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Discussion:Lettrage comptable

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L'article est envahi d'un contenu non sourcé au niveau historique. Expertom [En bavarder hors contexte] 14 juin 2008 à 13:39 (CEST)[répondre]


Je déplace le contenu non sourcé et hypertrophié par rapport au sujet. Gwalarn (d) 12 mars 2009 à 10:11 (CET)[répondre]

Voir s'il ne faudrait pas faire un article à part sur cette vieille expérience de lettrage converationnel de qualification des écritures, si tant est qu'on trouve des sources.

Ajout par Bitschy : Par rapport au sujet il n'est pas hypertrophié. C'est ce lettrage qui a permit aux ordinateurs de faire de la compta et de donner un usage aux micro-ordinateurs sans affectation depuis 1952, sauf soutenir une candidature de présidence des USA et tomber dans l'oubbli jusqu'en 1982. C'est ce lettrage qui a supprimé la tenue manuelle des comptabilités des petits commerçants, des PMI et PME. Seulement 20% du monde de la gestion se servait de machines comptables à introduction frontale à 400 000 FF pièce valeur 1964. Il en fallait absolument cinq par atelier. Ce n'est pas par miracle que cette catégorie de machine de la bureautique a disparu de l'horizon de la gestion des Grandes entreprises. Il a fallut bien en supprimer la première. C'est par une tabulatrice 421 IBM, que moi-même, Gilbert Bitsch, j'ai envoyé la première à la casse. En cas de doute, IBM Paris est bien placé pour confirmer cette première mondiale. C'est IBM qui a plagié mon Cahier de charges rédigé en 1965 pour en faire de même à son Siège de Paris. La génération nouvelle des décideurs n'a gardé aucun souvenir de la "qualité" des renseignements dégagés à J+45 deux fois l'an par ce type de machines qui lors de sa venue sur le marché avait déjà tué la comptabilité à papa. Si aujourd'hui ces résultats mensuels ne sont pas disponibles à J+5, il y a quelque part un problème urgent à examiner de plus près. Il serait alors indiqué, d'examiné le contenu non sourcé et hypertrophié par rapport au sujet et ignoré par négligence depuis 1966 par tous les utilisateurs de machines comptables, sauf par la SACM de Mulhouse, la SDM de Masevaux et par IBM qui s'en servait depuis 1972, à l'insu du reste du monde jusqu'en 1982. Jusqu'à cette date IBM prétendait que l'ordinateur 360/40 savait faire de comptabilité. C'est par cette prétention mensongère qu'ils sont arrivés à prendre le marché mondial des machines comptables par les micro-ordinateurs de la série des IBM 32-34. --77.203.202.208 (d) 16 mars 2009 à 08:57 (CET)Bitschy[répondre]

Je suis content que vous ayez participé à une expérience visiblement novatrice. Mais vous écrivez que "le premier lettrage a été mis en application [etc.]" : j'aimerai que vous soyez sûr que vous êtes bien le premier à avoir fait ce genre d'expérience. Vous dites aussi que "cela a mis fin aux ateliers de machines comptables dans les grandes entreprises". Quelles sources avez-vous pour affirmer cela ? Je peux vous assurer que cette expérience n'est pas enseignée dans les formations comptables en France. Un unique article de journal régional n'est pas très concluant, d'autant que d'après le titre il s'agit d'une interview présentant les souvenirs de quelqu'un, pas d'une étude. Wikipédia ne se limite pas à la France, et d'autres pays avait déjà peut-être mis en oeuvre des moyens identiques avant vous ? Si vous ne savez pas, alors la prudence est de mise et vous ne pouvez pas affirmer avoir été le premier. Si vous en êtes sûr, alors il faudrait citer des sources fiables : livres d'histoire sur la mécanisation de la comptabilité en France, par exemple, revue du CNC, etc. Gwalarn (d) 28 mars 2009 à 19:18 (CET)[répondre]

