Discussion:Patrick Bertrand

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Confusion Patrick Bertrand CEGID Group[modifier le code]

Il me semble qu'une bonne partie de cet article ne concerne pas M. Patrick Bertrand, mais le groupe Cegid. Des titres "Cegid Group" à "Autres mandats" (exclut) le texte est hors sujet et doit être retiré ou replacé si besoin dans l'article Compagnie européenne de gestion par l'informatique décentralisée. Par ailleurs, je trouve le ton de l'article très promotionnel, très marketing et non pas encyclopédique. Certaines tournures ainsi que le champ lexical mobilisé m'interrogent. Suis-je le seul à penser cela ? --Bruno2wiau zinc ♫ 17 janvier 2012 à 11:52 (CET)[répondre]

Confusion Patrick Bertrand CEGID Group[modifier le code]

Bonjour et merci pour ce commentaire. Auteur des deux textes, je voulais préciser que ma démarche était tout simplement de créer une fiche consacrée à Patrick Bertrand, figure de entrepreneuriat et dirigeant d’un groupe important dans le IT business, et ce dans le respect de la charte Wikipédia. De façon connexe, j’ai initié une mise à jour des informations concernant Cegid. L’ensemble des informations apportées, pour Patrick Bertrand ou pour Cegid, sont référencées sur des sources vérifiables. Personnellement je pense avoir respecté, par ces informations factuelles, la philosophie de l’encyclopédie Wikipedia. Le ton employé ne se veut en aucun cas commercial, même s’il peut témoigner d’une certaine admiration quant au parcours de cette société et de ses dirigeants dans le domaine du IT en France. Espérant vous avoir éclairé sur ma démarche. Bien cordialement. Ericvanstaen (d) 23 janvier 2012 à 13:36 (CET)[répondre]

Retrait de l'excès[modifier le code]

Bonjour,

Il semblerait que l'auteur de ce billet ait été beaucoup enthousiaste vis-à-vis du sujet traité. il y a énormément de contenus superflus sur cette page, qui font un peu trop l'apogée de cet homme au parcours des plus classiques. Ci-dessous toutes les formules à retirer pour retrouver une NPOV sur cette page:

  • Ce domaine, fortement concurrentiel, lui permet d’aiguiser sa dynamique commerciale, notamment dans la gestion d’une clientèle de grandes entreprises. -> opinion, non-NPOV, pas un CV
  • Alors qu’il confie percevoir l’activité pétrolière comme une "chasse au trésor", le monde de l’industrie ne fait qu’amplifier sa passion du challenge. ->trop romancé, pas de faits historique à dénoter
  • ... l’informatique envahit le monde de l’entreprise, modifiant en profondeur les méthodes de travail et de gestion. Patrick Bertrand s’éprend de ces nouveaux modèles, captivé par la dynamique de startup. Son intérêt pour les entreprises en fort développement et ces nouveaux métiers liés à l’informatique d’entreprise, se concrétise :... -> Aucune action concrête citée, juste du lyrisme
  • En 2010, un hebdomadaire spécialisé dans le secteur informatique classe Patrick Bertrand parmi les 100 personnalités les plus influentes de l’IT Business[1]. Son implication personnelle dans le développement du marché du logiciel le consacre entrepreneur de référence. -> classement de 01informatique, pas de notoriété
  1. Article de 01Informatique du 10 novembre 2010 : les 100 personnalités du numérique en France
  • Patrick Bertrand confie baser sa réflexion stratégique sur des valeurs telles que l’écoute, l’ouverture d’esprit et l'humilité, mais aussi sur la notion de mouvement, dynamique permettant de créer et d’anticiper les évolutions technologiques et managériales. Sa philosophie de vie est aussi résumée dans deux phrases qui privilégient l’action : "Think does not change anything. Action does. It is not what you think, but what you do with your thinking that is important" et "La vision sans exécution est une hallucination" (Thomas Edison). Patrick Bertrand s’inspire également de théorie comme celle évoquée dans la trilogie écrite par Geoffrey Moore, "The Gorilla Game: Picking Winners in High Technology", qui explique comment développer une entreprise dans le monde du IT et notamment comment repérer les marchés de niches potentiels dans le secteur high-tech[1]. Concernant les orientations stratégiques de Cegid, Patrick Bertrand se dit guidé, en premier lieu, par l’utilisateur : "Quand nous avons compris que c'est l'utilisateur qui "prendrait le pouvoir", qu'il administrerait personnellement et simplement son informatique […], nous avons pris conscience de la révolution économique et culturelle engendrée par les nouvelles technologies"[2]. -> Valeurs et croyances du personnage, pas pour Wikipédia
  1. « Patrick Bertrand Cegid accueille DECIDEURS TV dans ses bureaux parisiens », Décideurs TV,
  2. « Patrick Bertrand », LeMondeInformatique.fr,
  • Nommé en 2002 par Jean-Michel Aulas, également président-directeur général de l’OL groupe, Patrick Bertrand forme avec lui une véritable équipe : "s'il y a une surexposition de son action dans le football, c'est aussi parce que la gouvernance fonctionne bien chez Cegid. Un président fondateur qui accepte de mettre en piste une équipe et un directeur général, ce n'est pas tous les jours que cela arrive"[1]. -> répétition + développement sur l'amitié entre les deux hommes inappropriées
  1. Article du 13 juillet 2009 "La relance, ce n'est pas simplement le béton et la bagnole", LaTribune.fr

