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Discussion:Iizasa Ienao

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Bonjour comme mentionné précédemment j'ai écrit cet article sur Ienao et vous ne faite aucune référence sur son auteur. Pourtant vous prennez l'intégralité de mon texte que je vous ai soumis. Vous ne connaissez pas mes références et J'aurais eu bien d'autres informations à cous soumettre. Pouvez vous m'expliquer pourquoi vous ne citer pas les auteurs du texte que vous publiez.

Pierre Rousseau

Bonjour, les articles de Wikipedia sont rédigés collectivement, il ne faut jamais signer sur la page même si vous êtes pour l'instant le seul contributeur. La liste des auteurs est consultable dans l'historique de chaque article. Nick Name 9 novembre 2007 à 06:51 (CET)[répondre]
Il y avait une citation tirée intégralement du livre de Sensei Otake. Je viens de corriger. Je n'ai pas tout vérifié mais il possible que d'autres phrases proviennent mot pour mot de ce livre. --130.79.220.163 (d) 8 février 2008 à 19:38 (CET)[répondre]

Informations sur Ienao

[modifier le code]

Merci, pour la réponse. J'ai fait des recherches sur le personnage. Effectivement en traduisant certains passages du livre de Ritsuke Otake. D'autres informations de différents articles et sites. Je n'ai pas cité Ritsuke Otake car le Tenshin Shoden Katori Shinto Ryu est l'héritage de trois représentants. Pour ainsi dire il n'y a pas eu de descendance directe de Ienao "Choisai" (surnom qui lui fut donné semble t'il lors de ses révélations). Il semble que sa ligné s'est éteint au 21ième soke (héritier). Afin de préserver ce Kobudo (art martial ancient) les Maîtres Otake, Mochizuki et Sugino ont été identifiés comme les détenteurs du savoir de l'art et ont eu le devoir de perpétuer l'art. Les trois écoles préservent donc l'héritage du Katori shinto ryu. L'école de Mochizuki s'étant éloigné quelque peu du chemin initial afin de se concentrer sur l'exécution à deux et l'aspect réaliste du combat. L'école de M. Sugino (père) et M. Otake ont respectés intégralement le programme. Toutefois plusieurs sites ou écoles feront allusion aux techniques de shuriken et les techniques de ju-jutsu. Ces techniques se sont perdu au fil des siècles. Le TSKSR était à l'époque encore plus vaste car il incorporait l'apprentissage de la fortification et même l'astronomie. Dautres histoires bientôt.

Pierre Rousseau