Gwalarn, Il n'y a aucun doute possible en ce qui concerne l'élaboration de la première comptabilité générale en Grandes entreprises (Ge). La preuve en est la suivante : Monsieur Lucien Bittighoffer, 11 rue du 2ème Zouave 68720 à Hochstatt, tél. : 03 89 06 27 60, nôtre contemporain et mon ex directeur de l'informatique à la SACM, il est venu dans mon bureau en début des années 70, me demander de lui remettre les originaux sur papier calque du Cahier de charges (Cdc) de l'application de la comptabilité auxiliaire des clients qui tournait sur tabulatrice depuis le 01. 10. 1965 et sur le 360/40, depuis le 01. 01. 1966. Comme avant mon départ en retraite en 82 on m'avait volé l'exemplaire du Cdc en question, il manquait dans le dossier constitué. Je me suis donc adressé à M. Bittighoffer, pour savoir ce qu'était devenu l'original qu'il m'avait demandé. Il m'a répondu : Je l'ai donné à Monsieur Urbani, ingénieur commercial IBM qui est venu, me le demander. Il a ajouté ; je sais que je n'avais pas le droit de la lui remettre. En cas de problèmes, je dirais, le lui avoir remis à titre de prêt. De son côté, IBM avait essayé par visu des extraits mensuels clients, qui circulaient dans le monde entier, par eux-mêmes de percer le mystère de mon innovation. Résultat, nouvel échec. Croyez vous que si ailleurs au monde un de mes collègues avait réussi de me ravir cette première, qu'IBM aurait été obligé de venir à la SACM pour plagier mon Cdc ? Il est vrai et je le prouve, dans les années 60, la SACM a été à la pointe mondiale des applications informatiques. Monsieur Jean Rottner, mon regretté collègue, élaborait le premier logiciel de gestion de la production et des approvisionnements en langage assembleur, basé sur le calcul des délais d'approvisionnements et non plus sur les stocks minima. À ce sujet, il a publié dans : AUTOMATISME – TOME XII Rottner : Programmation dynamique N° 2 FEVRIER 1967. En ce qui concerne le lettrage de qualification, pour ma part, j'ai effectué une communication à un organisme comptable strasbourgeois, elle est restée sans effet et sans réponse. Monsieur Rottner, polytechnicien et ingénieur en informatique de Grenoble, est celui qui a volé a mon secours lors d'une expédition épique chez Ferrania, distributeur de films au niveau international. Mis au ban du service informatique par mon directeur, car c'était "son" Cdc que j'avais rejeté. Je ne voyais pas l'utilité d'informé qui que ce soit au sujet de l'avancement de mes travaux. Ne voyant rien venir de ma part, ma direction prit l'initiative de me faire participer à une démonstration de comptabilité générale à Paris. C'est ainsi que je me suis trouvé en compagnie du PDG d'IBM France, accompagné de ses ingénieurs concepteurs, de la direction de Ferrania et des membres ma propre direction. En position de pointe devant ces huiles et au front du 360/40, j'assistais, ni plus ni moins qu'à la démonstration de l'application dont j'avais rejeté le Cdc. En conclusion le PDG d'IBM annonçait que : Pour arriver à ce résultat, Ferrania, a profité de l'assistance de 15 ingénieurs IBM pendant trois mois. Tout de go, je lui ai rétorqué : de ceux-là, je vous en fais cadeau. L'effet de stupéfaction de cette assistance qui s'écartait de moi n'a d'égal que la fuite devant un pestiféré. Ainsi, je me trouvais subitement amusé et isolé devant cet ordinateur qui palpitait de son ronronnement électromécanique au repos. À l'écart dans un coin de cette salle climatisée, le conciliabule des huiles rassemblées, a mon grand plaisir, décidait certainement de mon internement prochain. C'est alors, que Jean Rottner se détachait du groupe pour me tendre sa planche de secours. Vous savez, M. Bitsch, qu'il y a moyen de solder des écritures par itération ou par des calculs de recherches opérationnelles. Bien sûr, M. Rottner, mais ce n'est plus de la comptabilité, le hasard n'a rien à y faire, mais ne vous en faites pas pour moi, j'ai déjà en poche la solution de mon problème. C'est illuminé de plaisir qu'il est retourné parmi les siens qui sont gentiment revenu comme si rien n'avait été. Pour M. Bittighoffer, j'avais refusé "son" Cdc et de ce fait, je me suis trouvé tout isolé pour mettre au point la carte blanche accordée par mon Directeur général après examen en tête-à-tête de mon Cdc. Il fallait être le Léonard de toutes les mécanographies confondues. Il fallait être en mesure de porter les casquettes de l'organisation du travail, de l'organisateur d'entreprises, du dessinateur de liasses informatiques, de formateur du personnel pour une autre conception de la comptabilité, d'expert-comptable, de commissaire aux comptes en 1965. Finalement, il fallait savoir être Chef de projet en informatique en 1966 pour briser sur le 360/40 tous les obstacles semés sur la route des : Ces machines savent tous faire sauf de la comptabilité en Ge. Les gens qui portaient ce bagage à cette époque ne couraient pas les rues. Pour moi, il est actuellement plus dur pour faire admettre tardivement cette réalité que ne l'a été à l'époque sa réalisation. Qu'elle est dure la vie des inventeurs qui naturellement manquent de sources. Quelle est la source du vide que l'inventeur rempli ? Cherchez l'université ? Quoi répondre à propos d'une invention qui sort du ventre de quelqu'un, en France il ira en enfer et au ciel aux USA. Bitschy


Voici ce que dit Wikipédia sur la promotion des travaux personnels ([1]) :