Lepicier, Lepicier, 16 avril 2012 16:41

Retrait CEGID Group[modifier le code]

Re-bonjour,

La moitié de l'article de Patrick Bertrand se focalise sur l'entreprise Cegip (qu'il n'a même pas fondé), ses chiffres, son évolution... Il est absolument inutile de répéter un contenu déjà présent sur une autre page, il suffit de lier les pages entre elles.

Voici le contenu que j'ai retorée:

Cegid Group[modifier le code]

Premier éditeur français de logiciel de gestion avec un chiffre d’affaires de 249,6 M€ en 2010, le groupe Cegid, Compagnie Européenne de Gestion Informatique Décentralisée, compte plus de 2 000 collaborateurs et près de 400 000 utilisateurs tant en France qu’à l’étranger. Editeur de solutions dédiées à la performance des entreprises et à leur développement, le groupe Cegid a fondé son savoir-faire sur des expertises "fonctionnelles" (Finance, Fiscalité, Performance Management, Paie/Ressources Humaines) et "métier" (Industrie, Services, Négoce, Retail, Hôtels-Restaurants, Profession Comptable, Associations, Entrepreneurs et TPE, Secteur Public). L’offre Cegid, également disponible en mode "on demand" (SaaS), est adaptée aux entreprises et établissements publics de toutes tailles.

Parcours stratégique[modifier le code]

A l’arrivée de Patrick Bertrand, en 1988, la société est spécialisée dans la conception de progiciels de gestion et la fourniture de système informatique à destination des experts-comptables, eux-mêmes prescripteurs des solutions Cegid auprès de leurs clients. Dès 1992, Patrick Bertrand, à l’époque directeur financier, trace le chemin à suivre d’une stratégie de généraliste à une stratégie d’expert-métiers. L’entreprise élargit dès lors son offre à d’autres marchés et se positionne en spécialiste de domaines d'expertise ciblés : "Nous avons su adresser avec pertinence des fonctions particulières de l'entreprise (ressources humaines, comptabilité finance fiscalité, gestion commerciale…), mais aussi les systèmes de gestion d'entreprises œuvrant dans des secteurs très spécialisés nécessitant une expertise forte (Retail, Profession comptable, Industrie, Hôtellerie restauration, Secteur public…)"[1], explique-t-il. Fort de cette orientation de spécialiste, Patrick Bertrand recentre dès le début des années 2000 l’activité du groupe Cegid vers l’édition de logiciels. Pour ce faire, le groupe Cegid réduit de façon significative les activités qui ne relèvent plus de son cœur de métier (ventes de fournitures de bureau, ventes et maintenance de matériels : en dix ans, de 1999 à 2009, la part des ventes liées à l’édition de logiciels est passée de 58% à 87% alors que dans le même temps, la part des ventes de matériels et fournitures est passée de 34% à 8%). Parallèlement, Patrick Bertrand initie un virage stratégique en développant une approche multicanal qui s’appuie en interne sur trois canaux de ventes (ventes sédentaires, téléventes, e-commerce) et en externe sur un réseau de distributeurs et partenaires intégrateurs. Il élargira l’écosystème de Cegid à des partenariats applicatifs qui prendront toute leur dimension avec l’émergence du SaaS et du Cloud computing, domaine dans lequel Cegid est pionnier.

