M1150 Assault Breacher Vehicle
.svg){kind=small}
Cet article est une ébauche concernant les forces armées des États-Unis.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| M1150 Assault Breacher Vehicle | |
| Image illustrative de l’article M1150 Assault Breacher Vehicle | |
| Caractéristiques de service | |
|---|---|
| Type | Char du génie/Char de déminage |
| Utilisateurs |  États-Unis
|
| Production | |
| Année de conception | 2009- |
| Unités produites | 39 [Quand ?] |
| Caractéristiques générales | |
| Masse au combat | 80 tonnes[1] |
| Armement | |
| Armement principal | M58 MICLIC |
modifier  |
|
Un M1150 Assault Breacher Vehicle (ABV) est un char du génie/char de déminage américain basé sur le châssis du char de combat M1 Abrams.
Description
Ce véhicule militaire est spécialisé dans le déminage est équipé de lames pour retourner la terre et d'une ligne explosive propulsée M58 MICLIC permettant l'explosion des mines à distance. Il sert également à dégager les voies d'accès pour d'autres chars. Il est en service depuis 2009 dans l'United States Marine Corps (20 exemplaires)[2] et depuis 2012 dans l'US Army, qui a équipé ses 9 brigades blindées de 6 de ces engins chacune[3].
Sa première utilisation à grande échelle par l'United States Marine Corps a eu lieu dans le cadre de la bataille de Marjah dans le sud de l'Afghanistan pendant la guerre d'Afghanistan.
Il existe en version robotisée (pilotée à distance)[1],[5].
Galerie
-
Lancement de la ligne explosive. -
-
-
-
Notes et références
- « Des robots de 80 tonnes pour ouvrir la voie des soldats américains ? », sur Capital.fr (consulté le )
- (en) John Pike, « Assault Breacher Vehicle (ABV) », Global Security, (consulté le ).
- (en) 2013 Weapon Systems Handbook, Army AL&T Magazine, , 378 p. (lire en ligne), p. 40.
- « Archived copy » [archive du ] (consulté le )
- (en) « This monstrous new 80-ton robotic battlefield bulldozer will keep US troops out of the 'most dangerous place on the planet' », sur Business Insider France (consulté le )
