Discussion:Institut universitaire de formation des maîtres

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Apprentissage lecture Calcul[modifier le code]

Il n'est pas fondé de désigner les IUFM comme des propagateurs de méthodes de lecture globale ou encore de l'abandon des opérations arithmétiques en CP. Les sources mentionnées précédemment ne sont que des témoignages épars qui ne prouvent rien sur ce point.

Mungopark (d) 11 avril 2009 à 18:37 (CEST)[répondre]

Cout IUFM[modifier le code]

Slonimsky indique que le cout de l'IUFM se rapprocherait des classes préparatoires. Bien que je n'ai pas de ref. précise, il faudrait ajouter: hors cout salarial du fonctionnaire stagiaire. Les chiffres épars dont je dispose indiquerait un cout est superieur a celui d'une annee de thèse, financée par une bourse.

Olimat

Autres modifications d'Olimat[modifier le code]

Les principales modifications que j'apporte le 23 mars:

La section 7 devient 6.2.

La section "Insuffisance du nombre de stage est coupée en deux, la seconde partie intitulée "Innovation pédagogique des IUFM". J'ai rétabli un passage de citation du texte de Balian et alt. (gentils robots de wiki, ne confondez pas le nom propre Alain Connes avec un terme injurieux).

La section "cout des iufm" est devenu "autres criques". Concernant le cout, je n'ai pour l'instant pas trouvé de source fiable, i.e. avec des chiffres. Ce point joue visiblement un grand role dans la réforme de "masterisation" actuelle. J'ai aussi rétabli la remarque sur l'accés plus difficile des classes populaires au métier d'instituteur: il y a la aussi un manque de references precises, même s'il s'agit d'un sentiment partagé par de nombreux instituteurs (la reference indiquee est serieuse mais pas scientifique a mon gout). En conclusion, j'ai conscience que cette section manque de références.


Pour Slonimsky et Centuri: le projet de réforme Darcos est, pour l'instant, peu compréhensible. Il n'est pas clair comment on s'inscrira aux formations d'enseignants et si les IUFM continueront d'exister. A ce jour, il est donc difficile d'améliorer le texte suivant vos suggestions.


Olimat

Entrée en UIFM[modifier le code]

Dommage qu'il n'y ait rien sur l'entrée dans les IUFM. Examens ? Concours ? Dossier ? Quel nievau ? Licence ? Merci pour ces précisions... Centuri (d) 13 mars 2009 à 17:27 (CET)[répondre]

Apport de references concernant l'article IUFM[modifier le code]

J'ai cherché à ameliorer la page IUFM, car elles manquaient de réferences. L'IUFM fait l'object de forts débats. Il me semble que l'objectivité de Wiki requiert une présentation soignée.

En particulier, dans la section "Critiques des IUFM", seules des réponses a des critiques formulées de manière caricaturale etaient documentees, et l'article me semblait manquer de rigueur.

Entretemps, JLM est intervenu et a intitulé cette section "débat sur les iufm" (ce qui me convient)

J'ai donc:

1) supprimé l'aspect caricatural des critiques,

2)cité des sources précises: l'ouvrage de Mme Boutonnet), liens vers des pages d'universitaires experts des questions d'education comme l'academicien Laurent Lafforgue, liens vers des études du ministere, liens vers des blogs d'anciens stagiaires. J'ai aussi inclus des références d'intervenants.

3) essayer de faire une analyse critique des critiques: biais politique, subjectivité des acteurs exterieurs ou d'études rigoureses.


Le point suivant m'a pose difficulté: L'ancienne version du site indiquait: "on critiquait le niveau des stagiaires et des formateurs". Or la critique sur le niveau des stagiares (recu au Capes ou Agreg) me semble inexistante. En fait cette phrase provient, me semble t'il, d'un texte de Philippe Meirieu, et cette critique est facile à balayer (je n'ai pas retrouve la citation exacte). Or Philippe Merieu n'indique aucune reference, ni qui il designe par "on" (probablement les universitaires). J'ai donc l'impression que cette "critique" n'est formulee que pour y repondre facilement.

