Discussion:Marcellin Fillère

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L'ETRANGE PERSONNALITÉ DE DAMBLANS JEAN[modifier le code]

Je viens de découvrir sur Internet que mon ancien prof de Maths en prépa au lycée Saint-Louis avait de très fortes convictions religieuses.

Jamais aucun élève , ni le professeur lui même n'y avait fait allusion...

Il est cité dans l'article au sujet de son livre sur Marcellin Fillère:

↑ Jean DAMBLANS

http://www.marcellin-fillere.com/Damblans.php

le Professeur Jean DAMBLANS (1922-2004)

« un chercheur d'infini »

Je repense aujourd'hui à son cours sur la notion d'infini en mathématiques...Les courbes asymptotiques qui tendent vers l'infini:

Quelque soit M ,il existe epsilon, tel que |X-X0| inférieur à epsilon entraine f(x) supérieur à M.

On trouve ces conceptions dans l'article Asymptote de Wikipédia.

La notion d'infini ne semblait pas lui poser de problèmes métaphysiques....

Cependant je me souviens de son cours sur le paraboloïde hyperbolique dont la surface asymptotique tend vers l'infini: Il s'était heurté à un problème difficile à résoudre et avait demandé l'aide des élèves...Ceux ci étaient bien incapables d'y répondre. C'est Damblans lui-même qui finit par trouver la solution après avoir été interrompu par le "commis de classe" venu nous parler des conditions d'admission à l'école polytechnique.

Les paraboloïdes hyperboliques sont utilisés pour les voiles des toitures d'églises modernes.Peut-être pour symboliser la notion d'infini. Notamment à L'église Saint-Thibaut au Pecq

Si l'abbé Raillane ,le précepteur qui enseignait les mathématiques à Stendhal, était dépourvu de toute logique, ce n'était pas le cas de Jean Damblans qui préparait au concours de l'école Centrale de Paris au lycée Saint-Louis et faisait partie du jury d'admission.Voir dans Vie de Henry Brulard l'opinion de Stendhal sur l'abbé Raillane.


Cette passion lui vient de sa haine de l’Abbé Raillane, « ennemi de toute logique » (chapitre 7), et de son désir de sortir de Grenoble par les mathématiques (chapitre 8).

Dans ce même livre Stendhal évoque ses études à l'Ecole Centrale de Grenoble.

L'école Centrale de Grenoble qui était un établissement d'enseignement secondaire n'a en fait rien à voir avec l'école Centrale de Paris.

Frydman Charles (d) 1 mars 2009 à 05:39 (CET)[répondre]