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Le lettrage de qualification des écritures comptables est une invention des années 60 qui a ouvert la voie à la tenue de comptabilité sur ordinateur. Il ne ressemble en rien au lettrage comptable classique. Il a vu le jour en 1962 à la SACM de Mulhouse - France - et a été reconnu en 1965 suite au rejet d’un cahier des charges IBM par Gilbert Bitsch, chef de projets des travaux administratifs et comptables. Celui-ci a pu lui opposer des solutions qu'il avait déjà mises en œuvre sur tabulatrices IBM 421 - un outil mécanographique. Le cahier des charges refusé correspondait à l'état de l'art de l'époque qui ne permettait pas de tenir de comptabilité sur ordinateur. Il abolissait simplement la notion de comptes au profit d'un fichier historique sur cartes perforées interrogeable sur demande et purgé manuellement. Cette solution ne faisait donc pas de tenue de compte et ne permettait pas non plus la tenue des comptabilités auxiliaires par l’informatique. Il rendait nécessaire l'acquisition ou le maintien de machines comptables réservées à cause de leurs coûts prohibitifs aux seules grandes entreprises. Le premier lettrage comptable informatique a été mis en application par le premier mode conversationnel de l'histoire de l'informatique à la SACM de Mulhouse. Il a permis en 1965 de réaliser le premier positionnement des détails du dernier solde d'un compte de l'histoire de la comptabilité sur une tabulatrice 421 IBM. Ce lettrage a permis la mise au rebut de la première machine comptable de l'histoire de la mécanisation de la comptabilité qui a été effectuée par une machine Burroughs dans les années vingt du {{s-|XX|e}}. Celles-ci étaient redondantes depuis l'arrivée des premières tabulatrices implantées en Grandes entreprises. Le premier lettrage de qualification des écritures a été fait sur tabulatrice IBM 421 en 1962 pour la comptabilité auxiliaire des fournisseurs et en 1965 pour la comptabilité auxiliaire des clients et des débiteurs-créditeurs divers. Dans sa version historique de 1962 ce lettrage a consisté à : - Codifier par un "P" (Payé) les comptes informatiques classés à la comptabilité. Ce "P" était à inscrire en face des lignes d'écritures soldées dans la colonne spécialement prévue à cet effet. - Codifier par un "C" (à Conserver) les écritures non soldées par un règlement donné. En l'occurrence il s'agissait alors de cas litigieux qui exigeaient de garder en ligne les écritures ainsi que le règlement qui ne les soldaient pas. Ce règlement du fait de son code carte, était programmé automatiquement "P" par un traitement batch. Mais dans ce cas précis, il devait être codifié « C » afin qu’il reste en ligne en vu du traitement spécial prévu. - Relever les Ventes au comptant sur un document particulièrement prévu pour codification des éléments convenus ; assurant ainsi le solde des écritures dans une période d'enregistrement de facture non décalé par rapport au règlement. Cette comptabilité a été rapidement portée à la SACM sur ordinateur IBM 360. Il a fallu attendre les années 70 pour qu'IBM la commercialise sous sa propre enseigne. L'invention du mode conversationnel et du lettrage de qualification a ouvert la voie à l'informatique de gestion des années 70 en donnant un marché au mini-ordinateur proposé en remplacement des machines comptables. == Finalisation du lettrage informatique == Le traitement informatique suivant, prévoyait à l'édition des nouvelles situations ; la transformation du "P" en "S" (= Soldé). Cette technique nouvelle permettait à la fois l'enregistrement des règlements du mois écoulé et d'éditer d'abord : - Le relevé mensuel des comptes de créances non mouvementées. D'éditer ensuite sur liasses en doubles exemplaires : # Les originaux qui instauraient l’édition des ; relevés mensuel des détails du solde des tiers mouvementés. Opération manuelle, auparavant inimaginable pour la gestion financière vitale pour toute entreprise, ponctuellement réalisable mais impossible à obtenir en édition directe par les machine comptables. # Les copies, constituant les nouveaux Comptes sur papiers forts autant que le support du mode conversationnel créé. Ces situations comptables d’écritures non soldées, caractéristique du nouvel outils de travail pour les périodes ultérieures. # D'extraire les enregistrements "S" converti par le nouveau système en archives informatiques au moment de l'édition des balances mensuelles. Ce système évitait en toute sécurité l'extraction des opérations soldées très encombrantes dans tout système manuel ou mécanisé. Cette opération permettait aussi la constitution du fichier net à exploiter en traitement de la prévision de trésorerie comme des besoins en fond de roulement. Résumé des difficultés surmontées qui ont ENFIN converti les ordinateurs en MACHINES COMPTABLES en Grandes entreprises, à l'encontre du : Ces machines savent tout faire, sauf de la comptabilité, prôné par les constructeurs. == Difficultés techniques == Difficultés techniques surmontées avant de pouvoir positionner un compte : à savoir : :- Détecter si les écritures codifiées "p" sont = à celles qui sont codifiées S par comptes avant édition des liasses. Sinon, édition du brouillon du compte pour rectifications. :- Réduire à zéro l'importance capitale donnée à la tenue d'un fichier historique sous forme de fichiers de masses de cartes perforées. :- Sortir automatiquement sans contestation possible de la mémoire d'un ordinateur, d'une mémoire de masse ou d'un fichier de cartes perforées ; les factures réellement payées par les règlements périodiques enregistrés sans mettre en péril la sincérité et le rapprochement des comptes. :- Garder en ligne les enregistrements de règlements erronés ou partiels de factures jusqu'à la levée du litige. Factures et règlement codifiés L en informatique, à codifier "p" après règlement du litige par le comptable. :- Résoudre le problème formulé par les paiements au comptant. Dans ce cas de figure, facture et règlement se trouvent dans la même période, alors que généralement les règlements ne sont au mieux pris en compte, que dans le traitement du mois suivant. :- De ne traiter périodiquement que les comptes mouvementés. Cette possibilité capitale offerte par l’exploitation intelligente des capacités de l’informatique, permet au Comptable de redoubler de vigilance à l'égard des mauvais payeurs. Cette opération consiste à surveiller à part les comptes non mouvementés. À cet effet une case spéciale " DATES DE RELEVES " a été prévue sur les comptes afin d'y reporter le suivi des relances ; pour remise en contentieux et de passage aux créances douteuses et des ; à provisionner éventuellement. Dans ces cas le client garde son N° de compte, mais les créances litigieuses de ce N° 410AAA, client ordinaire, devient le N° 411AAA des créances litigieuses pour ce même client. Astuces géniale offerte par le plan comptable, à exploiter pour un suivi sérieux des créances. De ce fait la balance des clients sera en mesure de se présenter : 410AAA montant créances ordinaires 411AAA montant créances litigieuses 412AAA montant des créances douteuses Total des créances du client AAA Il fallait surmonter ces difficultés pour permettre aux ordinateurs de faire aussi de la comptabilité. Pour la mise en lumière des ces nouvelles possibilités en gestion offertes par Gilbert Bitsch à la gestion des Entreprises, Monsieur Louis Maillard, PDG de la SACM, à l'époque 25e exportateur Français, avait imposé la présence de Bitsch Gilbert à toutes les réunions des commissions financières. Du fait de cette organisation, la copie de la balance des clients devient pour le DECIDEUR l'outil par lequel il sera en mesure de surveiller la bonne marche de ses AFFAIRES à l'insu des négligents, coupables, soucieux de cacher leurs erreurs en haut lieu. Il devenait par ce nouveau moyen informatique, impossible de laisser pourrir des affaires et de perdre de la clientèle par négligences. == Conséquences de ce premier lettrage == Il annonçait la disparition de la carte perforée et de son environnement connexe. Il rendait caduc les garanties du CdC des constructeurs, qui assurait à lui seul la pérennisation de la carte perforée. C'était cette mémoire de masse indispensable, devenue inutile, qui à elle seule jusqu’à ce jour permettait de reconstituer l'historique des comptes, qui permettait de justifier un solde, d'éditer sur demande, après extraction manuelle, les détails d'un solde qu'il était impossible de fournir autrement. Du jour au lendemain, il ôtait la raison de l'existence d'un pan mondial important de l'industrie de la bureautique. Les machines comptables étaient devenue obsolètes, partout ou exclusivement, elles existaient et évoluaient à l’ombre des ateliers mécanographiques ou des gros ordinateurs. Par la capacité subite de son accès à la tenue de la comptabilité dans les grandes entreprises, la mécanographie et l’informatique ont ouvert la voie à la mini-informatique, restée sans usage depuis 1952. Ce que savaient les gros ensembles, réservée aux 20% en mesure de rentabiliser un tel outil informatique, les mini-ordinateurs le sauraient pour 80% des opérateurs économiques exclus auparavant de l’informatique. Ce premier lettrage conversationnel réalisé en informatique a brisé le mur dressé entre la mécanographie et l'informatique d'un côté et le marché immense des machines comptables et des facturières de l'autre. En 1962, en prenant l'initiative d'automatiser la gestion des paiements lors de l'informatisation de la comptabilité auxiliaire des fournisseurs, Gilbert Bitsch a mis au rebut pour redondance, la première machine comptable de l'histoire de la bureautique. De ce fait il avait violé sans le savoir un ordre établi qui revenait à bloquer l'ouverture de la comptabilité générale à l'informatique en grandes entreprises. Sa récompense fut un blâme de sa direction générale d'alors. Depuis des décennies, cette comptabilité était inféodée aux ateliers de machines comptables à introductions frontales qui représentait un marché considérable aux marques innombrables (pour plus de détails voir [[mécanographie]]). Interdiction avait été faite à Gilbert Bitsch de rédiger à l'avenir des cahiers des