André Boite
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Yvette Torrens |
André Boite, né le à Argent-sur-Sauldre (Cher), est un supercentenaire français.
Il devient le vice-doyen masculin des Français le , date de la mort de Jules Théobald, derrière Marcel Meys[1].
À partir du , il devient le doyen masculin des Français, à la suite de la mort de Marcel Meys[2].
Biographie
Famille
André Boite est le fils d'Henri Boite, voyageur de commerce, originaire de Genouilly (Cher) et de Victoria Rouzé, femme de chambre, originaire de Châtres (Seine-et-Marne), mariés à Vierzon en 1901. En 1951, il épouse Yvette Torrens (1922-2017), dont il a trois enfants (une fille et deux fils), au moins une petite-fille et trois arrière-petits-fils[3].
Carrière
En 1939, André Boite est peintre décorateur et réside à Paris au quartier des Ternes[4]. Engagé dans les corps francs durant la Seconde Guerre Mondiale, il est fait prisonnier de guerre et déporté en Bavière[5].
De 1966 à 2001, il dirige le syndicat d'initiative de Villefranche-sur-Mer[6].
Notes et références
- La rédaction, « Le Niçois André Boite, 111 ans, pourrait devenir le nouveau doyen des Français », sur Nice-Matin, (consulté le ).
- « Qui est le nouveau doyen des Français, après la mort de Marcel Meys ? », Sud Ouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
- « André Boite », sur Geneanet.org, (consulté le ).
- « Fichier des électeurs de Paris », sur Geneanet.org, (consulté le ).
- Christine Rinaudo, « "Il faut toujours rire": le nouveau doyen des Alpes-Maritimes, André Boite, 111 ans, se confie », sur nicematin.com, (consulté le ).
- L. Bruyas, « Après la disparition de Maryse Lancioni, voici le nouveau doyen des Alpes-Maritimes », sur nicematin.com, .
