Discussion:Corrida de rejón

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trop éloigné du monde équestre[modifier le code]

Vu la faible évaluation, il est évident que la corrida de rejón est un monde très éloigné du monde équestre, même si le cheval est un des trois protagonistes importants. Pour éviter toute confusion, il est préférable de le laisser à part, je crois. --Lepetitlord [Fauntleroy] 10 juin 2014 à 23:21 (CEST)[répondre]

Ajouts de l'ip 62.245.91.142 inutiles, ou non référencées[modifier le code]

Ceci :

  • Deux pratiques étaient de mise chez la noblesse au moyen-âge, dans l'affrontement à cheval de taureaux lors d'exercices sportifs faisant simultanément office d'entraînement guerrier : la première consistait à bloquer la charge du taureau avec une lance, ce qui a donné plus tard le tercio de pique dans la corrida à pied, la partie à pied ayant à l'origine vu le jour dans des jeux pratiqués par les employés des abattoirs ; la seconde consistait à esquiver le taureau et à profiter de ce moment pour le tuer en lui transperçant le cervelet. Cette seconde pratique, un temps tombée en désuétude, a par la suite revu le jour sous une forme plus évoluée, donnant naissance à l'actuelle corrida de rejon.
C'est déjà développé dans Histoire de la corrida. Cet ajout n'apporte rien. Il n'est pas référencé.
  • De même que cet ajout-ci : Des peones se tiennent toujours prêts dans l'arène avec des capes, de manière à écarter le taureau en cas d'incident ou pour faire exécuter des passes au taureau afin de combler les temps morts (comme lors des changements de monture).
Ensuite:
  • Le règlement taurin s'avère plus pauvre concernant la corrida de rejon, comparée à la corrida à pied.[réf. nécessaire]
  • cachée dans du papier rose[réf. nécessaire]
  • enveloppée de papier rose, fixée à un court manche que le rejoneador casse d'un coup de poignet une fois la lame plantée.[réf. nécessaire]
  • mais la pose de trois rejons est exceptionnelle.[réf. nécessaire]
  • Le rejoneador, qui utilise en général trois chevaux pour affronter un taureau, utilise en général un cheval très agile pour la dernière partie du tercio de banderilles (où il plante les banderilles courtes) et pour le tercio de mort.[réf. nécessaire]
  • Le plus souvent, une fois que le rejoneador a planté avec succès un rejon de mort, il descend tout de suite de son cheval et si le taureau tarde à tomber, il lui donne le coup de grâce avec le descabello, épée spéciale plantée dans le cervelet, également utilisée en cas d'échec de l'estocade dans la corrida à pied. Il tient dans l'autre main une muleta, dont il ne se sert pas afin d'effectuer des passes artistiques, mais uniquement pour esquiver une éventuelle charge du taureau.[réf. nécessaire]
  • Cette forme de corrida est minoritaire en Espagne, en France et en Amérique latine, en comparaison avec la corrida à pied, bien que comptant un nombre significatif d'amateurs. Elle est cependant prépondérante au Portugal, dans une version légèrement modifiée, où la mise à mort est remplacée par l'intervention des forçados, puis par la sortie du taureau de l'arène. Le déroulement de la version "espagnole"[réf. nécessaire]
  • enfin la répétition du mot mort est inutile, et la description de l'instrument Rejón est déjà faite sur une page à part. Inutile d'en rajouter.--Lepetitlord [Fauntleroy] 26 septembre 2017 à 12:18 (CEST)[répondre]