de la minorité de Guillaume le Bâtard, ce petit territoire fut donné à Guillaume d'Arques, fils illégitime du duc Richard II de Normandie. La vicomté devint alors un comté. Au passage, elle fut augmentée du Talou. Guillaume d'Arques bâtit vers 1037 un puissant château à Arques. Il se révolta contre le jeune duc, qui était aussi son neveu. Devenu majeur, celui-ci dut conquérir le château une première fois en 1052, puis à nouveau en 1054. À partir de cette date, le comté d'Arques fut réuni au domaine ducal de Normandie. Il fut de nouveau administré pour le duc par des vicomtes, redevenant la vicomté d'Arques. La vicomté d'Arques devint au XVIe siècle une élection (circonscription financière). L'une des mesures de capacité utilisées en Normandie et dans le nord de la France jusqu'à la Révolution, le pot d'Arques (correspondant à 1,829 litre), vient de la vicomté d'Arques, dont le vicomte avait la charge des poids et mesures de Normandie. Avec pour seule référence bibliographique (alors qu'à Talou le nouveau rédacteur parle « des historiens… »: Pierre Bauduin, La première Normandie, Xe-XIe siècle: sur les frontières de la Haute-Normandie, identité et construction d'une principauté, Pôle Universitaire Normand, Caen, Presses universitaires de Caen, Publications des universités de Rouen et du Havre, Mont-Saint-Aignan, 2004. Le « rédacteur » Osbern, qui s'attribue la création du site Talou, écrit : Le Talou 1, est une ancienne région littorale de Normandie, à la limite de la Picardie. Il recouvre partiellement le Petit Caux et le pays de Bray situés au nord-est de la Seine-Maritime. La Béthune le traverse. Le Talou apparaît à l'époque mérovingienne sous la forme d'un pagus2. L'ouverture maritime qu'offre ce territoire intéresse les monastères qui y possèdent des pêcheries et des salines. L'extension géographique du Talou a intrigué les historiens. Compris entre Roumois, Vimeu et pays de Caux, il semble s'être agrandi à l'époque carolingienne aux dépens de ce dernier 3. A l'est, la Bresle ne constitue qu'une frontière partielle, sa vallée, à l'exception de l'embouchure, appartenant au Vimeu4 Lorsqu'en 911, le viking Rollon reçoit du roi franc Charles le Simple des terres de part et d'autres de la Basse-Seine, il semble que le Talou fasse partie de cette concession. Mais selon Pierre Bauduin, la région fut peut-être temporairement perdue par les Normands entre 927 et 9685. Vers 1037, le Talou est érigé en comté au profit de Guillaume d'Arques, fils de Richard II de Normandie. Par conséquent, le comté de Talou est aussi appelé par les historiens comté d'Arques (l'auteur du blog rajoute : sic). Avec pour références bibliographiques : • Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles), Presses Universitaires de Caen, 2004 • Léopold Delisle et L. Passy, Mémoires et notes de M. Auguste Le Prévost pour servir à l'histoire du département de l'Eure, Évreux, Hérissey, 1862-1869, Tome 3

Mis par PurpleHz à Comté d'Arques : Le comté d'Arques est une partie du duché de Normandie, constituée autour du château d'Arques au XIe siècle. Le comte Guillaume de Talou, fils illégitime du duc Richard II de Normandie, bâtit vers 1037 un puissant château à Arques. Le comté de Talou fut alors appelé comté d'Arques. Le duc Guillaume le Conquérant dût conquérir une première fois en 1052 le château pour soumettre son oncle, puis à nouveau en 1054. À partir de cette date le comté d'Arques fut réuni au domaine ducal de Normandie. Il fut administré pour le duc par des vicomtes et généralement connu sous le nom de vicomté d'Arques. La vicomté d'Arques devint au XVIe siècle une élection (circonscription financière). L'une des mesures de capacité utilisées en Normandie et dans le nord de la France jusqu'à la Révolution, le pot d'Arques (correspondant à 1,829 litre), vient du comté d'Arques, dont le vicomte avait la charge des poids et mesures de Normandie. Notes et références :

1. ↑ de Talavo, toponyme celtique en –avo (note de l’auteur du blog : Qu’en est-il de Tal ?, dont le rédacteur ci-dessus ne dit rien, pas plus que pour une traduction de –avo, si l’on opte pour une traduction celtique par Talam : "terre" en gaulois et irlandais, Tal : "front" en gallois, et Avot : "fabricant" en gaulois, cela se traduirait par "fabricant de terre/ou/fabricant de front", tout un poème…, qui ne veux rien dire, et ne nous apporte rien !) 2. ↑ in pago quoque Talavo et Vinmvo dans un acte de l'abbaye de Fontenelle, daté de 734 3. ↑ Elisabeth Deniaux, Claude Lorren, Pierre Bauduin, Thomas Jarry, La Normandie avant les Normands, Rennes, Ouest-France, 2002, p.391 4. ↑ Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles), Presses Universitaires de Caen, 2004, p.57 5. ↑ Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles), Presses Universitaires de Caen, 2004, p.161

Alors, que pensez-vous des copieurs de Wikipédia.Gwyonbach (d) 29 septembre 2009 à 18:41 (CEST)

Je crois avoir compris que vous êtes l'auteur du défunt "comté de Talou". Je rappelle que cet article était truffé d'erreurs (en moyenne une faute toutes les cinq mots) et sans références. D'où sa suppression. Il fut refondu sous le terme général de Talou. Vous estimez que les articles comté d'Arques et Talou font doublon. Je ne suis pas d'accord. L'article porte ici sur le Talou dont l'existence fut plus longue que le comté d'Arques même si les deux entités géographiques ont pu partiellement ou en totalité se recouvrir dans la première moitié du XIe siècle. Je regrette une nouvelle fois que les informations que vous apportez (notammant étymologiques) ne soient pas sourcées ou mal sourcées (un blog apparemment). C'est un article historique ; donc sourcez le avec des livres ou des articles d'historiens reconnus. --Osbern (d) 30 septembre 2009 à 19:37 (CEST)

Contrevérité et mensonge éhonté!

Dans mon article sur le Talou, je disais exactement que le pseudo Comté d'Arques avait été éphémère. Le rédacteur soutenant mordicus que c'était au contraire celui du Talou qui l'était et que le Comté d'Arques l'avait remplacé. Quant à dire qu'il y avait une faute TOUS les cinq mots (et non pas TOUTES...), c'est encore de la mauvaise foi. Pour les sources, je citais Jean Deuve, et comme on ne pouvait pas remettre en cause son travail, vous avez attaqué l'homme (ça s'appel un Troll sur le Web), en mettant en cause ses penchants politiques (ce qui noyait le poisson, tout en n'ayant pas de rapport avec le travail de l'auteur; bravo pour les langues de P... et la politisation de Wikipédia via un certain courant directeur!). Quant aux fautes que j'ai corrigé sur certains dossiers de Wiki (et que je constate en lisant les discussions entre correcteurs), malgré ma dyslexie (et un QI de 165...) je n'en fais pas des gorges chaudes. Mais je porterais à votre sagacité, ce proverbe chinois: "Quand le sage désigne la montagne, le fou regarde le doigt!"Gwyonbach (d) 30 septembre 2009 à 23:49 (CEST)