charges touchant la comptabilité générale. Malgré cette interdiction, en 1965, il a rejeté le cahier des charges imposé par le constructeur et après quelques mois de développement, a édité nuitamment à 22 heures passées, une première tenue de compte mécanographique. Celle-ci a été réalisée en présence de M. Louis Maillard P.D-G. de la SACM alors récemment nommé, qui s'était déplacé en personne pour assister à l'édition de la première comptabilité dont le résultat ne venait pas de son atelier de machines comptables. La première conséquence de cet événement a été l'annulation du crédit de direction voté pour le renouvellement du parc des machines comptables ainsi que la reconnaissance du travail effectué par la nomination rétroactive de Gilbert Bitsch à un statut de cadre de l'entreprise. == Lettrage par mini- et micro-informatique == La disparition des cartes perforées au profit de saisie des données suite à la vulgarisation de la mini et micro informatique pour la comptabilité informatisée remet à l'honneur le lettrage comptable. Le principe de celui-ci est un héritage de la "Comptabilité à Papa" selon l'expression familière du milieu, pratiquée manuellement au temps du Grand livre manuel comme à l'époque du traitement de la Comptabilité générale sur machines comptable. Cependant, le résultat de ce même lettrage ne générait pas automatiquement les éléments nécessaires à la relance mensuelle des tiers. Aspect du premier compte lettré : voir photo ci-dessous À l'heure de la naissance de la mécanographie, la formation des mécanographes et en principe la formation continue du personnel de celle des informaticiens par la suite, était assurée exclusivement par les constructeurs de matériels informatiques. À l’époque c’étaient eux seuls qui assuraient la formation des opérateurs et des chefs opérateurs qui s'en dégageaient après avoir soumis les candidats à des tests d’aptitudes (de logique et d'intelligence) durs et intransigeants. Car, c'était à des individus de ce personnel fraîchement émoulu qu'incombait le rôle de Chefs de Projets. Ils étaient après formations chargées des analyses et des organigrammes qui permettaient la réalisation des chaînes de travail. Ils devaient procéder au montage des tableaux de connexions ainsi que des jeux d'essais qui simulaient les tâches à accomplir qui conduisaient aux résultats à obtenir par les opérateurs lors de le prise en charge mécanographique des tâches manuelles. Les résultats s'élaboraient en se servant opération par opération des différentes machines obligatoirement désignées par le rédacteur de la chaîne de travail. Les candidats étaient en principe des jeunes de formation diverses, les plus âgés avaient toujours des notions en radiophonies ou en dépannages radio. Rares étaient les gestionnaires à l'exception de quelques jeunes aides-comptables sans grande formation théorique ni de sérieuse expérience du métier. Gilbert Bitsch fut le seul administratif et comptable professionnel de sa génération à avoir passé les tests avec succès. Ses confrères Chefs de Projets de ce fait étaient tous des transfuges d'autres professions ou activités. Ils étaient surtout dépourvus de formation comptable pratique comme de gestion pratique en grandes entreprises. Il ne faut pas perdre de vue l'image que se faisait à juste titre le monde de la profession comptable en entreprises à cette époque. C'était à juste titre la caricature du parfait « rond de cuir » qui avait à sa disposition un atelier bourdonnant de précieuses et onéreuses machines comptables pour sortir lamentablement un résultat à J+45, des renseignements, des documents, qui n'avaient plus rien à voir en gestion. De 1965 à 1972 la SACM de Mulhouse et la SDM de Masevaux ont été les seuls utilisateurs du lettrage informatique appliqué par ce nouveau mode conversationnel inédit en applications comptables informatisées. Faut-il le rappeler, invention qui a value la nomination au grade de cadre, grade de la hiérarchie salariale du monde capitalistique, généralement réservée aux ingénieurs issus des grandes écoles. Promotion comparable au caporal qui passe officier, au grade de Lieutenant du jour au lendemain. C'était un événement qui remontait au premier empire. Ce genre de promotion à l'égard de gens de ma qualité ne se passait qu'au temps de Napoléon Bonaparte ou ne s'acquérait qu'à l'ancienneté après 35 années de dévouement au monde des différent secteurs de l’économie. Cette reconnaissance intérieure spectaculaire n'a nullement incité Big Blue à s'en occuper pour sa répercussion auprès de ses clients équipés d'ordinateurs. C'est ici que se développe la raison ou en entrée l'auteur accuse IBM de félonie et de plagiat de son CdC. La Cie IBM a été le IIIe utilisateur du lettrage informatique d’abord pour la comptabilité de son Siège à Paris et pour IBM monde ensuite. Imaginons un instant le choc que cette nouvelle a dû produire auprès de ceux qui croyaient détenir le monopole de la gestion comptable. Tout un monde qui n'était pas celui de la SACM était encore organisé autour du fameux : - Ces machines savent tout faire sauf de la comptabilité en grandes entreprises. Ce monde risquait subitement de s'écrouler par la faute d'un petit opérateur sur tabulatrice. Si cette nouvelle se répandait, du jour au lendemain en utilisant le logiciel de ce rien du tout, toutes les machines comptables au monde seraient obsolètes, redondantes et inutiles. L'enjeu était considérable ! Le monde de la gestion se trouvait au seuil d'une révolution et celui du pan de l'industrie mondiale des machines de gestion, au seuil d'une catastrophe dont il est utile de se pencher pour en entrevoir les conséquences. Par exemple : Avec son équipement vétuste de 5 machines comptables NCR de la deuxième génération, la SACM se voyait obligée de moderniser. Le conseil d'administration avait déjà voté le crédit de 2.000 KFF destiné au renouvellement de son parc de machines comptables de troisième génération, celles-ci équipées de lecteurs de comptes à bandes magnétiques ainsi que de lecteurs de cartes perforées. Combien d'entreprises et d'administrations dans le monde se trouvaient au même point ? Il était inimaginable du côté des constructeurs, que quelqu'un vienne claironner au monde économique, qu'il existait un logiciel révolutionnaire, révélateur des détails du dernier solde des comptes permettant aux utilisateurs de tabulatrices et d'ordinateurs de mettre presque instantanément au rebut les machines comptables toute catégorie dont ils étaient les utilisateurs exclusifs. Il fallait absolument empêcher que cette nouvelle soit communiquée et que les utilisateurs potentiels soient informés. Si non, que deviendraient : :– les études en cours ; :– les prototypes lancés ; :– les commandes en cours ; :– les usinages en cours ; :– les stocks de machines complètes et de pièces de rechanges ; :– les usines et le personnel toutes catégories des constructeurs ; :– les revendeurs ? La réflexion, au sujet de cette catastrophe en mesure de se présenter aux constructeurs de machines comptables, se matérialiserait du côté des utilisateurs de mon logiciel par la révolution de l'informatique ainsi que de celle de la gestion des grandes entreprises tenue sous le carcan artisanal de ces machines comptables, elles, hautement industrielles et sur le plan technique au niveau des ordinateurs. Il fallait à tout prix, en donnant le change, éviter cette catastrophe annoncée en 1962 à la SACM de Mulhouse. La mystification était en train de se réaliser chez les clients informatiques d'IBM. Les "Comptes" des autres entreprises en circulation n'étaient en réalité que des relevés mensuels de factures déguisés sous forme de comptes. La manière de donner cette apparence à des états informatisés, ne posait aucune difficulté et encore moins d'intérêt de gestion à l'usage des destinataires. Jusqu'à l'intervention M. Worgagne, chef du service financier à la SACM au sujet de la présentation de mon compte, mon agressivité envers tous les déguisements en extraits réels de soldes de fin de mois, était sans bornes. Pour cette raison, mes extraits de relevés mensuels comportaient une colonne de chiffres supplémentaires. Cette colonne était réservée à l'étalage de la possibilité de pouvoir fournir les détails du solde précédent. Ailleurs, les extraits n'étaient que des listes de facture mensuelles qui présentaient schématiquement cette colonne en moins. Sur mon relevé mensuel, celle-ci mettait en évidence les détails du solde précédent que nulle machines et nulles informaticiens au monde étaient à ce jour en mesure de fournir instantanément. C'était enfin la révolution tant attendu par tous les décideurs qui investissaient des sommes considérables sans jamais avoir été témoin de l'abandon de la comptabilité à Papa déjà tant de fois abandonnées. == La clef du mystère== C'était une autre colonne non apparente sur le relevé mensuel qui permettait a sa copie, aux comptes de jouer le rôle de vecteur du mode conversationnel. C'était son contenu uniquement qui déclenchait par programmation le rouage des opérations de techniques comptables codifiées dans cette colonne qui mettait enfin au rebut les machines comptables qui glorifiaient de trop longue date, sans raison valable la disparition de la comptabilité de papa. L'ébauche suivante illustre le schéma du premier relevé mensuel mis en circulation en 1965 : Les codes de la colonne « S et/où L » ci-dessus est la traduction par programme des codes "p" pour payée et "l" pour litige, ils étaient ceux indiqués par les comptables dans la colonne spécialement réservée sur les comptes support du mode conversationnel qui se traduisaient par programme en "S" pour soldé et en "C" à conserver sur les extraits mensuels destinés aux clients. En 1965, personne au monde n'était en mesure de produire un extrait mensuel de cette nature sur tabulatrice ou par ordinateur. La colonne "Détails du solde précédent" était instaurée intentionnellement dans le dessein de montrer à tous les destinataires de nos extraits que la comptabilité de papa avait bien vécu. C'est la présence de cette colonne sur nos états qui devait être très gênant pour certains. Car des velléités antagonique ne manquèrent pas de se s'extérioriser.

