Discussion:Paul Biya

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Il faut dire que le president Biya hors mis certains comportements qui restent d'ailleurs liés à la politique, gouverne au Cameroun comme un "papa" dans sa famille. Si l'on s'essaye dans le dénombre des difficultés qui freinent la démocratie au Cameroun, on aurait le loisir d'accuser pressement le manque de candidats possedant un plan d'action claire et envigeable par les avoirs nationaux.

Biographie officielle où il doit être possible de vérifier des informations à intégrer dans la biographie de Wikipédia[modifier le code]

Paul Biya né le 13 Février 1933, est le deuxième président de la république du Cameroun. Il quitte le Cameroun après l'obtention de son Baccalauréat en Juin 1956, pour continuer ses études universitaires en France. Il passe successivement par le lycée Louis Legrand, l'université de la Sorbonne, les instituts d'études politiques et d'études d'outre-mer de Paris. Il obtient donc successivement des diplômes en droit public et en études politiques. En Octobre 1962, il entame sa carrière professionnelle en 1962 comme chargé de mission à la présidence de la république du Cameroun. S'ensuit une rapide montée en force, en 1968 il est nommé Ministre Secrétaire Général à la présidence de la république par Ahmadou Ahidjo son prédécesseur. Puis en 1975, il devient Premier Ministre. Le 6 Novembre 1982 Ahmadou Ahidjo démissionne, plaidant des raisons médicales. Paul Biya, jeune premier ministre, lui succède à la tête de l'Etat en vertu de la constitution. Il accède également plus tard à la présidence nationale du parti unique, l'UNC (Union Nationale du Cameroun). Qui devient le RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais) dans les années 89. Il est réélu en 1992, puis en 1997, et plus récemment en 2004. Il a été marié à Jeanne Irène Biya, décédée dans les années 92, et mère de son premier fils Franck Biya. Aujourd'hui il partage sa vie avec sa femme Chantale, avec qui il a eu deux enfants, Junior et Brenda.

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 23:59 (CET)[répondre]

trouble de 1984 : à préciser[modifier le code]

Pour une personne non au courant des événements, le paragraphe prête à confusion. Il est écrit : "Pendant près d’une semaine des combats opposent l’armée, restée fidèle, à la garde présidentielle, composée d’hommes du Nord. Les mutins de la garde présidentielle sont exécutés." Qui est resté fidèle à qui ? A remplacer par quelque chose du style : Pendant près d'une semaine des combats opposent l'armée, restée fidèle à Paul Biya, à la garde présidentielle qui s'était retournée contre lui. Si c'est ce qui s'est passé. Toujours au même paragraphe : "À la suite de ces événements, Paul Biya change d’orientation politique alors qu’il est encore entouré des anciens caciques de l’ex-président, souvent originaires du nord du pays." Pourquoi pas. Mais comme le paragraphe ne précise pas quelle était l'orientation politique précédente et quelle est la suivante, ça n'a pas grand sens. Là. ce qui est mis en évidence, c'est plutôt un changement d'alliances. Appel aux bonnes volontés pour apporter les précisions qui s'imposent.--Braveheidi (d) 13 février 2013 à 20:04 (CET)[répondre]

vent d'est ?[modifier le code]

L'article dit qu'en 1991, les opérations villes mortes + un "vent d'est qui souffle sur toute l'Afrique" poussent Biya à accepter le multipartisme. C'est quoi ce vent d'est ? Essayez de tenir compte du lecteur potentiel quand vous rédigez svp. Pour moi ce vent d'est est totalement inconnu. A moins que ce soit une expression de français camerounais. Pitié les gars !--Braveheidi (d) 13 février 2013 à 20:10 (CET)[répondre]