J'ai donc supprimer "stagiaires". La critique concernant le niveau des formateurs apparait dans le livre de Mme Boutonnet et certains compte rendus de stagiaires. Neanmoins, je n'ai pas l'impression que cette critique soit au centre du débat. Faut il maintenir la phrase sur la supposéee insuffisance du niveau des formateurs? N'est ce pas inutilement blessant?

Je compte ajouter les accents manquants, les cédilles et corriger les typos dés que je me procure un clavier francais.

Le robot a estimé que mon texte contenait une injure. Précisons que le mot "Connes" est ici le nom de l'académicien Alain Connes.

Olimat, 19, 20, 21 et 23 mars 2009

De la limite des blogs personnels[modifier le code]

J'ai supprimé le lien vers un blog personnel ajouté dernièrement, blog qui se composait de 3 courts articles polémiques, voire injurieux, résigés par un courageux stagiaire anonyme. Je vois mal ce qu'apporte ce genre de liens en matière d'information voire même d'arguments dans un débat critique.

--Olivier Rey 23 janvier 2006 à 09:34 (CET)[répondre]

vous ne le voyez pas... mais peut-etre que d`autres le verraient! (Pour les curieux, il s'agissait de http://iufm.gmonblog.com/) Slonimsky 23 janvier 2006 à 15:56 (CET)[répondre]

--- -Il y a aussi un paradoxe de fond qui a été pointé lors du "bilan de l'année PLC2" réalisé à la fin de l'année scolaire 2007 dans une IUFM de l'académie de Versailles: le professeur-stagiaire attend des conseils pratiques pour enseigner, et il lui est difficile de demander conseil à des formateurs lui rappelant régulièrement qu'ils sont là pour "l'évaluer", c'est-à-dire valider ou non son CAPES. Les stagiaires ont peur de s'exprimer. - Mais...de l'impossibilité d'épingler l'"IUFM" en général: les relations entre formateurs et stagiaires, l'importance de la gangue idéologique et la qualité des conseils pratiques varient beaucoup d'un site IUFM à l'autre. Ceci explique en partie que les avis des stagiaires sur l'IUFM soient parfois contradictoires. ---Petitstagiaire

Objectivité ?[modifier le code]

En découvrant cet article, je m'attendais à en savoir un peu plus sur les IUFM. Quelle déception ! Les trois dernières lignes me conduisent même à me demander si je suis sur une page d'encyclopédie ou sur un forum de discussion...

J'aurais préféré obtenir des informations sur le contenu de la formation, le statut des personnes qui enseignent dans ces établissements, les conditions d'entrée...

Paul

Oui il est évident que l'article est à compléter, je m'y mettrai dès que je pourrai. N'oubliez pas que tout le monde peut le faire... Laurentou chance 5 juin 2006 à 13:48 (CEST)[répondre]

Historique des écoles normales et des IUFM[modifier le code]

J'aimerais savoir sous quels ministères et quels gouvernements ont décidé:

  1. de supprimer les écoles normales d'Instituteurs.
  2. de créer ces "fameux" IUFM, et pour quelles raisons.

Pour ma part,je trouve deux graves défauts à ces bouleversements:

1. Le recrutement des futurs maîtres se fait à partir de la licence, alors que du temps des écoles normales, le concours se faisait au niveau troisième et permettait (du fait que les études étaient rémunérées) d'une part, de permettre à des jeunes de milieux modestes, d'accéder à un niveau social correct et à un niveau de connaissances pluridisciplinaire non négligeable, tout en sortant de couches sociales qu'ils comprenaient, pour en être eux même des exemples de réussite.
Le recrutement au niveau licence ne permet plus ce lien, car peu d'enfants des couches populaires accèdent à ce niveau pour des raisons financières. Ceci explique peut-être en partie l 'incompréhension et la violence qui se manifestent de plus en plus souvent entre élèves et professeurs, car ces professeurs sont maintenant rarement issus de milieux populaires.
Il eut de mon point de vue été préférable de conserver le recrutement par concours au niveau 3ème, et promouvoir en parallèle une formation de niveau universitaire tout en conservant les possibilités offertes par la prise en charge des études par l'Etat, comme du temps des écoles normales, en échange d'un engagement à servir dans l'enseignement pendant une durée étudiée, ou un remboursement éventuel de ces études en cas de choix d'une autre profession...