Positionnement sur le marché financier[modifier le code]

Carte d’identité de Cegid Group
Marché Eurolist compartiment B
Place de cotation Euronext Paris (France)
Secteur d'activité Services informatiques
Eligible au SRD Non
Nombre de titres 9 232 057
Capitalisation au 1er juillet 2011 (milliers d'euros) 19 482
Capital social (en euros) 8 771 405
Actionnariat au 31/03/2011
Groupama 26,89 %
ICMI 10,05 %
Dirigeants 0,81 %
Ulysse/Tocqueville 6,21 %
Auto détention 4,54 %
Public 51,5 %

Le développement de Cegid lui a permis d’entrer sur le Second Marché dès 1986. Un an seulement après l’arrivée de Patrick Bertrand, en 1989, l’action est portée au Premier Marché. Patrick Bertrand se positionne aussi comme l’interlocuteur principal du marché financier. Depuis sa cotation et malgré les diverses crises connues par le marché de l’informatique, Cegid Group distribue des dividendes chaque année[2], signe d’une gestion rigoureuse, qualifiée de "prudente" par Patrick Bertrand[3]. Sur le plan européen, Cegid se hisse parmi les 20 premiers éditeurs, non loin de géants français tels que Dassault Systèmes ou Sopra Group[4]. En octobre 2007, l’assureur mutualiste Groupama devient un actionnaire important du groupe Cegid et acquiert 17,25% du capital et 15,84% des droits de vote de l’éditeur de progiciels, à qui le groupe d’assurances confère désormais une dimension service[5].

Croissance externe[modifier le code]

Acquisitions de Cegid[6]
1986 Kalamazoo Entreprise
1996 Silicone, Silicad (Industrie)
1997 Orli (Mode), Amaris (Industrie)
1998 Alphabla (Hôtellerie restauration)
1999 Servant Soft (Entreprises)
2003 Quadratus (Profession Comptable)
2004 CCMX (RH)[7]
2006 GTI Industrie, PMI Soft (Industrie)
2007 As Infor (Retail)
2008 VCS Timeless (Retail)
2008 GD Informatique (Hôtellerie restauration)
2008 Civitas (Secteur Public)
2010 Védior Front RH (RH), Visa (Secteur Public), Axeteam (Services)
2011 21S (Profession Comptable)

Très tôt, Cegid accélère son développement et étend son écosystème via des acquisitions. Pilote de la stratégie du groupe, Patrick Bertrand est également l’instigateur des opérations de croissance externe : "Nous avons une équipe dédiée qui étudie une vingtaine de dossiers en permanence"[8]. En 2004, il orchestre par ailleurs la fusion de Cegid avec son concurrent français le plus proche en termes de structure, CCMX, pour près de 90 millions d’euros[9]. Pour le directeur général de Cegid, l’acquisition est le moyen d’acquérir de nouvelles compétences, d’enrichir la base clients ou encore d’intégrer de la technologie et des ressources humaines expertes.

  1. « Patrick Bertrand, Cegid : "la modernisation des systèmes informatiques doit se faire sans big bang" », Clubic.com,
  2. « Patrick Bertrand, directeur Général de Cegid: "nous pouvons délivrer de la croissance tout en distribuant un dividende élevé" », LaLettredelaBourse.fr,
  3. Article Patrick Bertrand : "Le contrat est plutôt bien rempli", Le Progrès du 15 décembre 2003
  4. « Les 100 premiers éditeurs européens pèsent seulement 2/3 de Microsoft », LemagIT.fr,
  5. Article Cegid accueille un poids lourd à son capital, Le Journal du Textile du 30 octobre 2007
  6. « Cegid : la formidable réussite d’un éditeur ancré en région », Linformaticien.com,
  7. « Quand le droit entrave l'émergence de champions nationaux... », lesechos.fr
  8. Article "Nous étudions 20 dossiers de rachat en permanence", Le Journal des Finances du 30 octobre 2010
  9. « Cegid-CCMX : une fusion inévitable », 01Informatique,

Lepicier, Discut, 16 avril 2012 16:48

Date de création de Cegid et d'embauche de Patrick Bertrand erronnées[modifier le code]

Le texte précise : "En 1980, il intègre le groupe français Cegid (Compagnie européenne de gestion par l'informatique décentralisée), éditeur de logiciel de gestion, créé cinq ans plus tôt par Jean-Michel Aulas"

Cegid a pourtant été créé en 1983 ; Patrick Bertrand n'a donc pas pu rejoindre le groupe en 1980