Paragraphe à expliquer

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Voici ce qu'une IP a écrit :
"Ce type de lettrage n'est pas de qualification des écritures, dont l'objet consiste à préparer les fichiers des tiers (classe 4 du plan comptable) aux suivis des créances muni d'un système inédit d'élimination des écritures soldées, par un lettrage automatique instauré par programmation. Cette application de gestion exige le traitement par lots ou en batch autrement dit, ce qui ne modifie en rien son usage en temps réel pour sa gestion quotidienne."

Pouvez-vous préciser :

  • la définition d'un "lettrage de qualification des écritures" ? Tous les lettrages des logiciels actuels sont faits pour faire ressortir les opérations non dénouées. Quelle différence entre un lettrage (définition générale) et un "lettrage de qualification des écritures" ?
  • "système inédit" : peut-être en 1965 ; mais aujourd'hui, cela n'a rien d'original ni d'inédit. Parmi les options d'impression du grand-livre, il y a souvent celle de sortir les extraits de compte sans les écritures lettrées. C'est banal.
  • "cette application de gestion" : de quelle application parle-t-on ? D'une application informatique ? Laquelle ?
  • "exige le traitement par lot ou en batch" : il y a longtemps que les rapprochements comptables se font en temps réel, sauf dans quelques applications comptables de très grosses entreprises (en voie de disparition grâce aux PGI temps réel). Tous les utilisateurs de comptabilité sur micro-ordinateurs ont leur lettrage en temps réel. De nos jours en comptabilité, le traitement par lots est lié à une période historique révolue.

Gwalarn (d) 7 avril 2009 à 11:11 (CEST)[répondre]

