Discussion:Bouilloire

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Dates mentionnées dans les titres[modifier le code]

Je ne comprends pas ce que sont ces dates mentionnées entre parenthèses dans les titres de section de cet article, j'ai ajouté des demandes de précision. --Tanguy (discuter) 28 avril 2016 à 14:38 (CEST)[répondre]

Ce sont probablement les dates de premières apparitions de ces technologies.--Ostpalad (discuter) 3 novembre 2019 à 01:19 (CET)[répondre]

Bouilloire et disjoncteur thermique.[modifier le code]

Le terme de "disjoncteur thermique" me semble erroné dans la partie suivante : Le dispositif d'arrêt automatique, quant à lui, est un disjoncteur thermique. L'utilisateur déforme le bilame en pressant le bouton de démarrage : le circuit est alors fermé et la phase de chauffe commence. Dès le début de l'ébullition, la température de la vapeur atteignant le bilame provoque le retour de celui-ci à sa forme initiale. Le circuit de chauffe est alors de nouveau ouvert et la bouilloire arrêtée.
Ce qui est décrit, est un thermostat. Pour le moins, un disjoncteur demande un réarmement manuel. Sauf s'il est à réarmement automatique, ce qui est alors précisé.
En revanche, ce qu'on appel un disjoncteur thermique, est un disjoncteur électrique avec une détection uniquement thermique du défaut : un petit dépassement d'un seuil de courant (le calibre) entraine une surchauffe déformant un ou des bilames.
On parle d'un dépassement de quelques fois le courant In (nominale). Genre, 1x5 à 10x In.
On notera que c'est la valeur du courant lui-même, dans le disjoncteur, qui génère le chaleur qui entraine la déformation puis le déclenchement (dont la rapidité dépends du facteur de dépassement, et peut s'exprimer parfois un plusieurs longues minutes pour une petite surcharge), chaleur qui n'est pas souhaité. Dans le cas du thermostat, le déclenchement est généré par l’augmentation de la température autour une sonde. Augmentation souhaité et même recherché, et créé par la charge (généralement une résistante chauffante). Et le phénomène se produit dans le cadre d'un fonctionnement normale. Dans le cas du disjoncteur, c'est un fonctionnement anormale issu d'un défaut qui génère un courant de surcharge.
Le disjoncteur thermique est à opposé au :

  • disjoncteur magnétique, qui lui détecte et coupe un courant très supérieur au courant nominal (plusieurs 10ènes ou centaines de In) et permet un déclenchement rapide, via des réaction magnétiques.
  • disjoncteur différentiel, qui est encore à part.

Cela étant dit, le disjoncteur thermique existe rarement seul, on utiles alors plutôt un relais thermique. Les disjoncteur étant souvent magnéto-thermique.
Enfin, le disjoncteur électrique se caractérise outre son calibre, par son pouvoir de coupure (qui se trouve être de plusieurs kA) et par le fait de présenter une coupure "visible" et d’offrir un "sectionnement". Cela n'est pas le cas du thermostat (qui est bel est bien l'équipement utilisé dans ces appareils), qui d'un point de vue électrique n'est qu'un "interrupteur" (commandé). Son pouvoir de coupure est généralement bien moindre. Et il n'offre pas de coupure visible ni garantie.
Bref, à mon sens, ce terme est totalement erroné, et il conviendrais de le remplacer par... thermostat. Il suffit d'ailleurs de suivre le lien pour s'en rendre compte (enfin, j'espère.)--Ostpalad (discuter) 3 novembre 2019 à 01:44 (CET)[répondre]