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Discussion:Chérubin

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Défaut de description

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Ils sont souvent représentés comme de jeunes et gracieux enfants dotés d'une paire d'ailes, les putti.

Bof, gracieux c'est pas vraiment le mot, en general il sont représentés bien gras et bouffi ;-) Mais bon, je crois que les canons de beauté et de grâce n'étaient pas les mêmes avant l'époque moderne :-) Guil 12 sep 2004 à 00:09 (CEST)

J'adore ce commentaire !--FR3339 (d) 13 février 2009 à 19:41 (CET)[répondre]

Des goûts et des couleurs, on ne discute pas. C'est affaire de convenance personnelle. --Lakur87.231.143.234 (d) 28 juillet 2009 à 08:19 (CEST)[répondre]

Ce qui frappe dans cet article, c’est la non corespondance entre l’iconographie représenté ici uniquement par ce que les historiens de l’art dénomment des putti, et les citations tirées de la bible où les chérubins sont dépeints comme de puissantes entitées ailées, terrifiantes et de haute stature: dix coudées de haut pour les statues des chérubins du temple de Salomon. Le terme «putti» étant très peu connu hors du cercle étroit des historiens de l’art, un article Angelot parait nécessaire pour décrire cette représention bien connue dont les origines sont à rechercher dans la mythologie classique (cupidon) malgré la confusion chrétienne de ces deux figurations ailés. Le français «putti» date du XXe siècle, tantis que «angelot» (XIIIe s.) accompagne en français cette représentation depuis les débuts de la Renaissance, et est aujourd’hui encore le premier mot français pour la désigner: les termes «ange» et «chérubin» étant bien moins univoques. — Jean-Louis [discuter] 29 septembre 2009 à 11:39 (CEST)[répondre]

chérubins (taureaux ailés) en France

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Visitant l'église de Chauvigny (non loin de Poitiers, la fameuse victoire de Charles Martel en 732 se passa là) un chapiteau y montrait un taureau ailé à face humaine. Ayant visité pas mal d'églises romanes en Poitou-Charente, j'imagine des prisonniers enseignant comment faire des coupoles (très fréquentes), voire sculptant un Gilgamesh à Vouvant. Un autre est visible dans les ruines de l'abbaye de Maillezais. Simple curieux, j'en viens à croire que des Mésopotamiens christianisés ont joué un rôle aux origines de l'art roman

                                 Henri Gambourg 3/8/2015