C'est par hasard que j'ai trouvé vos questions en fin de discussion du lettrage comptable. Depuis le premier jour de publication de mon lettrage, j'attendais ces questions. La définition du lettrage de qualification des écritures est surtout liée au traitement de la comptabilité auxiliaire des clients. Exemple ; à la lecture du bilan d'une grande entreprise dont je suis actionnaire, ce dernier présentait un actif client de trois fois son chiffre d'affaires mensuel. Après renseignements pris, les conditions générales de paiements se situaient à 30 jours fins de mois et non à 90 jours comme les créances affichées, le laissaient le supposer. Après d'âpres discussions, on s'est rangé à mon avis pour la ponctualité de mon analyse. Lors de la publication d'un résultat intermédiaire, cette entreprise annonçait une amélioration de son cash de 346 M€. Envoyé sur les roses par mon correspondant, j'attends le bilan de fin d'exercice 2008 pour me rendre compte qu'il ne s'est agi que d'une opération ponctuelle comme je le suppose. Sinon, jamais la situation des 41, ne se seraient trouvés dans cet état lamentable dû, à ce que vous qualifiez " équipé de logiciel pour faire ressortir les opérations non dénouées". Je sais parfaitement, que c'est banal, c'est tellement banal que le lettrage utilisé est retombé au niveau qualité, de celui, jadis pratiqué manuellement sur le grand livre du système comptable centralisateur italien dont, il est originaire. En ce qui concerne "de quelle application de gestion parle-t-on". Question préalable ; sortez vous vos résultats mensuels à J+5 ? Si c'est le cas, vous pratiquez l'abonnement des charges fixes, sinon ce n'est pas la bonne application de gestion. Le traitement batch est tellement révolue que des opérations de contrôles systématiques indispensables s'y trouvent associées. Nemet war hoc'h postel hiniel e vije diskuliet ouzhpenn nevezinti evidoc'h a-fet ; le travail batch indispensable…, qui n'en est, selon ma façon de voir, plus un batch à concevoir comme autrefois. (Bitschy) 11 Mai 2009

Complément au sujet du lettrage de qualification des écritures.

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En relisant les discussions, j'ai trouvé ce qui vous manque pour que nous soyons en phase au sujet de mon lettrage de qualification des écritures. Jusqu'à présent je me suis tenu à expliquer le lettrage concernant la gestion financière, celui-ci isolé ne permet de se dire de qualification des écritures, mais en pratique il est combiné avec une codification qui spécifie le sens de l'écriture à passer. Par exemple pour passer une écriture au débit des compte clients : le document fa ou pc de rectification est codifier F. Les règlements et les pièces comptables à imputer au crédit du compte client ; sont codifiés R. Ce qui touche les ventes au comptants, sont codifié V. Cette codification ainsi combinée se passe de l'intervention du technicien comptable et sans conteste sera de qualification des écritures comptables.

  B (Bitschy contributeur wiki)  02. 07.  2012.
Ur brezhoneger kaer gant un anv eus Reter ! Mad eo ! Komz a ran gwelloc'h e galleg, siwazh, donc je continue dans cette langue. Si je ne vous ai pas averti, c'est que vous n'avez pas de compte (d'identifiant) sous Wikipédia. C'est dommage, ça permettrait d'échanger plus facilement.::Wikipédia ne présente pas les expériences personnelles ni les opinions. Que peut-on généraliser de votre expérience ? En évitant les phrases qui expriment des points de vue : "le lettrage de mauvaise qualité", "état lamentable", etc.
  • "La définition du lettrage de qualification des écritures est surtout liée à la passation de toutes les écritures comptables." Pourriez-vous préciser, en une phrase, ce que signifie "lettrage de qualification" ? Je n'ai pas trouvé de terme semblable dans les dictionnaires comptables dont je dispose, et sur internet il n'apparaît que dans vos articles (Larousse.fr par ex.) mais il n'est pas défini, vous ne dites pas ce que c'est, vous dites ce que ce n'est pas : "il ne ressemble en rien au lettrage classique". On n'est pas très avancé !
Voir ci-dessus !

CRÉDITS FOURNISSEURS

  • 346 M€ = 346 millions d'euros ? (M=méga=million, G=giga = milliard) Belle entreprise !
  • Vous dites : "Sinon, jamais la situation des 41, ne se seraient trouvés dans cet état lamentable". Pour moi le lettrage est un outil de contrôle et d'analyse, je ne vois pas quel impact cela peut avoir sur la présentation au bilan, car ça ne modifie pas le solde d'un compte, ça met seulement en évidence ce qui reste à faire (règlements à recevoir, etc.). Donc la modif au bilan suite à votre intervention est la conséquence de modification d'écritures. C'est la qualité du lettrage qui est en cause dans votre exemple. Votre oeil exercé a pu détecter une anomalie, mais si le travail avait été bien fait (le comptable pour le lettrage et le contrôleur de gestion pour l'encours client anormal), il n'y aurait pas eu de pb, quelque soit le logiciel utilisé.

Gwalarn (d) 21 mai 2009 à 23:14 (CEST

Cher Monsieur, vous savez que je suis analyste entre autres. Pour constater cette négligence il m'a suffit de demander les conditions de paiements générales de cette entreprise. Il m'a été répondu par la responsable des actionnaires, quelles étaient de 30 jours fin de mois. Dans ce cas le poste des clients à l'actif du bilan devrait correspondre à environ 1 douzième du chiffre d'affaires annuel réalisé et non à trois mois de c.a. comme c'était le cas sur ce bilan. Ce constat n'a rien à voir avec des écritures mal passés mais au non suivis des paiements en retard. Chez moi à la SACM de Mulhouse qui avions les mêmes conditions de paiements le poste clients au bilan annuel correspondait bien au montant de notre chiffre d'affaires mensuel. Après de longues discutions la préposée aux actionnaires a rompu les discussions pour me permettre d'apprendre l'année suivante ce flux cash flow que vous connaissez. Je suis resté actionnaire dans cette boîte mais depuis je n’ai plus reçu de bilan. Seul, l'utilisation de mon logiciel empêche les clients de se faire du crédit fournisseurs. Bitschy 08.05.2015

Compte lettré, compte soldé et paiements : la grande confusion

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Une IP a remis la notion de compte soldé quand toutes les opérations sont lettrées. C'est faux, la personne confond "solde" et "lettrage". Car à un moment donné, toutes les écritures d'un compte peuvent être lettrées et le compte présenter un solde.

  • Ex. : paiement d'une facture de décembre en janvier. Un rapprochement du compte est fait début janvier, avant publication des résultats de décembre. En éditant le Grand-livre à fin décembre, on voit que toutes les écritures du compte sont lettrées, pourtant la balance affichera un solde pour ce compte.

Cher Monsieur, un rapprochement de compte, croyez en un expert, ne solde jamais une écriture comptable, les rapprochements de comptes ne sont effectués qu'en cas de recherches d'erreurs sur un compte de la maison, en rapport avec quelqu'un de l'extérieur,fournisseurs-clients surtout (banquier) par rapprochement, les comptes financier ne sont jamais lettrés. Le logiciel du lettrage en qualification des écritures ne lettre automatiquement pour solder, qu'après parution du règlement au journal adéquat, concernant la période de sa prise en compte. Solder un compte ne signifie jamais, clôture d'un compte. Bitschy


Elle associe également la notion de paiement avec le lettrage. C'est souvent vrai, mais il est faux de faire le lien systématique.

