Discussion:Comité central révolutionnaire

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Source possible : Les Origines du Comité de l'Evêché par Henri Calvet In Annales historiques de la Révolution française 7e Année, No. 37 (Janvier-Février 1930), pp. 12-23 lien web

J'avais bien vu cette source. En revanche, d'autres (telles que cette source) ne font pas la même assimilation totale entre le Comité de l’Évêché et le Comité central révolutionnaire. Il me semble que cette période regorgeait absolument de Comités révolutionnaires en tout genre, avec des passerelles, et qu'en assimiler totalement deux, portant des noms différents, est un peu risqué.
Après toutes les sources que j'ai pu voir sur Internet (dont pas une seule n'est réellement claire), j'ai tendance à penser que le Comité central révolutionnaire s'est constitué à l'Evêché, mais s'est bien appelé Comité central révolutionnaire, avant qu'une émanation de ce Comité ne joue un rôle décisif dans l'arrestation des Girondins lors des journées du 31 mai et du 2 juin 1793, et cette fois sous le nom de Comité de l’Évêché sous lequel il est passé dans l'histoire.
Mais je peux me tromper du tout au tout. En tout cas, je suis favorable à la conservation de l'article, même défectueux et non sourcé (mais pas non sourçable), car le Comité de l’Évêché et son rôle dans la chute des Girondins est clairement historique et justifie pleinement un article. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 4 février 2020 à 10:27 (CET)[répondre]

Avant que l'article ne soit guillotiné[modifier le code]

Je vote pour le sursis (comme dans une autre vie je l'ai fait à la Convention). Son altesse sérénissime le duc de Deux-Ponts a parlé d'un article en allemand, je me précipitais pour le traduire mais je ne l'ai vu nulle part. J'aimerais qu'on nous le présentât. Gustave G. (discuter) 4 février 2020 à 10:12 (CET)[répondre]

Je vote aussi pour le sursis : il est clair que le Comité de l'Évêché est au coeur des événements du 31 mai et du 2 juin 1793, et il est clair aussi qu'il existe un lien fort avec le Comité central révolutionnaire ; je suis en revanche beaucoup plus dubitatif sur le fait qu'on puisse assimiler totalement les deux.
Le problème, c'est que l'article allemand dont celui-ci est traduit ne s'appuie pas non plus sur la moindre source. -- — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 4 février 2020 à 10:18 (CET)[répondre]
Pas de problème pour moi, demandeur de la suppression immédiate. Voir aussi ici. --Gustave67 (discuter) 4 février 2020 à 11:56 (CET)[répondre]

Ah, Gustave Graetzlin, à propos de l'article allemand, comment faut-il traduire « In seinem Roman Dreiundneunzig setzt Victor Hugo der Évêché ein literarisches Denkmal » ? Sûrement pas par « Dans son roman Quatrevingt-treize, Victor Hugo place à l'Évêché un monument littéraire »... Je comprendrais plutôt quelque chose comme « Dans son roman Quatrevingt-treize, Victor Hugo immortalise l'Évêché dans la littérature », ou encore « [...] Victor Hugo donne à l'Évêché une place immortelle dans la littérature ».
Qu'en pensez vous ? — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 4 février 2020 à 23:43 (CET)[répondre]

Bien sûr votre traduction me paraît plus exacte dans la forme ; mais sur le fond je dois avouer à ma honte que je n’ai jamais lu Quatrevingt-treize et je préfère laisser ceux qui l’ont lu donner leur opinion. J’ai l’habitude, que certains trouveront étrange, de ne rien dire quand je ne sais rien. Gustave G. (discuter) 5 février 2020 à 00:05 (CET)[répondre]
« Marat bravait la Convention, menait la Commune et craignait l’Évêché ».
Ah, sur le fond, y'a pas de problème : l’Évêché a dans Quatrevingt-treize une place très importante puisque Cimourdain - un des personnages centraux du roman - appartient à l’Évêché. Avec quelques phrases bien hugoliennes qui montrent tout de suite l'importance de l'Evêché, au point que je ne peux pas m'empêcher d'en citer quelques unes (voir ici) :
  • « La Commune surveillait la Convention, l’Évêché surveillait la Commune ».
  • « Dans les commotions de Paris, c'était la Commune qui tirait le canon, c'était l'Evêché qui sonnait le tocsin ».
  • « Là était la grande incandescence plébéienne. Près de l’Évêché la Convention était froide et la Commune était tiède ».
  • et aussi, « Marat bravait la Convention, menait la Commune et craignait l’Évêché », ma préférée...
Donc en fait, ma question ne portait pas sur le fait que Hugo ait pu immortalisé l'Evêché dans Quatrevingt-treize (ce qui me semble avéré), mais uniquement sur le bien-fondé formel de la traduction que je proposais (où d'une de ses variantes possibles, si vous avez un avis sur la formulation exacte à retenir). — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 5 février 2020 à 00:42 (CET)[répondre]