2. La "régionalisation" des contenus de l'enseignement des IUFM ne contribue certainement pas à une unification de notre système éducatif, et donc à l'égalité des chances tant proclamée...

Gérard CLEMENT, Chef d'établissement de l'Education Nationale -retraité

Historique et autres[modifier le code]

Concernant la création des IUFM, il me semble qu'ils sont consécutifs à la loi de juillet 1989, Lionel Jospin était alors Ministre de l'Éducation Nationale (voir liste des Ministres de l'EN de la 5ème république). Quant à qui a décidé... cf le processus d'élaboration d'une loi en France et l'organisation de la représentation (du peuple) nationale...

Les remarques de M. Clément sont intéressantes mais appellent à différentes questions :

  • si tant est que les modalités de recrutement expliquent « l'incompréhension » dont vous faites état (même en partie), comment se fait-il que dans les écoles où (la grande majorité) encore aujourd'hui seuls des instituteurs (ou instituteurs devenus professeurs des écoles) recrutés selon le processus dont vous faites état : les mêmes problèmes y soient présents ? Il est peut être encore un peu tôt pour dire que les professeurs des écoles (recrutés après 1990) ont supplantés en effectifs les « anciens instituteurs » (génération des « baby-boomers »). Patience, un jour ou l'autre...
  • en outre, de la façon dont vous présentez les choses on pourrait croire qu'une majorité d'instituteurs venaient de milieux populaires... Quelles sont vos sources ? Comment définissez vous cette notion de milieux populaires ? Peut-on dire que cette répartition a évolué lorsque le recrutement est passé du Baccalauréat à la Licence ?
  • les IUFM sont rattachés plus ou moins directement aux académies (et non aux régions). On peut le déplorer, cependant on peut s'interroger sur l'enseignement de l'occitan généralisé en Bretagne ou à Paris (mais pourquoi pas ?), ou autres activités du même type (spécificités locales, etc). Certains reprochent à l'école (plutôt aux collèges et aux lycées certes) d'être trop éloignée de la réalité locale... à réfléchir... Dans ce cas, il faudrait peut-être plutôt remettre en cause la notion d'Académie...


Le Président a laissé entendre que les IUFM seront, en fin de compte, supprimés, et non plus intégrés en tant qu'écoles autonomes dans les universités. Sans doute faut-il le dire dans l'article, en attendant que les projets du gouvernement actuel soient plus précis, ou du moins qu'ils soient révélés au public. Slonimsky (d) 8 juin 2008 à 16:44 (CEST)[répondre]

Il serait bienvenu, me semble-t-il, de faire la liste des critiques, en particulier philosophiques, de, ou des, pédagogies Iufmiennes, considérée par eux, peut-être à tort, comme une idéologie. Il faut distinguer cela de la volonté de tout ramener à la pratique. Marcel Gauchet devrait occuper une place de choix dans ce panorama,à côté de Brighelli et de Finkielkraut. Merci d'avance de ne pas biffer comme "non-neutre" cette recension d'opinions qui n'engagent que leurs auteurs, et qui me paraîtrait très utile dans les circonstances actuelles. Slonimsky (d) 24 avril 2009 à 18:47 (CEST)[répondre]

Encore une fois, le pédagogisme censure, et toujours avec la même horripilante bonne conscience. J'abandonne le terrain! Slonimsky (d) 9 octobre 2009 à 20:14 (CEST)[répondre]

Lien externe "Lettre au Monde"[modifier le code]

Le lien externe "Lettre au Monde" situé dans la note de bas de page n° 12 n'est plus valide.

Corrigé. J.-P. Martin-Flatin (discuter) 12 mai 2020 à 23:15 (CEST)[répondre]