  • Ex. 1 : annulation d'une écriture. Prenons l'annulation d'une facture client : le compte client est recrédité. L'opération de crédit se lettre avec le débit d'origine (la facture initiale), il n'y a aucun règlement dans l'affaire.

En qualification des écritures, cette facture fait l'objet d'un litige. Opération traitée dans la période suivante. Les logiciels permettent actuellement l'annulation d'une écriture erronée dans le mois par un simple "splittage" de celle-ci. Bitschy

  • Ex. 2 : utilisation de comptes intermédiaires. Dans les comptabilités complexes, on crée des comptes de tiers pour isoler certaines opérations, avant de les reverser dans des comptes de tiers destinés à enregistrer les paiements. Cf. les 2 exemples ci-après.
  • 2.a - une société inscrit les indemnités et débours d'un dirigeant dans un compte différent du compte courant du dirigeant. Les indemnités sont centralisées ici, vérifiées puis transférées sur le compte courant du dirigeant. Le compte d'indemnités n'aura jamais comme contrepartie directe un règlement. Pourtant il sera lettré.

En lettrage de qualification, ne sont lettrées que les écritures qui disparaissent des comptes. Au cours de ma longue expérience, jamais cette méthode n'a obligé quiconque de revenir sur l'historique qui ici est inutile. (Commissaires aux comptes dixit). Les écritures concernées figurent ailleurs, (statistiques, comptes correspondants aux archives). En *2.a de ci dessus, en principe le lettrage en question ne s'applique qu'aux comptes de tiers du groupe des 40-41 et à leurs sous comptes, jamais aux 42- Personnel et comptes rattachés. En comptabilité, il ne faut pas confondre ; lettrage de comptes et rapprochement de comptes. Le lettrage s'effectue pour solde des écritures, alors que le rapprochement de comptes se fait par pointage des écritures conformes aux comptes rapprochés en vu de détecter les erronées ou les manquantes. Bitshy

  • 2.b - un client à établissements multiples veut que les factures soient établies au nom de chacun de ses établissements, mais veut payer de manière centralisée. Les factures de chaque établissement s'imputent sur un compte client unique pour l'établissement, puis virées en fin de mois sur un compte "client - règlement". Les factures seront lettrées, mais pas par un paiement.

Dans ce cas, cher Monsieur, vous avez raison. J'admets volontiers, que vous avez cité une exception qui infirme, ce qui chez moi était envisagé comme étant, une règle générale. Bitschy

Je reviens donc à la précédente formulation (version Félix Potuit). Gwalarn (d) 21 mai 2009 à 23:14 (CEST)[répondre]

Lettrage conversationnel de qualification des écritures

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Le premier lettrage comptable conversationnel de qualification des écritures a été mis en application sur tabulatrice IBM 421, un outil de mécanographie en 1962 puis sur ordinateur IBM 360/40 un outil informatique, en 1965 à la SACM de Mulhouse. C'est lui seul, après l'abandon de toutes les recherches, qui a mis fin aux ateliers de machines comptables dans les grandes entreprises et qui a ouvert la comptabilité à l'informatique. Car à cette époque, selon les constructeurs et la qualité de l'usage de la mécanographie et des ordinateurs, ces machines savaient tous faire  ; sauf de la comptabilité en Grandes entreprises [1].

Sans préjuger de la sincérité du contributeur qui a écrit ce paragraphe, je déplace ici ce texte en attendant d'avoir une définition (qu'est-ce que la "qualification" en comptabilité ?) et des sources autres qu'un journal régional. Gwalarn (d) 12 juin 2009 à 22:19 (CEST)[répondre]


==Le lettrage conversationnel de qualification des écritures==.

Je suis diplômé D'une HEC Allemande. Je n'ai jamais eu le mental de chien battu des collègues comptables de ma génération. Les diplômes délivrés en gestion après guerre pour seulement me familiariser avec la langue Française n'étaient pas reconnus par les employeurs. Les Brevets d'enseignement commercial premier et deuxième degré après 4 années d'études ne valaient rien. Heureusement M. Pouchot, lieutenant de l'armée de 40, avait profité de sa captivité pour rédiger des cours de comptabilité à sa manière, il s'était rendu compte comme moi-même que les Nazis avaient déjà instauré le plan comptable à tous les niveaux. Mais évidemment, M. Pouchot n'est pas resté inactif, ainsi, la véritable révolution fut la fixation officielle de normes avec la diffusion du plan comptable 1947. Celui-ci normalisait les moyens d'enregistrer les opérations comptables pour les imposer aux entreprises. Remplacé en 1957 par le plan comptable général, régulièrement remis à jour. Mais ce plan comptable a seulement été adopté dans le privé en début des années 50 à la suite d'un chantage du gouvernement de l'époque. Les entreprises qui introduisaient le plan comptable 1947 étaient autorisées d'une part, à réévaluer à un certain taux, les immobilisations depuis la création de l'entreprise et d'autre part, à réévaluer à un taux inférieur les amortissements pratiqués. Vu l'impact fiscal de cette opération, tous ont marché, tout en conservant les répertoires des tiers selon la pratique d'origine. Reprise manuelle trop lourde à adapter au plan. Ce handicap n'a été corrigé que lors des prises en charge de travaux comptables en mécanographie. ( Journaux d'achats, ventes, etc.) Cette manière d'introduction du plan comptable n'est enseignée nulle part. Pourtant, pour ma part j'ai fouillé les archives, à la recherche d'investissements réalisés à La SACM à partir de 1876, réévaluées, elles figuraient à l'actif du Bilan pour la pratique du ré amortissement de la plus value ainsi dégagée.

Définition du lettrage de qualification des écritures.

