Andrew Marantz

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Andrew Marantz
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (39 ans)
Activité
Rédacteur à
Œuvres principales
Antisocial (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Andrew Marantz est un auteur américain et journaliste.

Il est collaborateur de The New Yorker depuis 2011[1]. Marantz écrit un livre sur l'alt-droite et les lumières obscures, Antisocial: Online Extremists, Techno-Utopians and the Hijacking of the American Conversation (Antisocial: des extrémistes en ligne, des techno-utopistes, et le détournement de la conversation américain), publié en 2019[2].

Antisocial[modifier | modifier le code]

Selon la publicité pour une conférence de Marantz liée à Penguin Books, le livre de Marantz Antisocial raconte comment les entrepreneurs optimistes de la Silicon Valley cherchent à créer un Internet libre et démocratique, et comment les propagandistes cyniques de l'alt-droite exploitent cette liberté pour propulser les idéologies, groupes, et personnes extrémistes dans le courant dominant[3].

À propos de ce livre, Marantz dit à Fast Company, « Je prends position clair dans le livre. Je suis juif. Je déteste les nazis. Je m'oppose à toutes les formes de bigoterie. Je n'essaie pas de permettre aux « deux parties » d'échanger des idées ou de prétendre que je suis objectif sur ces questions. Mais je pense qu'il est important de comprendre d'où viennent ces choses et pourquoi certaines personnes trouvent ces idées attractives, bien qu'elles ne devraient pas les trouver »[4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Andrew Marantz », The New Yorker (consulté le )
  2. 02.00 EST, « Antisocial: How Online Extremists Broke America by Andrew Marantz – review | Books », The Guardian, (consulté le ).
  3. « Andrew Marantz at Jewish Community Center of San Francisco | Penguin Random House Canada », Penguinrandomhouse.ca (consulté le ).
  4. Schwab, Katharine, « This journalist spent 3 years with alt-right trolls. This is what he learned », Fastcompany.com, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]