L'unique moyen de permettre aux tabulatrices de faire aussi de la comptabilité consistait à trouver le moyen pour générer à la fois, ce qui en jargon mécanographique est "une carte chercheuse" infaillible, respectueuse du droit commercial qui exclut le hasard et la mise en place d'un système en mesure de générer des comptes indispensables en respectant la déontologie comptable. C'est-à-dire, permettre à un comptable d'accepter de faire enfin de la comptabilité autrement, le libérant des travaux bêtes et méchants au profit de la gestion des comptes individuels, que rien auparavant n'était en mesure de lui fournir sur un plateau. La mise en chantier du système conversationnel, exige au départ l'édition d'une liasse en double exemplaires des clients non mouvementés dans le mois du démarrage. Car, ce premier jet, comporte le relevé détaillé par compte des écritures de la dernière balance clients complétée des factures du mois. Sachant que ce système de la tenue de la comptabilité auxiliaire des clients, porte un accent spécial sur de suivi des créances, il est capital de surveiller les comptes non mouvementés. Car déjà au départ, selon les conditions générales de règlements, à 30 jours fin de mois, chaque clients devrait au moins avoir émit un règlement et donc ne pas tomber dans le lot des non mouvementés. Pour cette raison, la liasse se compose ; de l'original, qui en tant qu'extrait mensuel, est envoyé aux clients, la copie sous forme de compte individuel, elle, spécialement étudiée, l'est en tant que support du lettrage conversationnel et de moyen de suivi des paiements. Ces premiers comptes non mouvementé sont classés à part, après avoir été chargé de la date d'émission par le comptable dans une case qui en prévoie trois. Lors de l'annotation de la troisième date le compte est remit au service juridique...

Le compte pour remplir son rôle en tant que support du lettrage conversationnel est muni d'une colonne supplémentaire à une position, non apparente sur l'original. En tant que tel, il exige de la part du comptable la codification : de "p" ; en cas de paiement des écritures concernées ou du "c" ; en cas de litige des écritures en question. Les autres codes qui permettent l'élimination infaillible d'un poste, résultent de codifications ou d'applications postérieures. Ainsi chaque facture comporte sa date d'émission, le code client complété au moment de l'émission de l'offre, le N° de facture interne affecté à la comptabilité pour préciser à la fois ; le code du département, le mois comptable et le n° mensuel courant. C'est ainsi que lors de la saisie de la facture se conjuguent les codes nécessaire à l'identification d'une facture que le "p" du comptable placé dans la colonne spéciale, en face de l'écriture à solder sur le compte m-1 pour éliminer ; la ou les lignes de factures et avoirs soldés par le chèque ou la traite, lors de la réception du règlement.

Mensuellement il est ouvert un document prévu pour le traitement des ventes au comptant qui signale "S", soldé ; factures et règlements sur le compte du mois à paraître.

Le code "c", à conserver ; est attribué aux factures et avoir litigieux concernant les lignes du compte m-1 non soldés, lors de la saisie des règlements pour le journal m des banques. La synthèse des codes de qualification des écritures permet de codifier et d'éditer "S", les écritures soldées, pour les archiver au moment de l'obtention de la balance des tiers. Ce nouveau fichier du mois, reste en ligne et permet en début du traitement suivant, à détecter les nouveaux comptes sans mouvements. Ces nouveaux comptes non mouvementés sont fusionnés au fichier standard en tant que non mouvementés pour l'émission de l'extrait mensuel des détails de soldes non mouvementés. Le comptable avant publipostage de ces extraits annote les comptes avant leur remise au service contentieux. La survivance physique du compte client est évidente, car indispensable à la gestion de milliers de comptes clients. Aucun logiciel ne signale les règlements qui ne solde rien, l'impact comptable est insignifiant, mais cache toujours un litige. Par mon regard, la gestion des clients garde la systémique comptable sans laquelle il n'est pas étonnant pour une Grande entreprise de trouver au bilan des créances faisant trois et même d'avantage de fois le CA mensuel. Depuis longtemps, la déontologie comptable a viré sa cuti. L'abandon de la pratique du crédit Fournisseurs n'est pas pour demain. Les logiciels de comptabilité générale sur le marché, sont retombés aux travers la pratique du lettrage automatique des écritures dans les errements du traitement sur machines comptables dont il est a été copié. Ces logiciels permettent surtout d'afficher sur demande les écritures non lettrées. Aucun événement ni législation exige de revenir sur une écriture tenue selon mon système. Quel est l'intérêt de garder en ligne des écritures dont la somme est égale à zéro ? L'histoire n'a plus rien à voir en gestion. Autre mise au point : Ni pour un chef comptable, ni pour un décideur, il y a lieu de lettrer des écritures lors d'un rapprochement de compte. Un rapprochement de comptes, concerne toujours deux comptes de natures différentes. Exemples : Le compte du Client A, à rapprocher pour une différence de solde avec le même compte du Fournisseur de A. Autre exemple de rapprochement : Le propriétaire du compte courant chez le banquier B avec celui du banquier qui vient, pour une différence de solde le voir avec son compte, ou vice-versa. Lors de rapprochements, les données identiques sur les deux comptes sont pointées. En fin d'opération, ils restent les écritures non pointées qui sont à l'origine du rapprochement exigé. Les rapprochements ne concernent que des comptes identiques situés dans des établissements différents qui ne présentent pas le même solde à un moment donné. Par contre un lettrage s'effectue toujours sur un même compte. Le but consiste à reconnaître les écritures non lettrées, ce sont celles qui déterminent le solde du compte. Le concept du lettrage est d'exclure ! Tout ce qui est lettré selon ma conception est égal à zéro. Rien ne prête à confusion entre ces deux opérations. Le reste, ce sont des élucubrations de théoriciens, le professionnel n'en a rien à faire. Je suis le premier à avoir évoqué le lettrage sur Web en général et sur Wikipédia en particulier, maintenant tout le monde en parle n'importe comment et naturellement garde raison. En conclusion ; Les écritures des comptes différents de celles des comptes de la classe des tiers 40-41 restent figées au Grand livre pour la durée de l'exercice comptable. Elles restent disponibles à tous les rapprochements. Une écriture lettrée selon mon lettrage, elle a comme vocation de disparaître au plus vite de la circulation. Er vBreizh, am eus er maez un eilti, brezhoneg emañ yezh va c'halon. Utilisateur Bitschy 23.06. 2009

Notes et références

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  1. Mémoire vive d'un comptable - Il y a 30 ans, à la SACM, Gilbert Bitsch inventait la comptabilité sur ordinateur - , Jean-Georges SAMACOITZ, Journal L'Alsace, 18 juin 1996